Gothic Love (en pause)

Chapitre 4

Tandis que je faisais mettait boîte mon frère se disputais avec le livreur de pizza car il est arrivé trop tard . 5 minutes après il étais encore là à se disputer, j'en peux plus .

Je descendis les escaliers en faisant beaucoup de bruit et alla à grand pas vers le livreur pour lui arracher violemment la pizza des mains et lui jeter un billet de dix dollars et lui claqua la porte au nez tandis qu'il me criait dessus :

- Euh, mademoiselle!! La pizza coûte une quin..

J'ouvre la porte et lui dit d'un ton tranchant :

- Je m'en bat les couilles , c'est ça ou rien ! Donc tu vas allez tranquillement dans ta voiture de merde et tu vas aller te faire foutre . Merci bonsoir .

Je lui referma la porte au nez et me tourna vers mon frère qui me regardais , interloqué .

Je lui dit brusquement :

- Quoi ?! Moi je ne perd pas de temps avec des livreurs cons , je les envois chier puis c'est tout contrairement à certains .

Il ne répondit rien et va s'asseoir sur le vieux divan pour manger sa part de pizza . J'alla le rejoindre et lui demanda en mâchant :

- C'est quand qu'on va aller avec le gang ?

- Tu t'es enfin calmer là ? C'est beau , je peux parler sans que tu me chiale dessus ?

- Ta gueule et contente-toi de répondre .

- Ok , on s'en vas en fin de semaine . Samedi , précise-t-il en regardant le reportage sur les animaux en vois de disparition.

Je soupire ayant soudainement plus faim . Je repoussa mon assiette mais a la dernière seconde je remarquais quelque chose .

- Euh .. Alex tu as acheté des nouvelles assiettes ?

Il hocha la tête et c'est à ce moment que je me souvenais qu'il avec cassé les assiettes d'avant .

Je me levais et alla dehors ayant une soudaine envie de aller dehors . Je me promenais dans le centre-ville en faisant du vélo.Ouah , c'est fou comme c'est grand ici et tellement beau le soir . Les gratte-ciel, les petites boutique, et la température idéale malgré le grand hiver .

J'adore le Canada .

Je me souviens que quand mon frère avait environ 17 ans et moi 10 ans , nous et nos parent habitait au
Québec . Mais seulement 2 ans plus tard mon père est envoyé en prison à cause qu'il avais violé et tué une jeune femme de 17 ans déclenchants notre haine envers lui . C'est seulement sept mois plus tard que nous avions sus par notre mère que papa étais d'un un gang et qu'il avait capturé la jeune femme qui étais dans le gang adverse pour lui faire ses monstruosité .

N'écoutant pas notre mère qui essayait en vain de nous dire les raisons , nous avons fuis apportant que de l'argent .

Depuis ce jour , nous avons d'intégrer un gang pour suivre papa mais un gang qui n'a aucun rapport avec l'affaire Mélissa ( l'affaire Mélissa est appelé ainsi car la jeune femme s'appelait Mélissa.) . Je ne sais pas vraiment pourquoi , sûrement sur le coup de la colère .
Étant jeune j'étais déjà rebelle .

Aargh.. c'est foutu talons et cette jupe . Une mains sur le guidons et l'autre à tenir ma jupe et c'est foutu escarpins qui n'arrêtait pas de glisser de la pédale qui rendait le trajet pénible . Je parcourus la rue remplis de petites boutiques et quand je vis une boutique qui ai l'air particulièrement intéressante , je décidais de m'arrêter.

Ouff... la torture est presque finie . Je relâchais la tension , décrispait les muscles de mes cuisses tendus depuis le départ et m'apprêtais à freiner quand mon talons droit glissa à nouveau . Je perdis l'équilibre et heurtais quelque chose et m'étalais de tous mon long , ma jupe en flanelles remonté au-dessus de mes fessés . Je perdis connaissance une seconde .. deux ? J'étais un peu sonné .

Une voix inquiète me parvient au oreille tandis qu'une mains douce rabaisse ma jupe :

- Mademoiselle ? Mademoiselle !! Vous allez bien ?

Je me relève difficilement et l'assura :

- Je vais bien quoique un peu sonné mais je vais bien .

- Vous êtes sûre ? Pas de chance , je vous emmène à l'hôpital !

- Non , je vous assure , ça vas aller !!

Je relève la tête et aperçoit une femme dans la mi-trentaine , les yeux soucieux . Elle parut pas très convaincu mais n'insistait pas . Elle me demanda cependant :

- Je peux raccompagner chez vous , au moins ?

J'hausse un sourcil . Elle se justifie :

- Car votre vélo n'est pas vraiment en état et vous non plus . Cela pourrait être dangereux. Faite-moi confiance , mademoiselle.

J'hoche la tête et la suit dans la Toyota .

- Où habitez-vous? me demande-t-elle.

Je ne fais pas vraiment facilement confiance au gens donc je me contentais de lui répondre de me déposer au coin de ma rue .
Quand ont arrivâmes au coin de la rue , elle enleva ma pauvre bicyclette et insista si j'allais vraiment bien et j'hochais la tête .

Dans le cour chemin qui me restais a faire je me mis à penser à quelle point la protection maternelle me manquais cela fesais environ 3 ans maintenant.

Ma côte me faisais légèrement mal et une fois arrivé à la maison mon frère qui était très inquiet s'affola de mon état et je lui dit:

- Je vais bien , pas besoin de t'en faire .

J'étais sèche mais je m'en foutais à présent:

Je voulais juste dormir .