Chapitre dix

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PDV Louis

J'enlevai ma veste de costume pour lui mettre sur les épaules. Je la pris par la main et nous sortimes par l'arrière pour rejoindre la voiture qui nous attendait.

Nous montames dans la voiture et nous installames a l'arrière. Elle somnolait a moitié. Je passais on bras derrière elle pour l'attirer contre moi. Je déposais un baiser sur son front.

- mon Lou ?

- oui ?

- tu restes vraiment avec moi pendant trois jours ?

- oui.

Elle se blottit contre moi et nous rentrames chez elle.

Nous mimes 30 minutes pour rejoindre la villa de son pere en dessus de Barcelone.

- Serena on est arrivés ! La secouai je gentillement.

Elle murmura quelque chose d'inaudible et finit par descendre du véhicule. Je la soutenais par le bras pour l'emmener jusqu'à l'intérieur. Nous déposa mes nos chaussures dans le hall et Nous montames les escaliers jusqu'à sa chambre.

- Louis peux tu me défaire ma robe s'il te plait ?

Je vins à elle après avoir enlevé ma chemise. Je défis sa fermeture jusqu'en bas et elle laissa glisser sa robe le long de son corps.

Elle se retrouvait en sous vêtements. Je passais mes bras autour d'elle. Avec une main je dégageais ses cheveux de sa nuque. J'y déposais des baisers au creux de son cou.

Elle se retourna soudainement et passa ses bras autour de mon cou. Elle colla nos front l'un contre l'autre.

- si l'on m'avait dit qu'on pouvait aimer une personne a ce point, je ne l'aurais pas cru avant que ce soit mon cas !

Je me rapprochais de ses lèvres pour l'embrasser.

Nous n'avions jamais été ce genre de personne démonstrative d'amour en publique. Même, cela n'avait jamais été tout rose, tout beau comme les amours dans les films. Au contraire, nous avions connu de nombreuses guerres, de nombreux conflits, des crises de larmes et des claquages de portes.

Nous avions le cœur sur la main, il n'existait jamais de repos, jamais d'accalmie. J'avais mon caractère, elle avait le sienne et jamais elle comme moi nous nous avouerons vaincu.

Les gens qui nous connaissent ou qui nous verraient se battre comme chien et chat se demanderait comment parfois nous arrivons à avoir des moments comme cela. Des moments où nous baissions nos gardes pour profiter des moments comme celui ci.

Elle se detacha de moi pour enlever sous soutien gorge et enfiler le tee shirt que je lui avais donné avant de partir. J'enlevai mon pantalon.

Je me retournai pour la voir, elle était assise en taille au centre du lit. Elle avait enlevée son diadème et le tripotait entre ses mains. Je n'avais pas besoin de lui demander pour savoir qu'elle était nostalgique.

Je m'avançais vers elle et m'assis en face. Elle me regarda surprise.

- ce diadème représente toutes les femmes de ma famille. Il est dans ma famille depuis 5 générations, plus la mienne maintenant.

Elle tira son bras jusqu'à la table de chevet et prit l'écrin qui était posé la.

Elle le déposa sur ses jambes et rangea son diadème. En le refermant elle me regarda.

- j'aurais aimé que tu sois la pour ouvrir le bal a mes côtés, me dit elle en me fixant.

Je n'avais jamais vu ses yeux aussi clairs et aussi profond. En temps normal elle be se serait jamais abaisser à dire que je lui manquais.

Mon monde c'est toi !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant