Chapitre neuf

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PDV Serena.

Ma grand mère m'avait indiquait une pièce ou mon cadeau m'attendait. Je n'avais pas bronchée, la connaissant elle ne voulait pas faire de l'ombre a qui que ce soit, alors elle avait tendance à m'offrir discrètement mes cadeaux en m'indiquant une pièce pour le trouver.

Je m'avançais jusqu'à celle ci et ouvris la porte, je la refermai une fois dedans et vis mes parents parler avec une personne que je reconnaîtrais entre mille. Il se leva.

Il était la, il se tenait en face de moi. Je lachai par inadvertance mon verre des mains qui se fracassa contre le sol. Je me mis à pleurer et courus dans ses bras. Il me serra fort et me fit tournoyer avant de me reposer sur le sol.

- mais Louis que fais tu la ? Et ta tournée ?

- je crois que ton ange gardien voulait que je sois prés de toi ce soir !

Je me retournai vers la porte qui venait de claquer.

- grand mère c'est donc ça la raison qui faisait que je ne te trouvais pas ?

- oui ma chérie !

- merci !

Ma grand mère intima mes parents a les suivre et ils quittèrent la pièce.

- pourquoi ne m'as tu pas dis que cette soirée comptait pour toi ?

- car je savais que tu ne pouvais pas y être.

- je remuerai ciel et terre s'il le fallait Serena pour toi !

- merci d'être la !

Il se détacha de moi pour allumer le poste radio et faire jouer le CD a l'intérieur.

Il s'avança vers moi et me tendit la main en s'inclinant.

- puis je vous inviter à danser mademoiselle Mow ?

- bien sûr monsieur tomlinson !

Je deposai ma main sur la sienne et il emprisonna ma main dans sa paume. Je plaçai mon autre main derrière sa nuque et lui dans mon dos.

Nous nous laissames entraînés parla musique, plus rien n'avait temps no d'espace. Je perdus toute notion. Il n'y avait que moi et lui qui comptait. Nos yeux ne se quittèrent pas une seconde.

Il avait raison Lucas, Louis faisait la différence, il faisait battre mon cœur a la chamade. Chaque parcelle de mon corps frémissaient à son contact et le plus important, c'était le seul à savoir donner du sens à ma vie.

Quand nous dansions, j'avais l'impression par la fragilité de la musique que nous évacuions toute notre souffrance d'avoir été séparé et ce bonheur de ce retrouver ce soir pour couper le temps long qui nous restait à parcourir l'un sans l'autre.

Il était déjà partit pour des tournées mais moins longtemps, deux mois au maximum.

La musique s'arrêta et nous nous arrêtames de danser. Nous nous séparames et une fois que toute cette électricité en l'air retomba je ne pu me retenir de pleurer après tant d'émotion. Je cachais mon visage dans mes mains et Louis me prit dans ses bras et me caressa le dos.

- ma chérie ne pleures pas s'il te plait, je suis la maintenant !

Je passais mes bras autour de sa taille pour le serrer contre moi. Mais pour combien de temps Louis avant que tu repartes de nouveau.

- chut !

Je me détachai de lui et essuyai mes larmes avec le dos de ma main.

- tu m'as manqué Lou, tu m'as vraiment beaucoup manqué !

- ma Serena, mon amour, pas une seconde je n'ai cessé de penser a toi !

- tu repars ce n'est ce pas ? Ne me dis pas que tu repars ce soir je refuse !

Il se mît a rire, son rire me manquait tant qu'à travers mes larmes je me mis à rire aussi.

- si ta question est que je ne repars pas ce soir ? Je ne repars pas ce soir ! J'ai même eu l'autorisation de passer mes trois jours de pause avec toi avant de m'envoler en Italie.

Je me remis à pleurer. Trois jours, trois jours où il sera a coté de moi. C'est plus que je n'aurais demander mais c'est ce que avais besoin.

- oh mon amour s'il te plaît arrêtes de pleurer ! Me demanda t il inquiet. Il enleva mes mains de mon visage pour les prendre entre les siennes.

- je suis la !

- je sais !

Il s'avança et posa délicatement ses lèvres sur les miennes pour m'embrasser.

- ça te dit qu'on rentre se reposer, tu dois être fatiguée !

J'hochai de la tête comme une enfant.

- nous allons sortir par derrière cela évitera que les paparazzi nous vois ! Mè chuchota t il a l'oreille.

Il me prit par la main et me conduisit jusqu'à la voiture qui nous attendait.

Mon monde c'est toi !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant