Chapitre 56: Bird Eye

3 0 0
                                    

Après mon séjour avec Spearhead j'ai demandé á prendre un moi de congé, il fallait que je décompresse après la pression que j'avais subi a enchainé tout ces missions. Et surtout j'essayais d'intégrer le fait qu'elle n'était plus là. Ce n'était pas la 1ere fois que je perdais quelqu'un mais cette fois c'était vraiment différent. Sur quoi le Colonel Wallcroft répondit avec le sourire.

-On se revoit dans un moi alors. Major.

Le congé je le passa dans ma ville natale de Bushmeister. Le retour á la vie civile était... Difficile. Pas de raid, pas d'attaque pas d'obus qui pleuvent j'avais l'impression d'exister entre deux mondes. Que les maisons en face de moi pouvaient être rasé en un clin d'oeil, que ce jardin d'enfant pouvait devenir un tapis de sang en un instant. Cette pensée me terrifiaient. J'avais des moments d'absence et parfois je m'arrêtais juste de marcher au milieu de la route.. Les civils ne le savent pas mais s'ils peuvent dormir paisiblement c'est parcequ'une poignée d'homme courageux ont risqués leur vie pour qu'ils puissent jouir de cette paix. Des soldats comme ceux de Spearhead. Être bureaucrate a failli me faire oublier cela. Pendant mon congé je reçu une lettre de mes parents. Grosso modo ils demandaient quand je me marirais et quand ils verraient leur petit enfant.

-Tch avoir des enfants. Avec la vie que je mène ça risque pas d'arriver.

J'approchais quand même la ttentaine et j'étais encore seul, normal qu'il s'inquiète. Je les rassurais avec une réponse toute. Cela dit le temps guerri les blessures et j'étais déja passer á autre chose. Après un bon moi je reçu un coup de fil sur une de mes nombreuses cabines téléphonique.

-Creed c'est toi ?

-Lieutenant-colonel Starling ?

-Alors tu as fait le ménage dans ton jardin ?

Il me demandait en gros si j'avais retrouver mes esprits.

-Juste quelques feuilles mortes que j'ai balayé pas de quoi s'affoler. Le jardin est clean.

-Tant mieux car ta prochaine destination sera pas du luxe. Tu te sens d'attaque ?

Je pris une grande inspiration et fixa la rue á travers la vitre de la cabine.

-Dites juste ou et quand.

Ma prochaine destination était tout ce qu'il y a de plus standard et banal. 4 Mai 1020, 3 jours que je venais de débarquer á ma nouvelle affection. Avec les gars on revenait d'un raid justement, j'étais assi á l'avant de notre Jeep les jambes sur le capôt tandis que les autres soldats á l'arrière discutaient entre eux. Notre petit convoi de 3 véhicules se rendait á notre camp.

-Et là Smith lui a dit d'aller se faire voir.

-Non t'es pas sérieux il a pété les plombs Rigola le gars derrière moi.

-Alors vous en pensez quoi Major ?

-J'en pense Quoi de quoi ?

-Bah de ça, le môme a été recallé.

-J'en pense rien Murphy. Repondis je simplement. Ce gosse a désobeït á un ordre direct. Á la place de Smith je l'aurait ejecté de la cage.

-Oooh vous êtes dur Major. Me dit le chauffeur. Je suis sur qu'a l'école vous étiez le mec chiant.

-Bien au contraire O'Malley. J'étais le mec con, inconscient et insousciant. J'ai failli pleurer quand mon père m'a ennvoyer á l'école militaire.

-Il voulait faire de vous un homme. Dit Murphy.

-Un homme responsable et disicpliné.

-Bah c'est raté. Se moqua t'il. Ici vous êtes chez Beowulf.

Ares Game:  The Gods GeneralOù les histoires vivent. Découvrez maintenant