Trente deux

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J'étais assis dans ce parc qui était près de chez moi, griffonnant sur un carnet quelques notes qui troublaient mon esprit. Assise contre un arbre, où nous avions gravé nos initiales à nos quinze ans avec louis.

Ce parc était pour moi comme une petite liberté loin de l'excitation de la grande ville, des voitures qui klaxonnaient sur les grands boulevard et de la pollution qui engorgée mes poumons.

Je relevai la tête prenant appuis sur le dos de mes mains et regardais la vie qui se déroulée devant moi.

Seulement quelques enfants jouaient a se lancer le ballon, faire du toboggan ou encore faire des châteaux de sable en compagnie de leur maman.

Qu'il était loin ce temps ou l'on ne nous demandait que d'être des enfants. Je regrette ses années qui défilent nous demandant d'être plus responsables, compréhensif, et fort.

A notre perte. Cela faisait un mois que je n'avais donné aucunes nouvelles a louis. Un long et terrible mois ou nous étions séparés loin l'un de l'autre. Souvent Valentine m'appelait quand son groupe passait a la télévision mais je n'y portais pas attention.

Le temps me paressait horriblement long loin de lui, loin de nous.

Les enfants qui jouaient dans le parc coûtèrent vers moi éclatant de rire et de joie jusqu'au moment où le petit garçon fut rappeler par sa maman. Il était l'heure il devait partir.

La petite fille qui s'était cachée derrière l'arbre ou j'étais avait une mine triste. Je me levai pour me coller à mon tour a l'arbre et lui faire une grimace en face d'elle. Elle me sourit et se cacha.

Nous joua mes aux grimaces cachée assez longtemps au moins que j'en perde mon heure.

Puis un moment à jouer à ce jeu je me penchais pour faire une grimace a la petite fille, mon regard croisa des orbes bleues océan et des cheveux châtain en bataille. Je me rétractais subitement dos a l'arbre, mon cœur battait à cent à l'heure.

Je portais ma main a ma poitrine. 'Calme toi Serena, ce ne peut pas être louis, il est en Belgique en ce moment'.

C'était une hallucination.

Je fermai les yeux un instant pour reprendre mon souffle.

Des bras vinrent entourer ma taille et un souffle chaud vint s'échouer dans mon cou. Je rouvris les yeux et vis cette masse de cheveux que j'aimais tant.

- non mon amour, tu n'as pas d'hallucination, je suis vraiment la. Je n'en pouvais plu de ne pas avoir de nouvelle de toi pendant un mois me chuchota t il a l'oreille.

Je passais mes bras autour de son cou pour le serrer contre moi et blottit ma tête contre son cou pour pleurer. Il passa un bras sous mes jambes pour me poser et l'autre dans le dos.

- rentrons Serena il se fait tard.

Il me porta jusqu'à la maison dans le salon s'asseyant avec moi sur ses genoux sur le fauteuil.

Il caressa mes cheveux.

- je t'aime Serena ! Je sais que tu passes la plus part de tes journées au pied de cet arbre depuis que tu es rentrée a Paris, je n'arrivais pas à être bien te sachant malheureuse.

- je vais bien, je vais mieux louis !

Il resserra son étreinte autour de mon corps.

- hum !

***

Pdv louis

- louis tu manges avec serena ce soir ? Me demanda sa mère.

- oui madame.

- d'accord !

Elle mît la table sur la table basse.

- je dois vous laisser, le repas est dans le micro onde comme d'habitude.

Elle s'avança vers nous et embrassa le front de sa fille.

- prends tes médicaments Serena. Elle releva la tête. Si il y a quoi que ce soit je reste joignable a tout moment sur mon portable.

J'hochai de la tête pour lui dire oui. Elle s'empressa de quitter le salon et partie.

Serena s'ettira calmement et se leva. Je la suivis jusqu'à la cuisine. Elle s'assit sur le tabouret face à son verre d'eau et ses cachets. Je dis l'indifférence déposant un baiser dans ses cheveux et m'occupant a réchauffer le plat.

Elle prit quelques instant avant de les ingurgiter et prendre une grande gorgée d'eau.

Je regarder le plat tourner dans le micro onde quand je sentis ses bras entourer ma taille. Elle déposa sa tête dans mon dos.

- merci d'être la louis, je dois être la pire des petites amie.

La sonnerie de l'appareil ne me permis pas de rajouter quelque chose.

- c'est prêt.

Nous nous installames sur la table basse, elle nous servir et alluma la télévision. La seule chose que nous vimes en premier c'était un spot. "Le groupe le plus primé du moment a fait son arrivée il y a quelques heure en Irlande sans monsieur tomlinson, nous l'avons vu il y a quelques heure plutôt à l'aéroport pour un vol de Paris".

Elle me fusilla du regard. Elle n'avait pas beaucoup manger mais arrêta. Elle posa les couverts et se leva. Je savais que ça lui déplaisait. Je me levai, ramassais les assiettes.

Elle était différentes. Avant tout cela pour cette erreur elle m'aurait fait un scandal.

Je préparais une théière avec de tasse que je mis sur un plateau. Je pris les gâteaux qu'elle aimait tant quand ça n'allait pas. Des oreos.

Je montai et trouvais la porte de sa chambre ouverte. Je la poussais et la trouvais en taille au milieu de son lit sa brosse a cheveux entre ses main.

- les médecins on dit que je ne tarderais pas à perdre mes cheveux.

Je posais le plateau et vins m'asseoir en face d'elle.

- tu seras la plus belle femme que je connaisse que tu es des cheveux ou que tu en ai pas.

- tu crois que tu m'aimeras encore ? Dit elle en relevant la tête pour croiser mon regard.

Je pris son menton en otage et l'embrassa. Je la dis basculer sur les coussin et me posais sur elle. Elle passa ses mains dans mes cheveux.

Avec la force de mes bras je me soutiens pour éviter de lui faire mal.

- je ne pourrais jamais cesser de t'aimer.

Mon monde c'est toi !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant