Chapitre un.

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"-LOUIS OÙ SONT LES CLÉS BORDEL ?!

-SUR LA PORTE JUNE, SUR LA PORTE !"

Et voilà. Tous les jours c'est la même chose... j'adore la mère de mes deux enfants mais mon dieu, je suis pressé qu'elle parte au travail !

C'est toujours pareil avec elle. Elle se lève en retard, elle cours se preparer, une fois prête elle voit l'heure, elle court partout pour chercher ses clés alors qu'elle les a misent elle même sur la porte la veille au soir et elle crit, reveille les enfants qui eux, dorment encore parce que ce n'est pas encore l'heure d'aller à l'école et chez la nourisse...

Puis elle part tranquillement, me laissant m'occuper de James et Lucie...

James encore a sept ans, il comprend un petit peu se qu'il se passe mais Lucie à deux ans et pleure tout le temps, dès qu'il se passe quelque chose qui la derange autour d'elle... c'est parfois agaçant je dois bien l'avouer mais c'est ma fille et je l'aime plus que tout au monde.

Alors mécanniquement je monte les escaliers de notre maison et ouvre la porte de la chambre de Lucie avant de la prendre dans mes bras et de la bercer doucement sans lui faire peur.

Puis James qui vient toujours a ce moment la, ayant été reveille par sa soeur.

Comme tous les jours il me dit Bonjour, me fait un gros bisous et en fait un à sa soeur avant de partir se préparer.

Les enfants ne voyent pas beaucoup leur mère. Elle est toujours au travail ou dehors en train de faire la fête avec des amis. Oui à vingt huit ans elle n'a toujours pas réussit à prendre de la maturité ou même de résponssabilité... vous me direz, elle n'a Jamais voulu se marier ni même avoir d'enfants. On a dût se fiancer et avoir des enfants pour faire plaisir a sa mère, morte maintenant il y a un an. On a faillis dût nous marier. Ça aurait été un marriage forcé, arrangé a cause de nos pères. Sans eux Jamais on se serais mis ensemble. June est à moitié folle...

Mais nos pères nous ont obligés à nous mettre ensemble. C'était comme ça. Nous sommes issue de familles assez importantes et comment expliquer. On ne desobéis pas à ce genre de personnes. Vous voyez ?

On étais amis au début. Puis je me suis rendu compte qu'elle était complètement folle. Très conne.

J'veux dire, quelles mères oublierais ses enfants à l'école et chez la nourrisse ?

Elle se fou de ses enfants. Dès qu'on dois sortir en "famille" et que les enfants veulent un petit jouet, un cadeau, quelque chose, jamais June ne leur en payait. Ou si, avec mon argent. Ça ne me dérange pas de payer des choses à mes enfants. Au contraire. Seulement ça me dérange un peu que leur mère soit tellement hypocrite qu'elle ne leur ai jamais acheter un seul petit jouet, pas un seul petit bonbon à cinq centimes. Vous imaginez ?

C'est horrible. Elle est horrible. J'ai du arrêter mes études à vingt ans, quand elle est tomber enceinte pour élever mon enfants, j'en ai vingt sept maintenant et je suis papa deux fois. Je dois doublement assurer parce que leur mère est seulement une génitrice et non une maman.

Je dois tout faire. M'occuper des enfants, de la maison, des factures, du ménage..., aller travailler... en soit ça ne me dérange pas seulement je n'ai aucun temps pour moi et je suis épuiser.

Cette vie m'épuise et me rend malade.

Parce que je n'ai même plus deux enfants là. J'en ai trois avec June.

"-Allez James, en voiture."

Je lui souris et prends Lucie qui est sur sa petite couverture au sol en train de jouer avec des hochets.

"-D'accord."

J'aime la relation que j'ai avec mes enfants. On est vraiment proche et ça me rassure étant donné qu'ils n'ont déjà pas vraiment de mère je ne veux pas qu'ils se retrouvent seul et qu'ils n'ai personne à qui parler.

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Hey ! J'espère que vous allez aimer ma nouvelle fiction. J'ai conscience qu'il y a sûrement beaucoup de fautes j'en suis désolée !

One day, maybe.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant