Chap 14: Dernier chapitre

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Vous commencez par le rez de chaussé, faisant la poussière de font en comble. Tu n’as pas le courage de regarder le cellier par contre, cet endroit des enfers! Les artisants sont parti 2 heures plus tard. Tout fonctionne. Vous mangez et continuer, il est a ton écoute, tu n’as pas l’intention de changer grand chose, car tu as déjà beaucoup de ta personnalité dans cette maison, alors la déco te plait. Elle est simple et te va . 

Vous vous attaquez enfin à l’étage, il est déjà tard dans la journée, mais tu veux au moins que l’endroit où Dazai va dormir c’est à dire ton ancienne chambre soit propre.  Alors que tu t’occupes de la salle de bain, lui va dans le coin bibliothèque de l’étage. 

Ton corps te fait mal, mais super mal. Tu sens déjà les courbatures dans ton corps. Dazai s'est endormi après avoir mangé et prit une douche, il n’arrivait pas à vraiment rester debout, ça ce voit bien que monsieur n’a pas l’habitude de travailler beaucoup beaucoup. Alors que tu allais te coucher sur le canapé du salon tu sens l’envie d’aller dans sa chambre. 

Tu prends ton ordinateur avec toi et t’assois sur le sol, appuyé contre l’armature du lit. Tu prends une de ses photo à tes côtés. Tu ouvres le dossier et commence à taper. 

“Et alors que la seule chose qu’il me restait de plus beau était déjà éclot, je décide d’en finir”.Cela fait partit des seuls mots dont je me souviennes de la lettre qu’elle a écrit à l’intention des services sociaux. Je ne me considère pas comme telle mais je sais et je serais toujours la force du lien qui nous unissait elle et moi. Elle comptait tout autant que je comptais à ses yeux. Nous nous comprenions, nous étions une et je suis maintenant seule.

Elle a était trouvé par un promeneur, proche du lac, sur sa chaise de lecture, un des ses bouquins préféré dans une main, une arme dans l’autre, et une balle dans la tête. 

Elle lisait son passage favoris alors qu’elle pressait la détente, encore à l’heure d’aujourd’hui, je ne peux pas lire ce paragraphe sans voir une tache de sang. 

On ne sera jamais vraiment ce qui la poussé à se suicider. Cela restera une question sans réponse. 

Ce livre est là pour que l’on se souvienne de la femme qu’elle était, la femme forte, indépendante, drôle et incroyablement seule et rongée par de nombreux démons. 

Voilà son histoire, voila l’histoire de sa vie et l’histoire de sa mort. “

Tu es en pleure, de nombreux sanglot prennent en assault ton corps alors que tu écris les dernier mot de son histoire. Il ne te reste plus rien non plus maintenant, alors que tu avais l’impression d’être complète depuis que tu es arrivée ici, mais là tu as l’impression d’être seule et vide, comme si une  nouvelle fois on te retirer tout ce que tu avais. 

Tu sens que l’on te sert dans des bras, tu es désespérée, tu t’accroches à cette étreinte. Elle ne dit rien, non elle est douce et réconfortante, elle est comme la brise que tu as peu sentir le matin même caresser ton visage. Tu gardes les yeux fermés alors que tu épuises tes dernières forces à pleurer contre lui.

Quand tu te réveils tu es encore assise sur le sol mais entouré par des bras réconfortant et protecteurs. Dazai ne t’a pas quitté du regard depuis qu’il ta retrouvé dans la chambre en pleures. Il sait d’avance que ce n’est la dernière fois qu’il te voit dans cette état.

-”Hey comment tu te sens?” Il te demande alors que tu te relèves, voyant ton ordinateur éteint sur le sol. 

-”Lessivée et j’ai mal à la tête.” Tu réponds en essayant de te relever doucement. 

-”Va te reposer dans ton ancienne chambre, je m’occupe de faire la poussière dans le couloir, toi tu dois te reposer.” 

Tu essayes de protester mais il ne te laisse pas le choix. Tu es maintenant allongée sur un matelas au sol qui à  l’odeur de Dazai. Tu t’endors assez vite. Dazai prend ton ordinateur et le pose se la table de la cuisine. 

Il observe un peu plus les lieux, c’est une maison style chalet, c’est vraiment charment, un parfait endroit pour ce suicider et si il ne t’aimait pas et si il n’y avait pas déjà une personne s’étant tuer ici, il aurait sans aucun doute avaler une boite complète de somnifères et fait un gros dodo sur le canapé, mais il n’aime pas passer derrière les autres. 

Il nettoie un peu plus mais sa curiosité à raison de lui, il ouvre ton ordinateur et trouve facilement le mot de passe. Il tombe directement sur le texte que tu as écris la veille. Il n’est pas satisfait de cette fin. Malicieusement il tape une nouvelle ligne, puis content de lui il repart faire du ménage, jouer à la petite fait du logis lui plait bien en fin de compte. 

Une histoire de vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant