Daphné Walter une enfant de ville plutôt aisée du 19ème siècle,va voir toute sa vie se tourmente le jour où son père s'en alla avec sa maîtresse laissant son épouse de toujours et son unique fille de douze ans sans plus aucun bien matériel ou argent...
-Prenai cela et croiser vos petits doigts les une des autres,je vais répéter le serment,je jure solennellement d'être fidèle à mes amis dévoués Diana Barry et Daphné Walter aussi longtemps que vivront le soleil et la lune. (Voir média)
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Cela fait deux jours que Anne,Diana et moi avons fait le serment d'être les meilleurs amis que le monde puisse connaître et cinq jours que je suis à Avonlea. Durant les deux dernières jours tante Mérédite n'a fait que me couver,à chaque fois que je voulais l'aider en quoi que ce soit,elle m'en empêchait en s'en occupant avant moi,sûrement par peur que je me blesse ou je ne sais quoi. C'était comme une course entre nous et en ce moment même je vien tout juste de réussir à gagner la course pour la première fois,en partant récupérer les œuf des poules pour le déjeuner. Je me suis réveillé plus tôt juste pour réussir à les avoir avant elle. Je suis sur le point de rentrer dans la salle à manger grâce à la porte de derrière qui donne sur la cuisine quand je tombe nez à nez avec une femme assise avec un regard inquiet à table entrain de siroter quelques chose dans une tasse en porcelaine de tante Mérédite. Elle me regarda avec incompréhension et arrête brusquement comme si elle avait une sorte d'illumination.
-Tu dois sûrement être l'auteur orpheline. Dit elle un sourcil archer.
-Eh...oui,je m'appelle Daphné,Daphné Walter,et vous êtes ? Dit je en l'analysant tandis qu'elle me regarde de haute en bas avec une pointe de dégoût.
-Walter hein ? C'est bien ce que m'a dit Eliza,tu est la nièce de Mérédite et la fille de Lucia donc ? Dit elle sans répondre à ma question.
-Oui c'est exact. Répondit je en déposant mon panier d'œufs sur la table. Si vous cherchez ma tante,je m'excuse mais,elle n'est toujours pas réveillée. Continuait je.
-Ah non,Mérédite vien tout juste de se réveiller,c'est même elle qui m'a ouvert,elle est juste partie se refaire une beauté. Sinon si tu est la fille de Lucia que diable lui est il arrivait pour que Mérédite dise que tu est orpheline ? Dit elle curieusement en se plaçant sur sa chaise.
-Euh...je...oh vous voilà enfin tante Mérédite,je vous souhaite le bonjour. Dit je en voyant ma tante descendre les escaliers vêtu d'une simple tenue de tout les jours pour se mettre au travail.
Je dois remercier ma tante d'être arrivée au meilleure moment,car je ne pouvais pas répondre à cette question sans me mettre à pleurer.
-Bonjour à vous deux,je crois que je ne vous est pas officiellement présenté alors Daphné,je te présente Rachel Lynde,l'une de nos voisines et Rachel je vous présente Daphné,ma nièce.
-Enchanté Mme Lynde. Dit je en m'asseyant sur la chaise en face de cette dernière tandis que ma tante s'assoit sur celle juste à côté.
-Et de même petite. Dit notre voisine.
-Alors Rachel que me vos cette visite soudaine ? Questionna ma tante en me servant une tasse de lait.
-Oh...oui et bien c'est Marilla,elle n'est pas très bien en ce moment,elle est stressée,anxieuse et n'arrive à rien avaler malgré toutes les pâtisserie qu'elle fait,on croirait entrer dans une boulangerie. Dit elle d'une traite.
-Mais pourquoi donc ce met elle dans cette état ? Demanda tante Mérédite avec inquiétude.
-Et bien,depuis le départ de Anne et celui de Matthew voyons. Dit elle comme si nous devrions le savoir.
-Anne et Matthew sont partis ? Mais où et depuis quand ? Demandais-je en me mentant sur mes grand chevaux sans même le faire exprès.
-Cela fait deux jours,Anne est retourné à l'orphelinat car Marilla l'avait soupçonné d'avoir dérobé sa broche de famille mais Marilla l'a retrouvée une nuit après son départ et Matthew a du prendre la route avec belle ( le cheval des Cuthbert ) afin de la retrouver et Marrilla se sent énormément coupable.
-Je vois,alors nous devrions prendre la route dés maintenant afin de ne pas perdre de temps. Dit-je en me levant brusquement de me chaise,déterminée à remonter le moral de Mme Cuthbert.
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Nous sommes toutes les trois entrain de marcher le long des barrières des pigeons verts et Mme Lynde nous dit qu'elle rentre chez elle afin de dire à Tom,son époux,de partir à la recherche de Matthew et Anne et qu'elle reviendra d'ici une minute. Arrivés dans la grande allée des Cutbert,tante Mérédite marche plus vite,elle m'a l'air extrêmement inquiète pour Marrilla. Nous sommes sur le porche et ma tante ne pris même pas le temps de toquer à la porte et ouvrie cette dernière qui était étonnamment déverrouillé. Il y avait sur la table des tas de pâtisserie de toutes sortes et le sol,les murs et les meubles de la maison brillaient de mille feux,comme si ont les avais astiqué à en mourir,ce qui devait sûrement être le cas de Mme Cuthbert.
-Bonté divine,où es-tu donc passer Marilla ! Hurla ma tante en fouillant de fond en comble la fameuse maison des pignons vert,à la recherche de cette dernière.
-Tante Mérédite,la voilà ! Dit-je à ma tante en pointant du doigt,par la fenêtre Marilla dans une charette qui s'apprêtait à s'en aller.
Ma tante cour dans ma direction,regard par la fenêtre juste à côté de moi et se précipite vers Mme Cutbert qui c'était déjà faite interceptée par Rachel. Je suivais de très près ma tante et nous arrivâmes au niveau de nos deux voisines. _________________________________________
Rachel Lynde :
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