Ares Game: The Gods General

Chapitre 1: L'envoyé

Á partir de ce moment ou j'ai ouvert les yeux, j'ai compris que ma vie était vraiment repartie de zero. Je ne pouvais ni bouger mes membres ni cligner des yeux. J'avais conscience de ce qui m'entourait et j'entendais tout ce qui se passe. Bon sang pourquoi je me retrouve dans un tel état.

-Monsieur le comte. Fit une voix au loin. Nous avons tout tenté pour sauver votre fils vraiment nous avons essayer.....

-Allez droit au but docteur. Dit l'homme.

-Eh ben nous ne maitrisons pas la chirurgie réparatrice a 100% et il se peut qu'il y ai des sequelles voir des effets secondaires irré.....

-Parlez qu'est ce qu'il y a ?

Le docteur retira progressivement les bandages sur mon corps et je pus enfin ouvrir les yeux. Le docteur était bien jeune ce qui devait expliquer son angoisse. Quant á l'homme á sa droite ça devait surement être mon père. Il semblait être dans la quarantaine et sa mine était plutôt sévère mais dès que le medecin sortit il me sourit aussitôt. Sa main se glissa dans mes cheveux et j'eu l'étrange sentiment d'être rechauffé.

-Ce medecin a fait un travail fantastique.

-Pourquoi tu lui hurlais dessus alors. Pensais je.

Il m'aida a me redresser et je fis face á un mirroir. En effet ce medecin était un génie ou devrais dire, ce dieu.

-Que penses tu Zell ? Tu es de nouveau sur pied. Plus aucune trace de brûlures, sauf quelques marques mais ça ira.

De brûlure ? Et il m'a appelé Zell c'est pas si différent de mon surnom par le passé je m'y ferai vite. Le soir même je fus de retour chez moi, enfin ce qu'il en restait. Mon père me trainait personellement en fauteuil roulant ne laissant aucun domestique m'approcher. Une fois á l'intérieur de notre manoir je fus acceuillit par deux personnes. Une femme un peu grande et agé qui semblait être ma mère et une petit fille blonde avec une peluche de chien en main.

-Grand-frère. Dit elle en me fonçant dessus.

Elle me serra littéralement par le cou et je manquais de suffoquer.

-Arrête Asgeir tu vas le blesser. Dit mon père d'un ton sévère.

-Pardon père. Fit elle en baissant la tête.

Asgeir, c'est le nom d'une Valkyrie. Mais son comportement en était loin. Ma mère était très belle et trop jeune á mon goût. Dans d'autre circonstances je serai peut être tombé amoureux, mais ça puait le marriage forcé. J'ai été prévenu de ne pas oublié ma condition quand je viendrai ici mais pour le coup le dieu a clairement raté son coup.

-Allez Zell je vais te monter dans ta chambre.

Je pouvais rien faire dans cet état tétraplégique. Ni bouger les bras, ni les jambes, ni même me torcher le cul. Il fallait même me fermer les yeux pour que je puisse dormir et me les ouvrir le matin. Bref j'étais pire que naze. Á se demander si je vivais encore. Plus tard j'eu des explications, notre résidence de vacances avait été frappé par un raid enemi et ma chambre fut frappé de plein fouet. Brûler au 3e degré je suis resté des mois inconscient á l'hopital subissant chirurgie sur chirurgie. Mais rien ne semblait pouvoir me sauver jusqu'au jour ou je guérris miraculeusement de mes blessures. Le medecin n'en revenait pas j'étais de nouveau comme neuf et comme il ne se l'expliquait pas il décida de ne pas en parler á mon père. Évidément je suis resté conscient pendant toute cette période. Enfoiré de dieu de merde, ça ne devait pas se passer comme ça.

Un an et demi plus tôt.

Je m'appele Rezel Haman, un étudiant en histoire et principalement l'histoire militaire. J'adore tout ce qui touche á la guerre et aux armes á feu. Pour moi rien de tel que la guerre pour engendrer le futur de l'homme. J'ai toujours voulu m'engager dans l'armée mais ma mère était farouchement opposée á cette idée. Résultat je me retrouvais á aller dans un FAC d'histoire pour compenser. Ce jour là j'avais rendez avec mon meilleur ami Sebastian, lui aussi dans le même cas que moi. On pense presque pareil il était venu de l'étranger pour étudier mais il contait s'engager a la fin de ses études. Ça n'allait pas être facile vu que dans ce pays les noirs sont mal reçu dans les emplois qui concernent les armes.