Lettre 6

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Bonsoir

Je pars en vacances le 24 jusqu'au 30 (donc je loupe un dimanche. Donc vous prefèrerait que je poste le 23? ou le 1? (sachant que je posterais le 20 et le 4)

Bref je vous laisse avec le chapitre. 



Les élèves retournaient en cours après les vacances. Sanji ouvrit son casier et y découvrit de nouveau une lettre. Il entendit la portière du casier à coté de lui, claqué. Il releva les yeux croisant le regard du vert. 

Il se détourna bien vite, retirant ses chaussures et enfilant ses chaussons, il referma son propre casier pour filer dans la salle de classe. 

Il s'installa à sa table et souffla un coup. Il se sentait seul. Depuis qu'il recevait ces lettres il se rendait compte de sa solitude. Cela ne l'avait jamais déranger. Mais maintenant il observe les personne autour de lui. Essayant de repéré cette personne. 

Et en les observant il se rendait compte que personne ne lui prêtait d'attention. Que personne ne lui disait bonjour. Ou seulement par politesse. 

Il avait toujours aimé lire, les autres pas vraiment. Il avait donc vite comprit que les amis et la sociabilisation ne seraient pas pour lui. Il n'avait après tout aucun autre sujet de conversation. Ce n'était au font pas un problème. 

Mais en observant les personnes autour de lui, il voyait aussi un monde différent. Un monde qui semblait beau. Mais qui était faux. Combien de fois il entendait un groupe se lâcher et critiquer une personne et quand celle ci arrive il la traite comme leurs meilleurs amis ? 

Évidement tous ne faisaient pas cela. Certain ne disent rien. Ne participant pas à ces conversations hypocrites. Ce qui le rassurait. Tout le monde ne semblait pas méchant. 

Mais il n'avait pas envie de se mêler au gens. Pas même à ceux qui semblait sympa. Car si il entrait là dedans. Il y aurait forcément ces gens qui sont hypocrites, qui le seront avec lui. Et il ne voulait pas. 

Un jour il trouvera des personnes en qui il aura confiance.


Kuro-Ashi.

Je comprends que tu ne veuille pas m'en parler. Je t'avoue que lorsque j'ai vu ton poing se serrer sur mon présent j'ai cru avoir fait quelque chose de mal. 

Je suis désolé, je ne voulais pas te faire de mal en te l'offrant. 

Aujourd'hui je vais te parler de quelque chose que j'aime. Le sport. Tu ne t'ai pas demander pourquoi un joueur de foot t'avait amener ma lettre ? C'est un de mes coéquipier. En fait, la plupart de mes coéquipier savent que je t'admire de loin depuis longtemps. Mais aucun ne me trahira. N'essaye pas de savoir !

Ils m'ont conseillé de t'écrire au lieu de te parler. Au début je trouvais ça idiot. Puis l'un d'entre eux à dit que vu que tu aimais lire tu aimerais lire quelque chose écrit que pour toi. 

Dire qu'il avait raison. Je l'ai remercié, et je me sens toujours plus confiant lorsqu'on me rapporte que tu souris en me lisant. Vu qu'il y a deux joueurs dans ta classe, il m'est facile de me procurer les informations. 

J'aime le sport, particulièrement celui que je pratique. Je sais que tu n'aime pas forcément cela. Enfin c'est ce que je déduis de tes soufflements agacé à chaque fois que tu vas en sport. Et surtout de tes joues bien trop rouge au moindre effort. Mais cela ne fait rien. Je n'aime pas lire non plus. 

Je ne t'offrirais plus rien, pour l'instant. 

Mais me ferais-tu l'honneur de venir au match ce samedi soir ? Tu pourras même lire si tu ne souhaite pas regarder. J'aimerais juste que tu vienne.


En espérant te voir samedi, cela me ferais sourire


S. A




J'espère que ce chapitre vous a plu! 

Loulou

S.AOù les histoires vivent. Découvrez maintenant