Chapitre trente et un

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Il s'est en allé ce beau matin sans rien me dire, je crois qu'il sait que nous n'aimons pas les aurrevoirs comme si cela était notre bête noire a tous les deux, comme si nous ne voulions pas y croire.

Je buvais ma tasse de café devant la baie vitrée. Je détestais ce manque, cette maison vide après trois jours. Finalement je n'aimais pas les grandes maison vides.

- Serena ? M'appela la maîtresse de maison.

- oui dis-je en me retournant.

Elle vint s'asseoir à côté de moi.

- comment vous allez ?

- je crois que je ne me ferai jamais a ses départs.

Elle me tendit une enveloppe m'adressait.

- louis m'a donné ceci, il préférait que je sois avec vous !

- pourquoi ? Ne me dites pas qu'il veut rompre !

- mademoiselle, monsieur tomlinson est trop amouraché de vous pour le faire, ses yeux le trahiraient sans aucuns doutes.

J'ouvris cette enveloppe pour sortir la lettre que m'avait écrit louis.

"Mon amour,

Je n'ai pas eu le courage de te réveiller ce matin. Tu dormais tellement bien. Je suis resté longtemps à te regarder dormir avant de finalement partir.

Je savais qu'à la seconde ou tu me regarderais avec tes grands yeux bleus tout serait différent. Tu as toujours détesté les aurevoirs et je crois que je suis devenu aussi allergique à cela comme si c'était ma bête noire.

Je ne voulais pas te voir pleurer car il me serait impossible de partir. Je sais que durant ce court séjour tu n'as pas voulu me parler et m'inquiéter à propos de ta maladie. Pourtant j'en ai besoin. Besoin de savoir comment tu vas.

Non Serena ce n'est pas le genre de lettre a te déchirer le cœur mais plutôt une promesse d'amour. Nous nous reverrons bientôt. Je ne te laisserai jamais tomber, je t'appellerai et t'enverrai des textos souvent.

S'il te plait si ça ne va vraiment pas même en passage éclair je serais près de toi, mais dis le moi. Ce n'est pas par ce que je suis loin que je ne m'inquiète pas.

Reste forte ma Serena. Bientôt je serais près de toi pour quelques mois.

Ton Lou"

Je déposais la lettre sur la table et essuyai d'un revers de main les larmes qui ruisselaient sur mes joues.

Je pris mon portable et lui envoyai un message.

A louis :
Je viens de lire ta lettre. Je suis désolée j'ai pleuré. Sois fort mon louis. Si je ne te dis pas tout, c'est que tout simplement je veux te préserver. Je t'aime.

De louis :
Parles moi, je t'en Supplie pas moi de tout. J'ai besoin de savoir comme j'ai besoin de toi Serena.

Je ne pourrais pas faire cela, si nous avions une vie normale, je comprendrais qu'il veuille me seconder mais la non. Je ne pouvais pas incomber à sa carrière. Je ne pouvais et cela m'étais impensable d'imaginer être un frein dans sa carrière.

- il est mon oxygène ! Avais-je juste ajoutée à ma maîtresse de maison.

Elle avait acquiescé en silence.

Mon monde c'est toi !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant