10= LE FAMEUX COUPE-PAPIER

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                  -Le coupe-papier ❗

-Julien :  Le coupe papier de Monsieur n'est plus sur le bureau.

-Sam :    Comment était-il, ce coupe papier  ?

-Julien : Ce n'était pas un coupe-papier

-Sam :     pff... Expliquez-vous clairement 
               bon Dieu !! 😡

Julien :   Eh bien, voilà, monsieur le juge : Monsieur Nigma s'en servait comme d'un coupe-papier, mais c'était en réalité, un petit poignard très joli, avec une manche en or ✨ ou tout au moins doré, que sa soeur lui avait offert pour son anniversaire. Je me souviens que cela venait de *chez Cartier* et je dois avoir conserver l'écrin.

-Sam :    Tâchez de retrouver cet écrin, et dite moi comment s'appelle la soeur de Nigma .

-Julien :   Moro, monsieur le juge. Odile Moro ne s'est jamais mariée.

-Sam :   Vous souvenez-vous, Julien, de l'époque à laquelle elle a offert ce poignard coupe-papier à son frère ?

-Julien :   A l'occasion de son dernier anniversaire, c'est à dire le 21 Juillet.

-Sam :    Eh bien, voilà qui est parfait. Monsieur Evans, envoyez nous un de vos officiers de police "chez Cartier".
-On retrouvera certainement la trace de cet achat sur les livres. Ça me conduira peut-être à rien, mais il est tout de même intéressant de vérifier .

-Evans :   C'est exact

-_(P.R) :   Hum... On pourrait évidemment penser à un crime crapuleux, puisque l'argent à disparu, mais il me paraîtrait tout de même extraordinaire qu'un voyou n'ait pas apporté avec lui "l'arme du crime" pour commettre son mauvais coup.

-Sam :   A moins, bien sûr, qu'il ait réussi à pénétrer dans l'appartement, persuadé de le trouver désert, et que Nigma soit brusquement apparu....
Je ne crois pas au crime crapuleux, car rien a été touché, bien qu'il y ait ici quantité d'objets de grande valeur.

-Evans :   Et j'ajoute que nous avons bien vérifier la porte d'entrée :  aucune trace d'effraction. Julien nous a confirmé qu'il n'avait ouvert à personne.
"*C'est donc Nigma qui est allé ouvrir à son meurtrier*".
--Allez rechercher Julien.

     (          Quelques temps après.    ...      )

-Evans :    Eh bien !  Vous avez mis du
                   temps  !

-Officier :   Mais, patron, il y avait pas de maître d'hôtel à cette heure "chez RIFAT". J'ai dû filer chez celui qui avait servi Nigma et il habite dans le 16 ème.

-Evans :    Alors ?

-Officier :   Nigma est arrivé vers 8 heures et demie, il avait réservé une table et il a attendu jusqu'à 9 heures l'arrivée de sa maitresse.
-Le maître d'hôtel a remarqué qu'il était extrêmement nerveux.
-Il a sorti une lettre froissée de sa poche, l'a lue et relue.

-Sam :    Eeeet...

-Officier :   Cette lettre ✉, nous l'avons, monsieur le juge. Je l'ai retrouvée dans la poche du veston de la victime, la voici 📃

-Sam :   Tien tien📃... En gros on apprend à Nigma que Kelyne le trompe et qu'elle est la maîtresse d'un certain Alexis.
_ Monsieur Kalène, qu'avez-vous trouvé dans les poches de Nigma ?

-Kalène :   Un portefeuille avec un millier de billet et des papiers d'identité, ainsi qu'un petit carnet qui porte plusieurs indications.

-Evans :   Drôle de meurtrier crapuleux qui ne cherche pas à s'emparer du contenu du portefeuille de sa victime.

-Sam :   Et bien entendu, vous faites dépouiller ce petit carnet.

-Kalène :  Il n'y a rien, si ce n'est << 15h, ministre des affaires internes>>

-Sam  :   Il est peu probable que nos soupçons puissent se porter de ce côté.

-Kalène :   Il y a autre chose monsieur le juge. Dans la corbeille a papier :  des lettres et des photos de Kelyne déchirées.

-Sam :    Récapitulons les points non discutables. Vers 9h "Chez RIFAT" une scène de rupture,  Kelyne est partie de son côté et nigma est rentré chez lui. Le crime a été commis après que julien fut remonté dans sa chambre, c'est à dire 21h 30 ou 21h 45 et au plus tard 23 heures.
Le coffre a été ouvert. L'était-il avant l'arrivée du meurtrier ou a-t-il été ouvert en sa présence ?  Nigma attendait-il son visiteur ou est-il allé ouvrir sur un coup de sonnette inattendu  ?

-Evans :     Nous n'en savons rien

-Sam :         Dites moi julien , pensez-vous que nigma était un homme à ouvrir la porte en pleine nuit à un visiteur qui aurait sonné à l'entrée  ?

-Julien :    Absolument implossible monsieur.

-Sam :   Pourquoi ?  Il craignait quelque chose, un cambriolage  ?  Il avait des ennemis qui l'avaient menacé ?

-Julien :    Nom monsieur, c'est impossible car il n'entendait pas la sonnette.

-Sam :    Il était sourd ?

-Julien :    Pas le moins du monde, mais monsieur ne voulait jamais être dérangé car la sonnerie de la porte d'entrée ne retentissait que dans l'office ; du coup, monsieur ne pouvait rien entendre.

-Sam :  Vous êtes certains de ce que vous dites  ?

-Julien :  Absolument certain monsieur le juge, vous pouvez faire l'expérience.

(     Quelques instant après l'essai...     )

-Kalène :   Ce que dit julien est bien exact : on entend que de l'office.

-Commissaire Evans :   Alors, le meurtrier avait peut être la clé 🔑 de la maison  ?
Dit, julien, Qui avait les clefs de la maison ?

-Julien :   Monsieur à un trousseau, j'en ai un de mon côté .

-Evans :  Et le chauffeur  ?
- Julien :   il n'en a pas besoin .

-Evans :   Donc, vous étiez seul, avec votre patron à posséder un trousseau de clefs ?

-Julien :   Ah ! non monsieur le juge, depuis quelques mois, Mlle Kelyne avait également les clefs .

-Evans :  Je vous remercie.
   Eeeeh connaissez-vous son adresse ?

-Julien :   Non, mais le chauffeur la connait. Il est en bas avec la voiture

-Sam :    Eh bien !  Evans , vous savez ce qui vous reste à faire...

           A suivre...
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Pauvre Julien . le malheureux en eu un haut-le corps. La suite sera encore plus palpitante.... Et n'oubliez pas mes like et pourquoi pas des commentaires...
A la prochaine .



ASSASSINAT DANS L'OMBREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant