Daphné Walter une enfant de ville plutôt aisée du 19ème siècle,va voir toute sa vie se tourmente le jour où son père s'en alla avec sa maîtresse laissant son épouse de toujours et son unique fille de douze ans sans plus aucun bien matériel ou argent...
Quelques nuits passèrent , des nuits dans les qu'elles une sorte de tension négative pesait dans nos cœur-à tante Mérédite,Mme Lynde,Marrilla et moi. L'angoisse de ne pas revoir Anne ou Matthew saint et sauve,cette angoisse nous là partagèrent. Et tandis que tante Mérédite partie comme tout les jours rendre visite à Marrilla qui était toujours autant dévastée, je pris une grande inspiration après avoir déjeuner des tonnes de pâtisserie de Marrilla avec ma tante et cette dernière et m'en alla de mon côté visité les alentours des pignons verts.
Je pris un petit chemin plutôt étroit dans la forêt qui se trouvait tout près de l'enclos des vaches.
-Ce sera mon repère pour sortir de cette foret. Me dit-je en pointant du doigt une vieille barrière cassée,où j'écris avec de la bous,"les pignons verts".
Puis,je me tourna face à la sorte de petite entrée du chemin et pris la route à pied,seul avec mes pensées et mon chapeau.
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Après quelques heures de marche à admirer des arbres et des fleurs sens rien trouvé d'extraordinaire,je tomba sur un cabanon effondré sur un vielle arbre. En enjambant des planches et des pierres qui ce trouvaient dans cette petite cabane,je pu constater que ce cabanon avait quelque chose de spécial et qu'il n'était pas aussi petit que ça,nous pouvant même y entrer à plusieurs. Il était vide mais plein de vie à mes yeux,il me rassurer en quelque sorte,malgré ses nombreuses toiles d'araignée qui pendaient au murs et au plafond.
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Une heure et demie plus tard dans la quelle j'ai passé mon temps à imaginer toutes les décorations que je peux mettre sur ce cabanon afin de rendre ce dernier des plus exquis,je pris la route inverse de toute à l'heure pour pouvoir retourner au pignon vert mais dans mon chemin je croisa un animal que je caliphifié de biche,comme dans les livres de mère. Elle s'approcha de moi tout en reniflant mes pas qui étaient visibles au contacte de la terre humide et arriva à mon niveau,j'étais terrifié et je me paralysie de peur.
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Elle ne fessait que me renifle mais malgré ça,j'avais peur,peur qu'elle soit dangereuse contrairement à ce qu'il y avait d'écrit dans les livres,peur qu'elle me mord ou m'attaque mais elle ne fit rien de tout ça et partit comme si de rien était,me laissant pétrifiée et apeurée en plein milieu de la forêt.
Je pris un temps pour me remettre de mes émotions et repris ma route en marchant un peu plus vite par peur de recroiser un autre animal qui lui pourrai être dangereux.
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Arrivé devant mon "repère" ,je regarda à l'horizon et remarqua un cheval arrivé,sur le qu'elle je reconnu deux silhouette que je reconnaîtrais entre mille. Je me précipita en direction de la maison où le cheval s'arrêta et j'arriva en même temps que Marrilla et tante Mérédite sont sortis de la maison.
Anne et Matthew étaient là face à nous,ils abordèrent tout deux un sourire radieux,tout comme moi.
-Anne,Matthew vous êtes de retour ! Hurlai-je de joie.
-Où diable étais-tu passé Matthew Cutbert ! Hurla Marrilla à son tour mais je fit abstraction puis je ne pris même pas le temps de réfléchir et me jeta sur Anne pour lui faire une accolade qu'elle accepta volontiers et qu'elle me redonna en me serant encore plus fort pour me montrer son affection et sa joie de revenir à Avonlea.
-J'ai eu tellement peur de ne plus vous revoir toi et Matthew. Dit-je en me décelant de mon amie.
-Comme tu peu le constater,nous sommes là,tu n'a donc plus aucune raison d'avoir peur. Dit Matthew en dépoussiérant son chapeau comme à son habitude.
-Oui vous avez tout à fait raison. Lui répondais-je.
-Quelle joie de vous revoir parmi nous Matthew et Anne,nous étions si inquiets. Dit ma tante à son tour en s'avançant dans notre direction.
-Et quelle joie pour nous de revenir à la maison. Rétorqua l'homme de la famille Cuthbert.
J'entendis Anne murmurait le mot "maison" avec fierté dans son coin.
Anne s'avança vers Marrilla et la salua d'un "Bonjour Mme Cutbert" aussi radieux que son sourire.
-Bonjour Anne c'est une bonne chose que tu sois de retour,emporte tes affaires dans ta chambre, je vais servir le souper. Répondit Marrilla froidement et je sentais qu'elle était fébrile et sous le choc.
Le sourire de Anne l'a lâcha et elle se décomposa au fur et à mesure qu'elle avançait en direction de la maison. C'est sûr ce ne sont pas les mots qu'attendait Anne mais après tout il ne faud pas s'attendre à une Marrilla qui saute de joie et danse de reconnaissance.
Après les sorte de retrouvailles,Marrilla nous invita au souper-tante Mérédite et moi mais ma tante refusa en disant que c'était mieux qu'ils dînent tout les trois en famille,ce que je compris totalement puisque désormais ils sont une famille,tout comme moi et tante Mérédite.
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Après avoir dîné avec ma tante nous avons admirés les étoiles tout en nous racontant nos journées. La mienne était bien plus mouvementée que la sienne mais la sienne l'avait apriori exténuée car tout de suite après m'avoir raconté sa journée,elle se leva et partit dormir comme un nouveau né. _________________________________________
