•Crazy in love•

Chapitre 8: une nuit de reve.

Mina te regardes, l'air intrigué parce que tu vas lui dire. Tu connais sa réaction, tu sais très bien comment elle va réagir, tu as honte. Tu es gêné, mais après tout c'est ta meilleure amie, tu dois lui dire, c'est normal. Tu prend une grande inspiration et la regarde droit dans les yeux.

-toi: bon voilà mina, je suis très gêner par la situation, donc s'il te plaît écoute moi jusqu'à la fin. Merci d'avance.
-mina: je t'écoute.

Ton visage rougit de gêne, tu la regarde puis regarde le sol.

-toi: je je crois que j'ai...
-mina: des sentiments pour bakugo.
-toi: comment tu sais ?
-mina: voyons hanae je suis ta meilleure amie, sa se voit comme le nez au milieu de la figure.
-toi: sa se voit tant que sa ?
-mina: oui.

Puis tu te remet à regarder le sol.

-mina: voyons hanae c'est super! En plus je suis sure que c'est réciproque, obligé !
-toi: pfff.. non voyons.
-mina: go vous mettre ensemble !

Et voilà ce que je redouté arriva, elle sautille dans tous les sens. Mais j'y repense, mina aime kirishima, c'est vrai sa.

-toi: et toi avec kirishima sa avance ?

Elle s'arrête net et te regarde.

-mina: euh non.. c'est en cours.
-toi: je vais t'aider, j'ai un plan.

Tu sors de la chambre et rejoins bakugo dans le salon, tu le prend appart.

-toi: baku j'ai besoin de toi, comme t'es le meilleur pote à kiri, il faut que tu m'aides.
-baku: et pourquoi ?
-toi: aller s'il te plaît aide moi. Il faut juste que tu lui dises d'aller à un endroit, où tu devras prétendre y être. Oki.
-baku: euh ok si tu veux mais pourquoi?
-toi: tu verras je t'aiderais.

Le lendemain, tu demandes à mina de te rejoindre dans un restaurant, pour midi. Bakugo fait de même de son côté. Mina se prépare et se rend au lieu de rendez-vous mais ne me voit pas.
Au loin, elle aperçoit kirishima qui a l'air d'être aussi pommer qu'elle, puis elle finit par comprendre la situation.
Elle est à table au côté de kirishima, avec bakugo nous sommes cachés. Nous les observons de très près. Ils parlent.
Vraiment une heure plus tard, kiri lui fait une bête de déclaration, et là le bisous. J'y crois pas, avec bakugo on sort de notre cachette et on applaudit. On était super gênant mais on en avait rien à faire.
On était super fière de nous et d'eux biensure, c'était si beau. Kiri et mina étaient fait pour être ensemble. Nous nous regardons et on s'en alla pour les laisser seul. On se chèque avec bakugo fière de se que nous avons accompli.
Sur le chemin du retour, j'eu super faim, donc on s'arrêta lui et moi prendre un petit truc à manger. Et nous rentrâmes à l'internat.

Tu es dans ta chambre tranquille, sur ton ordinateur. Bakugo rentre et se pose directement sur son lit. Tu le regarde et sourit.
Il tourne sa tête, qui était plongé dans ses oreillers et te regarde.
Puis il te demande d'une voix calme et fatigué, ce que tu faisais.

-toi: j'écris.
-lui: t'écris quoi ?
-toi: j'ai une passion pour l'écriture, j'écris un livre, enfin si on peut dire sa comme sa.
-lui: je pourrais le lire un jour ?

Tu te sens rougir, tu ne t'attendais pas à cette réponse, ce livre parle beaucoup de tes émotions et il y a des choses qui sont un peu bizarre on va dire.

-toi: euh oui si tu veux..
-lui: cool. Et au fait ?
-toi: oui?
-lui: depuis quand tu as ce collier ?
-toi: depuis toujours, c'est ma mère qui me l'avait offert. J'y tient plus que tout au monde, c'est la seule chose qui me reste d'elle.
-lui: ah euh pardon.
-toi: t'inquiète.

Puis tu continues ce que tu étais en train de faire, bakugo te regardais. Tu étais si concentré.
Puis après quelques temps bakugo se leve et viens, il prend une chaise et se pose à tes côté, tu étais rouge. Vos regards se croisèrent, son visage très proche du tient. Et il tourne sa tête pour regarder ce que tu as écrit, il avait l'air surpris.

-baku: t'a du talent dit donc, t'es super doué.
-toi: tu trouves ?
-lui: oui je t'assure.

Il pose ses mains sur tes épaules et te regarde droit dans les yeux. Son visage reflète beaucoup de sérieux, comme si il allait te parler de quelque chose de très important.

-baku: écoute hanae, je sais que c'est compliqué pour toi d'en parler mais.. je voudrais savoir pour ta famille qu'est ce qu'il s'est passé ?

Tu regardes ailleurs et souffle. Tu savais très bien qu'un jour où l'autre il devra être au courant. Tu respire lentement pour ne pas t'affoler en lui racontant ton histoire.

-toi: bon par où commencer, j'avais encore que 6 ans, ma mère et moi sommes partis faire des courses pour préparer le dîner. Jusqu'ici tout va bien. C'était le jours de mon anniversaire, on se balader toute les deux, puis on rentra à le maison pour préparer le repas du soir, mon grand frère nous rejoins. Puis mon père m'appelle pour me confier un secret, le secret de mon clan. Il m'explique que mon clan est le digne héritier d'un grand pouvoir, le pouvoir des premiers rois. Je descend d'une grande famille royale, nous détenons une technique unique, capable d'exterminer un pays entier. Mon père me lit une prophétie écrite il y a plus d'une centaine d'années. « Un jour, une fille ouvrira les yeux du monde, elle sera dédié à protéger l'espèce humaine, la réincarnation de la princesse suki, première fille du clan suki et princesse des étoiles. L'héritière de ce titre sera dotée d'une grande force, une force sur humaine. Mais cette jeune fille vivras dans la terreur toute sa vie. Elle sauvera le monde. ».
Mon père me répéter sans cesse que j'etais l'enfant de cette prophétie et que je dois sauver le monde, comme mon ancêtre, la princesse suki, l'a fait.

-baku: attend hanae, sa veut dire que tu es une princesse ?

-toi: laisse moi finir, et non j'en suis pas une. Bref ducoup, je dîne avec mon clan pour mon anniversaire, mon père en était le chef et il se venter souvent d'être le père de l'enfant de la prophétie. Je me souviens que nous avions sauvé un jeune homme que nous avons nourrit et loger, il s'agit de dabi. Le repas se passe calmement, ma mère m'offre le pendentif que je porte aujourd'hui autour du cou. Puis nous allons tous nous coucher, mais pendant la nuit, des gens se sont introduit chez moi. Ils ont tuer ma famille un part un, alors je rentre dans une rage que je ne controlé plus, tout mon clan était mort, aucun survivant seulement moi. Et j'explose tout autour de moi.
Les années passent, je vis seule. Mais il y a un an de cela, un homme qui est maintenant mon professeur principal au lycée, m'a aider, il m'a loger et nourrit. C'est comme un deuxième père pour moi. Et pour dabi, après l'incident il n'était plus le même, et il a voulu me faire du mal, je passe les détails. Et puis je vous ai rencontré toi et les autres et ma vie a totalement changé merci.

Tu le regarde les yeux humides, son visage affiché de l'étonnement et du regret.
Il te prend dans ses bras sans hésiter, ton cœur bat de plus en plus vite, mais tu te calme petit à petit, en contact du corp chaud de bakugo. Ta tête enfouie dans le creux de son épaule, lui il passer sa main dans tes cheveux et te chuchoté des mots doux à l'oreille. Vous restez comme sa tellement longtemps que tu t'étais endormi dans ses bras. Il te déposa délicatement dans ton lit et déposa un léger baiser sur ton front. Mais tu lui attrapes son bras, pour qu'il reste dormir à tes côtés, il s'allongea à tes côtés, ta tête poser sur son torse bien musclé. Tu avais froid et tu tremblais mais au contact de bakugo, tu te calma très vite. Tu sentis son souffle chaud dans tes cheveux, ses bras t'enlaçais, comme si il voulait te protéger.
Tu étais super bien à ses côtés, tu te sentis épanoui. Tu n'avais envie que d'une chose que la nuit ne se termine jamais. Mais tout rêve à une fin, ton réveil sonne et tu commences à t'énerver, comme chaque matin, la seule envie que tu as est de peter ce réveil de malheur. Donc tu te réveil gronchon. Bakugo te regarde te battre contre ton réveil et rigole.
Tu devais te préparer pour aller en cours. Sur le chemin tu croises Hawks, il te fait un énorme câlin et repart. Bakugo était derrière toi.

PDV bakugo

-kiri: magne toi mec ou elle sera prise par quelqu'un d'autre.
-baku: qu'est-ce que tu racontes toi encore.

Je savais très bien à quel point je l'aimais, mais j'avais peur que sa ne soit pas réciproque.