Chapitre 33: Comme des rats

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Pov Quincy

Il y a une semaine encore j'étais á Aether la capitale d'Elysion en train de profiter de ma permission, mais parceque le general Tandsen a eu la grande gueule au grand conseil il a été décidé qu'il enverra un contingent dans le nord faire la fête aux rebelles. Étant un de ses aide camps et fils d'ami proche il m'a envoyé ici en me disant.

-Ce n'est qu'une petite campagne comme on en fait plein. T'y vas tu tues quelques rebelles et tu rentres avec les médailles. Dit il en rigolant.

-N'aie pas peur gamin. Dit un de ses colonels. On en faisait plein des raids comme ça quand on était gamin. Tu verras c'est facile comme sauter une madelaine.

-Je compte sur toi pour le garder á l'oeil Steery.

-Bien entendu tu me connais Jim.

C'est ainsi que je me suis retrouver au milieu de cette jungle, c'était déja l'hiver dans le Nord et il y avait de la neige partout mais pas assez sur les routes pour les rendre impraticables. Mon oncle avait envoyé deux brigade en montagne pour réprimer la rebellion. Me voila donc dans le froid avec mon manteau sur le dos dans le convoi d'avant garde.

-Putain on se les gèle ici. Dit un de mes hommes. Quant est ce qu'on les attrapes ces rebelles ?

-L'objectif est de récupérer la fabrique Blackburn ainsi que la prison Sterben. Expliquais je. Une fois solidement installé on s'occupera des rebelles.

-Ah... Ah d'accord parceque j'avais pas compris. Dit il sarcastique.

-C'est pas pour critiquer l'intellect du general Tandsen mais envoyé une demi-division pour faire le boulot d'un corps c'est pas très malin. Dit un sergent. Enfin avec tout mon respect lieutenant.

-Parlez sans retenu Sergent Lane. Lui dis je calmement. Ça me détend.

-Bah en gros ce Seb...

-Un mythe. Lui dis je.

-Il est suffisament balèze pour écraser une armée entière et le general envoie juste une brigade.

-Deux. Corrigea un autre.

-Tu vois une différence ? On sait pas ou ils sont, on sait pas ou ils vivent ni d'ou ils viennent ni même ce qu'ils veulent. Même quand ils sortent des fourrés qu'on en bute on a l'impression d'affronter de vraies fantômes.

Alors qu'on discutait je voyais mes hommes revenirs avec les corps de leurs amis entre les mains. J'étais assez surprit mais ce n'était pas la première fois que je voyais des cadavres.

-Qu'est ce qui vous est arrivé ? Ou est la gamine sur la moto ?

-Une attaque monsieur, des Husky ont étripés mes gars et je me suis pris des cloux dans le bras. C'était bizarre on aurait dit...

Je pris la boîte en argent qu'il tenait et l'examina. Je l'avais déja vu dans un livre.

-C'est de la que viennent les cloux. Dit il.

-Une... Claymore ? Pensais je. Impossible on en a même pas encore inventé nous même. Très rudimentaire cela dit.

-Lieutenant. Hurla un de mes hommes. C'est bon la route est dégagée.

-Bien. Dites au colonel Steery qu'on s'enfonce dans les terres. Gardez le contact radio.

-Oui Sous lieutenant.

D'aucun dirons que je me suis engagé par suivisme ou pour profiter du nepotisme ambiant qui règne dans les hautes sphères de notre armée. C'est en partie vrai que j'ai pu profité de ça, sous lieutenant á mon âge n'est pas donner á tout le monde, mais je ne suis pas là par hasard, je fais mon boulot et je le fais bien. Une fois la voie neige dégagée je continua avec mon régiment. J'étais sur le coté passager d'un camion, la voiture d'officier je la laissais á mes hommes. Si jamais il y avait une embuscade c'est eux qui dégusteraient les premiers. C'est peut être cruel mais c'est la voix du commandement. Alors que je continuais sur ma lancée on arriva á une intersection, mais un arbre barrait le coté de droite.

Ares Game:  The Gods GeneralOù les histoires vivent. Découvrez maintenant