Chapitre 17

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« Chaque village a l'obligeance d'offrir des offrandes accompagnées d'un rituel à l'empereur pour le remercier de son sacrifice. Son dévouement à permit à nous tous de survivre non que pour quelques années mais quelques siècles. Cette prospérité, on la doit à notre cher empereur, sa perte causera le malheureux de millier. Vive l'empereur ! Qu'il vit éternel pour pouvoir continuer à nous protéger ! Et remercions les esprits suprêmes de nous avoir pris par pitié ! »

Les textes fondamentaux, versé 101

L'église des nouveaux esprits suprêmes

Les élèves de premières années s'étaient regroupés par classe dans une grande salle. La pièce se composait d'un terrain d'entrainement avec des gradins accueillant au moins 3 000 personnes. Les représentations se faisait principalement dans cette salle pour accueillir un public. Ces démonstrations étaient renommées et accueillit un bon nombre de spectateur. C'est également pendant ces évènements, que les apprentis épéistes se faisaient remarquer s'ils ne venaient pas d'une famille noble respecter. Bien que leurs acheminements étaient différents, ils n'avaient aucune chance de participer pour garder l'anonymat. Après tout, si un des élèves du cursus Metis se faisait repérer par ses talents par un noble ou une compagnie, sa renommée devenait à son point maximum qu'on le reconnaitrait n'importe où que ça pourrait causer des problèmes envers la résistance. Alone aurait secrètement aimé de participer pour connaitre le gout d'être à part entier un épéiste.

Le jeune homme se trouvait à côté d'Aron, tous les deux attendaient avec impatience l'arrivée de la directrice. Ils étaient au fond du rang après arrivé juste à temps. Aron s'était plaint, après tout, il voulait se trouver non loin d'elle. Selon Aron, la directrice arrivait souvent en retard lorsqu'il avait les évènements qui concernait le cursus Metis. Bien entendu, l'autre cursus avait déjà connu bien avant eux la cérémonie. Alone soupira puis regarda l'heure, il se rendit compte que cela faisait une bonne vingtaine de minutes qu'ils avaient patienté. Soudain, les portes de devant s'ouvrirent laissant place à la directrice et quelques autres personnes. Elle se plaça sur une estrade, un long silence s'installa seulement quelque éternuement se faisait entendre dans la salle. La directrice regarda autour d'elle, ses accompagnants se placèrent derrière elle.

- Bien le bonjour dans cette merveilleuse soirée. On est tous ici présent afin de clôturer votre première année, bien que les accidents étaient minimes, je m'attends à ce que vous soyez le plus irréprochable possible même à l'extérieur de l'enceinte de l'établissement. Bien que vous représentiez l'école,

- malheureusement pour elle, murmura Aron auprès d'Alone.

- Vous représentiez également la résistance, vous devez donc adopter les valeurs qu'on vous inculque. Je suis heureuse que vous soyez présent et qu'on vous apprend à se défendre face à la calamité...

- En étant de vingt minutes de retard, on reconnait l'amour, murmura ironiquement Aron.

Ce n'étais pas un secret pour personne que la directrice n'appréciait pas le cursus Metis, elle se faisait critiquer d'avoir créé une bourse pour les plus démunis. Elle avait perdu une bonne partie de sa réputation dans la haute société. Bien que la résistance payât une contrepartie pour que la directrice ne ferma pas le cursus, très peux des élèves l'appréciaient, mais c'était un mal pour un bien pour pouvoir rentrer dans la résistance en étant préparé, se disait Alone.

- C'était une très bonne année passée avec vous. Les futurs tuteurs ont d'ores et déjà choisis leurs disciples. Ils avaient chacun observer vos performances mais seuls les 10 premiers candidats pourront bénéficier de se tutorat. Vous seriez amenez d'être dans des positions de pouvoir mais vous devez aussi vous défendre contre les envahisseurs. Comme vous le savez, l'année suivante, vous aurez des cours de stratégie et de survit à la place des cours théoriques. Mais ne perdez pas votre ardeur après tout, tout n'est pas encore décidé. Nous pouvons commencer à attribuer les tuteurs à nos jeunes. L'ordre se fait par le grade du tuteur.

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