Hey ! Ca va vous ? Les vacances de Juillet se sont bien passées ? Je n'ai pas pu trop posté, j'étais en Bretagne, et malgré les clichés, j'ai passé mes deux semaines au soleil, à bien bronzer ! Bref, je vais pas trop m'étaler, mais j'espère que ce chapitre vous plaira. Je vous tease pas, mais je suis plutôt fière de celui-là. J'ai essayé de varier mon style d'écriture mais j'ai vraiment du mal !
Bon bisous ! A la prochaine !
Des faisceaux de lumière aussi fins qu'éblouissants, de la poussière volante au rythme de leurs déplacements hasardeux, entrecoupés par des sons harmonieux provenant de la gorge de Taehyung, des striures ensanglantées sur les murs tandis que son dos râpait contre ceux-ci, implacables et douloureux.
Tout ceci, et encore, était la seule chose que le blond arrivait à percevoir. Semblable à la vision étriquée d'un œil voulant espionner la pèce d'à côté par le troue de la serrure, Taehyung n'arrivait qu'à filtrer une mince partie des actions enivrées de désir de son partenaire à l'appétit sexuel insatiable.
Ainsi, il se faisait trimbaler de pièce en pièce, découvrant la maison en même temps. Ses jambes entourant la taille gracieuse de l'alpha, il se cramponnait comme un moule à son rocher à la peau grasse de transpiration de Jungkook. De son côté, ce dernier ne présentait aucune trace de fatigue. Inlassablement, et depuis des heures relevant du dépit du bon sens, Jungkook martelait, embrassait, mordait, léchait chaque carré de peau que le frêle oméga lui offrait, les épaules voûtées et les yeux rouges-dorés d'envie.
Là, dans cette position, à conditionner son oméga contre un nouveau mur tout en le calant avec excitation vers son membre tout aussi envieux de se refaire accueillir par une chaleur familière, il grogna, enclin à perdre patient dans son excitation égocentrique. Ses mains caleuses s'incrustèrent des cuisses tremblantes dû à l'effort de Taehyung, et ce dernier empêcha un nouveau hoquet d'échapper de sa bouche.
Depuis bien une heure, sa tête blonde vacillait hasardeusement. Sa vision s'était d'abord faite floue, et Jungkook l'avait poussé pour que son torse fin se presse contre une fenêtre ; ni une ni deux, son échine s'était mise à tressaillir, tandis qu'une nouvelle fois, la chaleur de son partenaire rejoignait la sienne, plus vacillante que jamais. Néanmoins, empli de sensations inconnues, et à deux doigts de s'effondrer au sol, Taehyung s'interdit de flancher et de traduire ses signes défavorables à l'alpha grognant de plaisir dans son dos.
Si sa vue lui faisait défaut, il fermerait les yeux !
Si ses jambes s'évadaient sous le poids de son corps lourd, il demanderait silencieusement à se faire envelopper par ces bras puissants enserrant alors déjà son dos.
Si sa bouche se faisait pâteuse, il embrasserait celle de Jungkook, aussi fraîche que la rosée du matin.
Si son corps dégringolait, il se laisserait choir par terre, emmenant l'alpha dans sa chute.Taehyung ne pouvait pas s'imaginer se détacher de son amant insatiable. Le plaisir était trop profond. Consenti. Il se sentirait désabusé de stopper leur instant charnel. Son cœur ne supporterait sans doute pas les yeux de biche de Jungkook, qui arrêterait à la seconde même où Taehyung aurait prononcé ces mots, tandis que le brun mimerait avec grâce un contentement tout en omettant volontairement la déception mal dissimulée à l'intérieur de ses iris dorées comme le sable.
— Jungkook...
Un chuchotement fugace, englouti par les coups de reins envieux et grognements tout aussi extasiés, et pourtant, l'alpha s'arrêta. La poitrine secouée par sa respiration erratique, il continua de maintenir Taehyung dans les airs, mains sous ses cuisses désabusées par l'effort et ses pieds se tortillant de plaisir.
Jungkook releva les yeux vers son amant exténué. Celui-ci n'avait d'ailleurs plus de jus : ses chaleurs avaient été largement rassasiées, cependant, il semblait que ce ne soit pas le cas de l'alpha.
VOUS LISEZ
L'Ombre du Démon
Fanfiction« Mon cher Taehyung, tu as traversé tellement de choses. Entre ton passé et ton avenir, tu perds doucement le contrôle de toi-même. N'as-tu donc pas compris ? Tu es peut-être un oméga, mais ta force n'en est que moindre. - Qui suis-je ?! - Oh mais...