Trente trois

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Je me réveillait en transe cette nuit par un cauchemar. Dans mon cauchemar louis s'était une fois de plus échappé au petit matin lorsque je dormais.

Je tâtais les couvertures pour apercevoir mon beau brun encore endormis. Je m'allongeai près de lui et caressais de ma paume sa joue montant jusqu'à ses cheveux et entremêlant mes doigts dans ses cheveux. Il ouvrit ses yeux bleus.

Il passa ses bras autour de ma taille pour me serrer contre lui.

- tu as fait un cauchemar ? Me demanda t-il.

- non !

Il leva à peine sa tête pour voir l'heure.

- même à 4 heure du mat' tu mens très mal ma princesse ! Me sourit il en refermant ses paupières.

- Lou.

- dis moi s'il te plait !

Il se mît sur le dos je posais ma tête contre ses pectoraux. J'entendais battre son cœur ce qui m'apaisait.

- je... J'ai eu peur que tu t'enfuis au petit matin.

- je ne savais pas que ça te faisait autant de mal que je le fasse ainsi. Je ne voulais pas. Je ne le ferais plus ! Me promit il en passant ses doigts dans mes cheveux.

Les battements réguliers de son cœur qui résonnaient dans ma tête me firent retrouver le sommeil.

*****

- bonjour, bonjour jeune gens ! S'en joua Elea en rentrant dans ma chambre et ouvrant les rideaux.

Je frottai mes yeux pour m'habituer à la lumière tandis que Louis se cacha sous son oreiller.

- comment te sents tu miss Serena ce matin ? Me demanda t elle en s'asseyant sur mon lit devant moi.

- ça va !

- a ce que ta mère m'a fait comprendre monsieur tomlinson est avec toi ?

Je secouai la tête pour lui répondre que oui.

- ce n'est pas la peine de te cacher rock star ton secret sera bien gardé.

Louis vint emprisonner ma taille de ses bras gardant sa cachette.

- louis n'est pas vraiment du matin ! Répondis je.

Elle se leva.

- je vous attend dans dix minutes en bas pour le petit déjeuner.

- d'accord !

Elle quitta la pièce me laissant avec mon blondinet.

Il fini par pointer le bout de son nez de dessous l'oreiller.

- qui est elle ?

- comment dire c'est un peu comme ma nounou infirmière.

- tu lui as donc dis pour nous deux.

- je n'avais pas trop le choix.

****

Le repas avait encore était une nouvelle fois un motif de dispute entre Louis et moi. Cette qu'il avait ses raisons et qu'il n'avait pas tord quand il disait qu'il fallait que j'ai quelque chose dans le ventre mais il n'était pas moi et avec ma chimiothérapie j'étais contrainte à avoir peur de vomir.

Je m'étais éclipsée au fond du jardin en sortant de table m'as seyant sur ma balance pire que mon père m'avait fait quand j'étais petite. Je me balancer doucement gardant mes pieds à terre et regardant le gazon fraîchement couper.

Je finis par me rendre compte que louis m'avait rejoind s'asseyant en tailleur sur l'herbe en face de moi mangeant une part de gâteau que Elea avait fait pour la venue de Louis.

- tu en veux ? Me demanda t-il se rendant compte que je le fixais.

Je descendus de la balaceoire m'as seyant en face de lui. Lui donnant comme seule réponse un hochement de tête.

Il me tendit son assiette et sa cuillère.

- je te promets Lou que je mange.

- j'aimerais que tu remontes sur la balance.

- je le ferais mais s'il te plait ne m'en veux pas d'avoir perdu du poids.

- je ne t'en veux pas, je m'inquiète. Et sache que si pour être sur que tu mange je dois te faire hospitaliser de force je le ferais.

- je n'attend pas moins de toi mais je dépérirais dans un hôpital, je me dents bien chez moi.

- ma mère m'a dit qu'il arrivait que tu dormes dans ma chambre et que restes de longs moment à regarder défiler nos photos sur mon iPad.

- hum ! Je dors mieux lorsque les drap sont imprégné de ton odeur.

Je finis le gâteau. Louis se leva et me tendit sa main pour que j'en fasse de même.

- viens je vais te faire mon thé spéciale déprime.

- celui avec du lait et des petits gâteaux sec ? Lui demandai-je.

- et celui où je y' enroule dans une couverture que je te prend dans mes bras et qu'on regard un film juste pour les filles.

- je crois que ça fait partie de la longue listes de choses qui ont fait que je suis tombée amoureuse de toi Lou.

- moi c'est ton côté bougon qui a rendu complètement accro.

Je le gratifiai d'un tape sur l'épaule.

- nounouille va ! Ma amore mio !

Mon monde c'est toi !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant