Chapitre 17 : La disparition

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Clarke

Je regardais attentivement tout ge que Raven avait laissé derrière elle dont un grand nombre d'ultra sons, la radio et d'autres objets apparemment pas terminé.
Où êtes vous ? pensais-je

J'entendais Bellamy au dehors qui s'impatientais :
- Octavia ! Octavia ! C'est Bell, on est rentrée ! Octavia ! Putain Octavia, si tu te ramène pas maintenant ....
Il s'arrêta de hurler pendant quelques secondes avant de reprendre :
- Quelqu'un ! Il doit bien y avoir quelqu'un dans ce foutu camp !

Je sortis de l'atelier et allais le retrouver. Je m'approchais de lui et lui dit :
- Il n'y a personne ici, même pas un mot au cas où on reviendrais...
Il tourna les yeux vers moi et pour la première fois je le vis vraiment effrayé. Je ne savais pas comment réagir.
- Si ça se trouve ils se sont rendus chez les terriens en urgence ... proposais-je
Il hocha la tête et partis déterminer en direction de la forêt. Je voulu le suivre mais toutes mes forces m'avais quitter, je me sentis partir.

- Bellamy ...
Je m'étais exprimer aussi fort que possible mais c'était dans un murmure que j'avais prononcé ses paroles. Je savais pas si il m'avais entendu, probablement pas. En tout cas je m'évanoui avant de le savoir.

Bellamy

J'entendis un bruit derrière moi. Je me retournais et vis Clarke effondrée au sol. Je me précipitais vers elle.
Elle était blanche, comment cela se faisais que je ne l'avais pas remarquer plus tôt ?

Je la portais jusqu'à la cantine et cherchais quelque chose qu'elle puisse manger et boire. Je reviens vers elle. Elle se réveillait.
- Bell, qu'est ce qu'il s'est passé ?
- C'est quand la dernière fois que tu as manger ?
Elle était encore sonné, ça se voyais mais elle essayait néanmoins de réfléchir.
- Le ... le pain. Il y a deux ou trois jours ...
- Pas la peine d'être médecin pour savoir que tu as fait une crise d'hypoglycémie Princesse, dis-je en souriant, allez tiens mange !
Je lui donnais le plateau et tendis qu'elle le dévorait je lui demandais :
- Mais comment tu as pu courir pendant si longtemps sans t'en rendre compte ?
- Adrénaline, m'expliqua-t-elle entre deux bouchées

Pendant que Clarke finissait de manger, je me remis à me demander où Octavia et tout les autres pouvais être. Comment tout le monde pouvais disparaître d'un coup ? La dernière fois que c'était arrivé c'était le Mont Weather qui avait kidnappé presque tout le monde ...

Mais c'était impossible. Nous étions beaucoup trop nombreux pour eux et les terriens protégeaient nos arrière. Normalement.

- Chai bon, j'ai fini ! dit Clarke la bouche encore pleine
- Termine de mâcher, c'est pas digne d'une Princesse, répondis-je avec un sourire
- Tu devrais peut être trouvé un nouveau surnom alors ! proposa-t-elle
- Non, j'aime bien.

Son regard se fixa sur quelque chose derrière moi. Elle se mis à avancer vers lui. Je me retournais et vis un des couteaux d'Indra. C'était mauvais signe, elle ne se séparait jamais de ses couteaux.
Puis je réalisais que la situation était encore pire. Juste avant mon départ, j'avais vu Octavia avec ce couteau.

Non, c'était impossible. Je jure que si on touche à un cheveu de ma soeur, ce fils de pute va le payer et ça je le garantie.

- Bell ? Dis moi, à qui est ce couteau ? - Octavia, ce couteau est à elle. Indra lui as donné pour lui montrer qu'elle appartient dorénavant à leur peuple ...
- Oh ...
Clarke paru un instant désorienté. Elle se repris et ajouta :
- Je te jure, on les retrouvera.
- Comment ?
- Comme on a dit, on commence par chez les terriens et on improvise après.
Je serrais le couteau dans ma mains et regarda Clarke dans les yeux et dit :
- C'est parti.

Clarke

Après avoir pris des provisions dans des sacs, nous nous dirigions vers la forêt, plus à l'affût que jamais.

Plus nous approchions de leurs camps plus nous pouvions apercevoir des formes se cachant derrière les arbres, dans les arbres.
On pouvait de temps en temps entendre quelques chuchotements.

Devant l'entrée, Bellamy et moi échangeons un regard et entrons à l'intérieur. Immédiatement des terriens nous séparèrent et tout en nous empêchant de nous débattre ils nous vérifiaient de nous n'ayons pas d'armes.

Heureusement pour nous, nous avions appris à bien les cachés. Nous nous retrouvèrent bientôt devant Lexa.
Elle semblait aussi intrigué qu'en colère. Mauvais signe.

- Où sont-il ? demandais-je, où est mon peuple ?
- Il vous sera rendu quand votre promesse sera tenue. D'ici là, il resterons avec nous. Si dans deux semaines mon peuple ne m'est pas rendu, le votre saignera.
- Mais ma soeur, intervient Bellamy, elle faisais partie des votres désormais. Alors pourquoi l'avoir emmener ?
Indra s'avança.
- J'ai donné le choix à Octavia. Elle a choisi le peuple du ciel. Et les conséquences de son choix ont été l'enfermerment.

Au moins elle était en vie. Ils l'étaient tous. La question était comment sauver leurs peuple ?

- Vous avez voulu notre protection en échange de votre promesse de libéré tout les prisonniers de la montagne. Or tout les prisonniers n'ont pas été libéré. Nous ne prenons pas les promesse à la légère.
Ok, maintenant Lexa était juste énervé.

Une fois de plus Bellamy et moi étions conduit en cellule. Loin de tout le monde, cette fois, pas dans la même.

- Clarke ? appela Bellamy une fois les terriens s'étant un peu éloignés
- Quoi ?
- Il faut que je te dise quelque chose.
- Vas y.
- Arrivé là bas, je suis entrer dans leurs labo, j'ai vu les terriens prisonniers. Et ...
- Et quoi ?
Je ne le voyais pas à cause des murs. Et de mon côté je commençais à m'impatienter.
- J'en ai libéré une, lui ai dit de se cacher.
- Mais Bell, c'est fantastique ! Ils nous relâcherons tous ! Pourquoi ne pas l'avoir dit plus tôt ?
- Parce qu'elle à dû tenir des jours avec du sang en moins, sans nourriture, sans eau. Elle est sûrement morte ou remise en captivité si elle à été découverte.

Je soupirais et m'adossa contre la paroi et regardais autour de moi.
- N'empêche, atterrir en cellule devient une mauvaise habitude chez nous.
Bellamy rit.
- Fait attention Princesse, tu commence à faire de l'humour.
- Espérons que ce ne soit pas trop mauvais signe.

Parce qu'apparemment nous ne faisons qu'enchaîner les ennuis.

Seconde chance - The 100, Bellarke fanfictionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant