9= *SUITE* ×SCENE DE CRIME×

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-Kalène : Qui est cette Kelyne ?

-Evans : Un ancien mannequin. C'est tout ce qu'on sait d'elle jusqu'à présent. Tenez !!

-SAM : Peste, la belle fille ! Nigma avait encore plus de goût que nous le pensions.

-Kalène : (Rire...)

|( A cet instant entre le medecin legiste,
Dr Lenor accompagné par Julien .
Ce medecin est très apprécié pour sa compétence, mais aussi pour sa prudence.
C'est qu'il tient à tout vérifier, même ce qui paraît évident.

Les fonctionnaires de l'identité Judiciaire prennent au flash les dernières photographies. Quand ils ont terminé, Dr Lenor les prie de déshabiller Nigma . Puis il examine longuement le cadavre . )|

-Dr Lenor : Une seule blessure apparente dans l'hemi-thorax gauche, faite par une arme blanche, couteau ou poignard 🔪.
--Comme vous pouvez le constater, messieurs, aucune autre blessure, pas de coupure aux mains ✋.
-- Ce qui semble indiquer que La victime n'a pas eu le temps de se défendre .

-Sam ( le juge d'instruction): Le suicide est,
bien entendu, à écarter ?

-Dr Lenor : En matière de medecine légale, rien n'est à écarter. Les suicides maquillés en crime sont, vous le savez, assez fréquents . Mais dans ce cas on retrouve toujours l'arme, soit dans la main de la victime, soit à proximité du corps.

-Sam : Ce n'est pas le cas

-Evans : Je précise, du reste, qu'on a découvert dans le tiroir du bureau de M. Nigma un pistolet automatique. 🔫
Il est bien certain que, si l'homme avait voulu se tuer, c'est cette arme qu'il aurait employée.

-Dr Lenor : D'après mes analyses, je crois pouvoir dire que la mort est survenue au plus tard à 23 heures .

-Sam : Eh bien, vous pouvez faire conduire le corps à l'institut médico-legal, et nous allons faire un scellé des vêtements du défunt.

Commissaire du quartier : ok

-Sam : Evans, Maintenant, vous allez continuer à nous faire part de vos constatations.

-Evans : Ce petit meuble, il était ouvert lorsque nous avons pénétré dans la pièce et je me proposais d'interroger le maître d'hôtel à ce sujet.

-Sam : Parfait. Je vais vous remplacer. Faite le appeler.

( Peu après, Julien entrait, accompagné de l'inspecteur Kalène, parti interroger les concierges de l'immeuble.)

-Kalène: Ils n'ont rien vu, rien entendu. Il faut préciser qu'on fêtait les fiançailles de leur fille cadette. Ils sont incapables de dire combien de personnes sont entrées ou sorties.

-Julien : De toute façon, ces concierges ne savent jamais rien et ne s'occupent pas des gens qui montent. Combien de fois j'ai dis à Monsieur.....

-Sam : Oui, bon, vous me raconterez cela un autre jour. Pour le moment regardez bien parfaitement et dites nous si quelque choses vous semble anormal...
-Tout d'abord, ce coffre est ouvert. Je pense que si votre patron avait un coffre fort dans son bureau, c'était pour le laisser fermé ?

-Julien : Bien sûr, monsieur.

-Sam : Etait-il ouvert lorsque vous avez quitté cette pièce, hier soir ?

-Julien : Je ne sais pas monsieur. Je ne crois pas. Je ne peux rien affirmer. J'ai porté mon plateau . Je l'ai déposé sur ce petit bureau, et monsieur m'a congédié immédiatement.

-Sam : Je pense que la clef 🔑 n'était jamais sur le coffre ?

-Julien : Bien sûr que non, monsieur le juge. Monsieur la portait toujours sur lui. De plus, le coffre s'ouvre avec un chiffre.

-Sam : Mais comment le savez-vous ? Vous connaissez ce chiffre ?

-Julien : Oh non, monsieur mais monsieur me donnait de l'argent, il le prenait toujours dans le coffre et je voyais bien qu'il formait un chiffre pour l'ouvrir.

-Sam : Par conséquent, il y avait de l'argent dans ce coffre ?

-Julien : Sûrement, monsieur.

-Sam : Dite moi, comment le savez-vous ?

{{ La question a été brutale. Julien regarde le juge et les policiers avec effroi }}

-Julien : Monsieur le juge, vous n'allez pas croire que....

-Sam : Mais je ne crois rien, mon amis....
Je vous pose une simple question :
Comment savez vous qu'il y avait de l'argent dans le coffre ❓

-julien : Lorsque je présentais mes livres à Monsieur, il ouvrait devant moi le coffre et en retirait les sommes qui m'étaient nécessaires.

-Sam : Et pour quel montant à peu près ?

-Julien : Je payais tout dans la maison . Il lui arrivait de me rembourser Cent Mille...

-Sam : Bien bien, et lorsqu'il vous remettait une somme aussi importante. Aviez vous l'impression qu'il restait de l'argent dans le coffre ?

-Julien : Oui, monsieur le juge, Monsieur ne se cachait pas de moi et je voyais qu'il restait toujours des liasses de billets dans le coffre.

-Sam : Alors, concluons : il y avait toujours au moins deux cent mille à trois cent mille dans le coffre ?

-Julien : Au moins, monsieur le juge.

-Kalène : voulez vous faire l'inventaire de ce coffre et vous, Julien, voulez vous examiner la pièce et me dire si quelque chose vous frappe ?

( Le magistrat tambourine sur la vitre, en écoutant le commissaire Evans qui lui parle à voix basse. Brusquement, une exclamation de Julien les fait se retourner) :

-Julien : Le coupe-papier ❗


( DES VOIX ) : QUOI❓

A suivre ▪▪▪

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Sa creuse, sa creuse, sa creuse seulement pour arrêter le meurtrier .
Que pensez vous de cette partie ?
N'hésiter surtout pas à donner vos avis .
Merci

ASSASSINAT DANS L'OMBREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant