Seconde chance - The 100, Bellarke fanfiction

Chapitre 2 : Retour à la civilisation

Clarke

Je fis un pas en direction de Bellamy, le regardais dans les yeux et lui dis sincèrement :

- Merci, vraiment.

- Pour ? demanda-t-il, un peu perdu

- Ne pas me regarder comme une meurtrière, même si j'en suis une. terminais-je avant de m'éloigner

Bellamy me suivi et m'attrapa le bras pour me forcer à me retourner avant de me dire en me regardant droit dans les yeux :

- Ne redis jamais que tu es une meurtrière.  Les terriens lui aurais fait la peau de toute façon et il serais mort dans d'atroces souffrances. Tu l'as aidé,  tu lui as épargné ça.  Alors oui, tu as du sang sur les mains, tu as son sang sur les mains. Mais souviens toi toujours de ce que je vais te dire : Personne d'autre que toi n'aurais été capable de le faire. Et si tu as pu le faire c'est parce que tu es la personne la plus courageuse et brave que j'ai rencontré Princesse. Et quoi qu'il se passe, tu peux compter sur moi pour être à tes côtés et te le rappeler à chaques fois que c'est nécessaire.

J'étais bouche bée. Et comme il n'y avait pas de mots pour exprimer à quel point ses mots m'avais touchés,  je m'avancais simplement dans sa direction et me blottie contre son torse. Presque immédiatement,  il m'enveloppa de ses bras comme si c'était le geste le plus naturel du monde.

Bellamy

Entre mes bras elle semblait si fragile, j'avais presque peur de la casser. En même temps,  une partie de moi ne voulais pas lâcher.

Je pensais chaques mots que j'avais prononcé. Je ne comptais plus faire la même erreur de la laisser seule même si je savais aussi que ce ne serais pas facile.  Rien ici sur Terre ne l'étais. Nos amis était toujours prisonniers du Mont Weather et nous n'avions toujours aucun plan pour aller les secourir. De plus, je ne pouvais pas m'empêcher de me faire du soucis pour Octavia qui se rapprochait un peu trop près des terriens qui pour moi n'étaient pas encore digne de confiance.

Soudain je me rendis compte que Clarke était toujours dans mes bras. Et même si je n'avais pas envie qu'elle s'en aille, je me sentis obligé de mettre fin à l'étreinte.  Pour mon plus grand plaisir elle semblait aussi un peu déçu mais me sourit tout de même.

- Allez Princesse, je pense que tu t'es suffisamment isolée.  Il est grand temps que tu montres quel dure à cuire se cache sous ses cheveux blond tu crois pas ?

Cette fois-ci, son sourire était vraiment franc et malgré moi mon coeur fit un bont.

- Absolument !