𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 ⁶¹ᶤ|¡⁶¡|ᶤ¹⁶'° ᶳᵉ́ᵇᵃᶳᵗᶤᵉᶰ

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Tu ne pouvais te résilier d'abandonner Sébastien

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Tu ne pouvais te résilier d'abandonner Sébastien. Surtout après qu'il ait toujours été là pour toi. C'était à ton tour d'être là pour lui et de lui enlever le poids de ses craintes qui l'entourais maladivement. Car après tout, tu venais de réaliser que tu l'aimais.

Vous aviez vécu tant de choses ensemble. Vous vous êtes mutuellement soutenu lors de la mort de vos mère. Et contrairement à toi, il ne t'avait jamais lâché la main sur cette route semée d'embuche.

Depuis petite, tu avais désespérément cherché le Prince charmant, mais le Prince que tu avais, était mille fois mieux que celui conté dans les histoires d'enfants. Il n'était peut-être pas parfait, mais c'est ce qui faisait son charme. Peut-être un peu maladroit sur ses sentiments mais c'était plutôt mignon. Peut-être un peu trop protecteur mais ça ne manquait pas de faire réchauffer ton cœur quand tu savais qu'il tenait tant à toi.

Avant que tu t'en rendes compte, tu t'étais déjà jeté sur lui par derrière, le faisant tituber vers l'avant. La surprise s'empara de ces traits avant qu'il ne remarque ta touffe de cheveux [C/C] et tes petites mains qui s'étaient agrippé à sa chemise sobre. Un sourire sincère se forma sur son visage, l'amour fondant dans la façon dont il te regardait à travers ses yeux habituellement froids.

Un léger rire réchauffa tes larmes qui s'étaient infiltré dans sa chemise, alors qu'il te caressa tendrement la tête. Tu n'osais pas relever ton visage qui s'était enfouit à sa chaleur corporelle, car tu étais sûr que tu craquerais de culpabilité en voyant son expression aimante et bienveillante.

Observant ta forme rigide, et mécontent de ne pas pouvoir y apercevoir ton doux visage, il se mit à te chatouiller les côtes jusqu'à ce que tu ne puisses plus le supporter et que tu relâche par dépits le tissu qui te cachait de la réalité de ce monde.

Le son de ton rire envahit l'atmosphère calme et chaleureuse, noyé par-dessus ta mélancolie. Ta peau toucha alors doucement les brins d'herbe du jardin, ton être replié sur toi-même alors que tu te débattais avec tes jambes des dangereuses mains du Prince sournois.

Ton amusement s'emporta peu à peu au son du vent, lorsqu'il s'arrêta soudainement de t'embêter. Curieuse, tout en essuyant les dernières larmes qui s'étaient accumulé dans le coin des yeux, tu ouvris tes iris [C/Y] pour ne voir nul autre que le visage attrayant du mâle corbeau, dont les pommettes étaient devenues rouge cerise. Le contraste entre la couleur vive de ses joues et celle de sa peau porcelaine, te laissa perplexe et admirative. Tous deux s'étaient tu, mais le silence n'en était pas moins agréable alors que tu regardais ses doux yeux gris s'étinceler d'un sentiment chaleureux mais à la fois indescriptible du pur bonheur qui débordait en lui.

Les secondes d'après furent l'arrivé d'un baiser tendre et passionné qui contrastait avec celui qui avait été fait le matin. Son corps était juste au-dessus du tiens alors que les houx de roses vous cachaient de votre moment privé.

Ton ange gardien (Yandere X Reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant