4.La lettre.

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-Mon dieu tu ressemble tellement à Lucia.

-Je vous remercie si cela était un compliment.

-Bien sûr que ça l'est,Lucia était la plus jolie jeune fille de Avonlea et tout les garçons étaient fou d'elle.

-Mère vivait t'elle ici ?

-Bien sûr,ta mère et moi somme née ici dans ce petit village.

-Ah bon et comment ce fait-il qu'elle ne m'en ai jamais parlé ?

-Je n'en sais rien mais allons entre que tu te repose,tu à du faire un dur voyage de New York jusqu'ici. Dit elle en s'écartant de la porte,laissant place à une maison dès plus charmante.

Je traverse le palier de la porte et dépose mon chaperon sur le porte manteau accroché au mur de l'entrée. En pénétrant dans la cuisine qui est relié à la salle à manger,je renifle une somptueux odeur de gelée à la fraise comme je n'en est jamais senti.

-Quelle délicieuse odeur ! M'exclamait-je.

-Je vois que tu apprécies l'odeur de ma confiture mais que penserait-tu de la goûter autour d'un thé,il est bientôt seize heures et nous pourrons en profiter pour discuter de ta venue ?

-Avec plaisir madame Walter.

-Oh non je t'en prie pas de mondanités avec moi dit donc,appelle moi Mérédite ou tante Mérédite si tu le préfère.

-C'est d'accord tante Mérédite.

-Parfait alors fait comme chez toi et moi je vais préparer notre thé.

Tante Mérédite se dirige vers la cuisine pour préparer le thé et je fait un peux le tour de la salle à manger,il y a une chaudière en fer encastrée dans le seul mur de brique de la maison,un petit meuble avec des fleurs sur le dessus mais mon attention se repose immédiatement sur un grand vaisselier rempli de jolies couverts en argent,de magnifique assiette en porcelaine et de plusieurs photos de famille où je reconnais mère plus jeune.

-Voila c'est près ! S'exclama ma tante en déposant sa théière et deux tasses à thé sur la table. Attends moi deux minutes je dois ramener le pain,le beurre et la confiture.

-Non non laissez moi m'en occuper,j'y vais. Dit-je en me dirigeant dans la cuisine. Eh...j'ai juste une petite question,où se trouve le pain,le beurre et la confiture ? Dit je en me coupant dans mon élan pour me retourner face à elle.

-Et bien le pain est sur le bord de la fenêtre et la confiture et le beurre sont tout deux sur l'étagère de gauche.

-Merci . La remerciait-je en me dirigeant dans la cuisine.

Je pris les trois ingrédients et retourna avec tante Mérédite qui était déjà entrain de me servir le thé.

-Oh félicitations,tu a réussi à atteindre l'étagère. Dit elle en rigolant avec sarcasme.

-Et oui. Rétorquait-je en rigolant légèrement.

-Bon alors,je veux tout savoir,comment vont tes parents,qu'elle âge a tu maintenant et surtout que fait tu a Avonlea ?

-Alors...père nous a abonné,mère et moi ,pour une autre femme,j'ai douze ans au jour d'aujourd'hui et je suis ici car mère ma dit de venir m'installer à Avonlea avec toi et que cela ne vous dérangerait pas,du moin je l'espère.

-Oh mais bien sûr que non,cela ne me dérange pas du tout au contraire,j'ai toujours voulu me rapproché de toi et désormais nous aurons tout le temps pour faire connaissance mais...attend comment ton père a t'il put faire une chose pareille,cela me dépasse totalement,Lucia doit être effondré. Et d'ailleurs où est t'elle partit ?

-Dans une maison religieuse d'après ce qu'elle ma dit et elle ma aussi dit de vous donner ça,attendez je vais la chercher.

Je me lève de ma chaise pour prendre mon sac où j'avais rangé la lettre que mère m'avait donnait des heures au par avant. Après avoir enfin trouvé la lettre dans les fin fond de mon sac je me précipita vers tante Mérédite qui buvait son thé et mangée des petit gâteaux qu'il y avait sur la table avant même mon arrivée. Je lui tendit la lettre froissée et dit :

-Voila ce qu'elle ma dit de vous donnez avant de prendre le train,peut-être que que cette lettre peu nous aider à savoir combien de temps je vais rester ici ou même dans quelle ville mère est partit.

-Ça ce peu et je l'espère sincèrement car je ne comprends absolument rien à toute cette histoire.

Elle pris la lettre et la lis à voix haute.

(Auteur : Quand je vais écrire comme ça , ça veux dire que c'est la vois de Lucia Walter)

-Ma cher petite sœur,si tu lis cette lettre c'est que Daphné est arrivée à Avonlea,tu doit sûrement te poser des tas de questions du style "que fait ma fille dans ce village sans moi ?" ou même "où est donc Lucia Walter ?",et bien je suis partit loin très loin,en france,dans une maison religieuse pour essayer d'oublier mon chagrin. Et pour Daphné j'aimerais que tu la considères comme ta fille et que tu l'élève à ma place car je ne pense pas en être capable et puis tu est incroyable avec les enfants donc je me suis dit qu'il faudrait mieu te la léguer à toi qu'à un orphelinat car oui Daphné est désormais orpheline,je ne pense pas revenir mais je vais vous envoyer des lettres de temps en temps pour prendre de vos nouvelles,je sais que je suis lâche d'abandonner ma fille comme ça mais c'est la meilleure chose à faire si je ne veux pas devenir folle. Avec tout mon amour,Lucia Walter.

Tante Mérédite et moi somme sous le choc et avons toutes deux les larmes au yeux. Comment a t'elle put m'abandonner ? Elle critique père mais elle est totalement pareille. Je sent la haine et la tristesse montée en moi d'une vitesse et vois que tante Mérédite est plus que chamboulée. Elle se leva de sa chaise et me tourna le dos pour se diriger vers les escaliers.

-J...j'ai besoin de réfléchir à tout cela. Dit elle le regard vide.

Je ne répondit pas et me mit à courir dans les champs sans raison mais cela me fit un bien fou.
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Lucia Walter :

Ditent vous qu'elle a les yeux extrêmement vert

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Ditent vous qu'elle a les yeux extrêmement vert.

Daphné Walter and Gilbert Blythe,une grande aventure Où les histoires vivent. Découvrez maintenant