Daphné Walter and Gilbert Blythe,une grande aventure

1.Cette nuit là.

L'horloge tourne et mère commence à s'impatienter,elle tape régulièrement du pied avec ses talon haut de luxe que père lui avait acheté lors de leur dernier dispute pour arranger les chose et à demander plus de six verres d'alcool à notre bonne. Elle est vraiment sur les nerfs depuis qu'elle à vue père avec une femme entrain de se câliner dans une calèche plus tôt dans la journée,ils avait l'air vraiment proche et sa contrarie énormément mère. La porte s'ouvrit laissant place à père tout tremper à cause de la pluie qui venait de surgir à l'extérieur. Une des bonne lui pris son couvre-chef et une autre son manteau,il pénétra dans l'entrée sans même nous lancer un seul regard,il s'apprêta à monter les escaliers mais fit arrêter par le haussement de vois de mère qui rendit l'atmosphère encore plus pesante quelle ne l'était déjà.

-Vous ne viennez pas prendre le souper ? Dit elle dos à père le regard vide.

Il y a eu un blanc pendant un petit moment.

-...non,j-je n'ai pas l'appétit. Dit il finalement.

-Oh vous avez déjà du dîner avec Elle c'est vrai,qu'elle sotte je fais. Répliqua trés vite ma mère.

Il pris encore un instant pour parler et dit :

-D-de qui parlez vous ?

-Ne faite pas l'innocent avec moi,je suis au courant de tout. Elle versa une larme à sa dernière phrase.

-Mais de quoi parlez vous bon sang ?! Il commença à hausser le ton.

-DE VOTRE MAÎTRESSE DE QUI D'AUTRE ! Hurla t'elle en se levant brusquement de sa chaise se qui me fit sursauter. ALORS QUI EST-CE ?! QUI EST ELLE ?!

À se moment là tout a basculé,mère s'énerver,père finit par avouer tout ce qu'il avais fait,ce qui rendit mère encore plus folle de rage. Ils se disputèrent toute la nuit,mère pleurer,père disait qu'il n'avait aucun regret et moi j'étais spectatrice,je me sentait inutile,frustré,incapable d'agir . Je me réfugie dans ma chambre attendant que leur querelle se finisse comme d'habitude mais cette fois ci je doute que ce sois une simple querelle habituelle. Quelques minutes plus tard j'entendais père giflé mère à travers les murs et ça ma fait encore plus pleurer. Je m'endormi dans un oreiller recouvert de chaudes larmes et je senti ma gorge se resserrer.

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Je fut réveillé par ma mère qui me secoué avec douceur.

-Aller debout petite louve.

-Bonjour mère. Dit je surprise de sa présence. Qu-que fait vous ici ?

-Eh bien...ton...ton père est partit avec sa...sa nouvelle fe-femme en prenant tout nos bien,tout lui appartient désormais et je vais m'en aller aussi. Dit elle les larmes au yeux.

-Quoi ?! Mais où voulez vous que nous alons alors que nous avons tout perdu ?! Dit je affolée en me redressant de mon lit.

-Eh...moi...je vais dans une maison religieuse pour me ressourcer et...et toi tu va désormais t'installer chez ta tante Mérédite,à Avonlea.

-Quoi ? Non non non je refuse,je veux rester avec vous mère. Dit je les larme au yeux tout comme elle.

-Tante Mérédite est divinement bonne avec les enfants malgré qu'elle n'ont ai pas et elle au moins elle peut te nourrir et prendre soin de toi car elle en a les moyens tandis que moi...non je ne l'ai ai pas et je ne veux que ton bonheur donc,tu ira vivre avec tante Mérédite un poin c'est tout,la décision a déjà été prise.

-Mais...mais mère,je vous en prie.

-Tu n'as pas ton mot à dire jeune fille,aller debout et va donc chercher tes vêtements. Dit elle d'un ton plus  ferme.

Je prie un petit temps pour réfléchir et me résolu à dire :

-Oui mère. Mais m'aviez vous pas dit que...père a pris tout nos bien ?

-Il a tout prix dans la précipitation durant la nuit sauf quelque vêtements ou autre mais je pense qu'il va envoyer des hommes pour les prendre donc fait tes affaires le plus vite possible,compris,allez du nerf.

-Je comprends mieux désormais,je vais chercher dans mon armoire.

-Fait don cela.

Mère et moi avons passé plus de deux heures à chercher des vêtements,objets,bijoux ou autre. J'ai retrouvé une dizaine de robes,une brosse à cheveux et un vieux miroir, une boîte en bois contenant quelques vielle lettres miteuse et une bague avec une émeraude je dirais. Tandis que mère avait déjà fini ses valises j'étais entrain de déposer la boite en bois dans la mienne.

-Est tu prête Daphné ? Une charette nous attend près de la grande place.

Je ferme ma valise d'un grand coup et dit :

-Allons y .
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Voila pour le premier chapitre.

J'espère qu'il vous a plût !