Je ne répondit pas et me mit à courir dans les champs sans raison mais cela me fit un bien fou.
Je courais sans même savoir où j'allais ni se que j'allais faire arrivé à bout de souffle mais je savais une chose,c'est que j'appréciais plus que tout ce superbe moment que je trouve non seulement unique mais aussi dès plus agréable. Arriva le moment où je sentit qu'il fallait que je m'arrête,je releva les yeux vers l'horizon et fit incroyablement surprise de voir de l'eau à perte de vue. J'avais courut jusqu'une falaise. Pensait je. Je resta plus d'une heure comme ça,à admirer le vaste océan,j'apprécie la sérénité et le calme de la braise d'été qui me faisait volte face. La mer était si belle,très peut agiter et le soleil ne faisait qu'embellir cette dernière. Mon moment de paix se termina quand j'entendis quelqu'un courir en ma direction,par réflexe je me retourna brusquement et en me retournant,je reconnais un visage familier,celui de Anne. Elle avait l'air si triste et désorientée,elle me faisait de la peine,elle était dans le même état que moi.
-Daphné ?! -Anne ?!
Le fait que nous avons dit nos noms en même temps,nous fit toutes deux explosés de rire et encore en même temps. Après que nous nous sommes calmés,elle pris la parole et dit :
-Mais qu'est-ce que tu fait là ?
-Je te rejette la question.
-Une horrible femme,grosse et qui n'a pas la moindre once d'imagination,s'est moquée de moi en m'insultant de maigrichonne,horrible rousse,que j'avais la peau sur les os et j'en passe. Dit elle en pleurant comme une fontaine.
-Cette femme est dés plus désagréables et malpolis,elle a l'air odieuse comme personne ne l'a jamais était et si je dois rajouter quelque chose sur elle c'est surtout que c'est la pire de toute les menteuses qui existent sur terre car tu est magnifique et tu a une couleur de cheveux divinement belle.
Elle me lança un sourire rassuré et se mis à sécher ses larmes.
-Et toi alors,que fait tu dans cette incroyable havre de paix ?
-...À vrai dire je devrais te raconter toute l'histoire pour que tu comprenne mais-
-J'ai tout mon temps,je ne compte sûrement pas retourner aux pignon vert d'aussi tôt. Dit elle en me coupant.
-Pignon vert ? La questionnais-je.
-Les pignons vert c'est ma nouvelle maison,à vrai dire c'est ma première vrai maison enfaîte car je n'en n'ai jamais eu,enfin si,l'orphelinat mais je ne pense pas le caliphifié de foyer ou de maison.
-Tu...tu est orpheline ? Je n'en savait rien,désolé.
-Oui je suis orpheline depuis mes trois mois,mes parents son tout deux morts de la fièvre typhoïde et c'est Matthew et sa sœur Marilla Cutbert qui m'ont adoptait malgré qu'ils voulaient un garçon pour les aider à la ferme,je vais tout faire pour montrer à Mme Cutbert que je peut faire tout ce qu'un garçon peut faire et plus encore. Mme Cutbert dit que je suis à l'essai donc il faud que je fasse mes preuves pour ne pas retourner à l'orphelinat ou de travailler pour des gens mais j'ai vraiment l'impression qu'elle ne m'aime pas.
-Oh mais allons ne dit pas de sottises,personne ne peut ne pas t'aimer et je te souhaite bien du courage pour montrer à Mme Cutbert qu'une fille peut être plus utile qu'un simple garçon mais ne t'en fait pas je serai là si tu a besoin de mon aide.
-Merci vraiment,tout ce que tu dis est d'une telle gentillesse.
-Il n'y a pas de quoi.
-Bon aller à ton tour de me dire ce que tu fait là.
-Et bien à vrai dire Anne,nous avons un nouveau point commun car je suis désormais orpheline tout comme toi.
-Oh...je suis désolé,toute mes condoléances.
-...non...ils...ils m'ont abandonnés,enfaîte c'est mon père qui nous a abandonné en premier,mère et moi en nous laissant dans la misère. Et puis mère qui est la femme qui a dit à Matthew de m'en mener chez ma tante Mérédite,m'a abandonnait pour aller dans une maison religieuse en France en prétextant qu'elle...qu'elle ne peut pas s'occuper de moi car elle est trop triste par rapport à père,donc je suis désormais orpheline et elle me l'a fait découvrir à travers une lettre. Moi qui croyait que je serais ici pour quelques jour,en réalité je...je vais y passer ma vie,seulement si tante Mérédite accepte de me garder bien sur.
Anne fit une tête compatissente,sourit et me fait un câlin. J'étais surprise au début mais je lui est très vite rendu. Après quelques minutes nous sommes rentrés "chez nous" si on peut dire ça.
En ouvrant la porte,tante Mérédite m'enchaina de question,elle me semblait très inquiète,serai t'elle inquiéter à mon sujet ? Mère ne l'a jamais été à ce point pour moi.
-Bon aller vien m'aider à faire la table nous allons bientôt manger. Dit ma tante en se séchant les main avec son tablier de cuisine.
-Oui tante Mérédite.
Pendant le repas,Tante Mérédite m'annonça qu'elle aller m'adopter et me chérir comme ça propre fille,cela me rendit folle de joie malgré que ce sois très très dure de se séparer de mes parents puis nous avons un peu discuté de Avonlea,j'ai apris qu'il y avait une école pour les enfants du village et tante Mérédite m'a proposé de l'intégrer à la rentrée,j'ai bien évidemment accepté. J'ai aussi appris que les Walter et les Cutbert s'entendent très bien pour plusieurs reson mais surtout car ils partagent leur champs donc tante Mérédite aide beaucoup Matthew pour la moisson ect...
-Merci pour le repas tante Mérédite c'était délicieux,puis je savoir où se trouve ma chambre ?
-Pas si vite jeune fille,tu est une Walter désormais et il faud officialisé cela.
-À...à bon ? Et comment fait on ?
-Comme ça ! Dit elle en me portant comme un sac à patate jusqu'au petit salon où nous attendait une bible et des tas de fleurs de toutes les couleurs sur le grand buffet.
-Tu vas devoir signer la bible de ton nom et lancer toutes ces fleurs autour de toi,c'est la tradition dans la famille.
-Trés bien. Dit je en faisant tout ce qu'elle ma dit de faire avec le sourire jusqu'au oreilles.
Serait-ce le début de ma nouvelle vie ?
_________________________________________Chambre de Daphné :
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Daphné Walter and Gilbert Blythe,une grande aventure
RomanceDaphné Walter une enfant de ville plutôt aisée du 19ème siècle,va voir toute sa vie se tourmente le jour où son père s'en alla avec sa maîtresse laissant son épouse de toujours et son unique fille de douze ans sans plus aucun bien matériel ou argent...