Chapitre 10 : La réalité

830 56 9
                                    

Il a des moments dans nos vies où tout va pour le mieux.
Aucun orage à l'horizon.
Comment en quelques heures tout peux changer ??

Je suis dans ma chambre toujours vêtue de ma serviette de bain, à tourner en rond avec mon téléphone dans les mains.
Violaine sort de la salle de bain toute prête.
Elle ce stop et me regarde.

-Diana ça va ??
Y a un problème au cabinet ??

Je fini par faire attention à ce qu'elle me dit.

- Je ne sais pas à vrai dire.
C'est ma grand-mère.

- Comment ça ta grand-mère ??
Elle va bien ??

Je me mets à paniquée comme si quelque chose me disait de le faire.

- Je n'en sais rien elle a essayé de m'appeler et là c'est répondeur, mais je ne sais pas y à ce numéro qui m'a appelée une quinzaine de fois et je ne le sens pas.
Tu vas me prendre pour une tarée, mais j'ai peur de ce que je peux découvrir en appelant ce numéro.
J'ai un mauvais pressentiment.

Elle s'approche de moi et prend mon visage entre ses mains, le relève et fixe son regard au mien.
Son regard ce veut rassurant et encouragent mais c'est bizarre cette sensation que je ressens dans mon cœur elle me fait perdre pieds.

- Diana regarde-moi.
Respire
Il faut que tu te reprennes.
Tu es la plus brillante des avocates de New York dit toi que quoi qu'il arrive je suis là, je ne t'abandonnerais jamais.
Tu m'entends ??
Jamais je te laisserais.

Je commence à me calmée.

- Écoute moi.
Tu vas prendre ton téléphone et appelée ce numéro, que tu mettras sur haut-parleur.
Quoi qu'il se passe je suis là, près de toi. Je ne te laisse pas.
D'accord ??

Je la regarde attentivement et souffle un bon coup.
Violaine se décale de moi et se dirige vers mon dressing.
Je la voir revenir avec des vêtements.

- Qu'es que tu fais ??

- C'est pour toi banane.
Habille toi et ont appel ce numéro.

Ma meilleure amie ma choisie une tenue sobre.
Un haut gris à manches mi-longues avec un jeans bleu anthracite, qui se mari a merveille avec mes escarpins noir et rouge.
Pour finir cette tenue elle à optée pour mon pull fétiche. Il est noir avec une épaule dénudée avec marqué dessus "Queen".
Enfin habiller je prends un élastique et me fait un chignon décoiffer rapide.
Je m'installe sur mon balcon avec mon téléphone en mains. Violaine me rejoint et me dis du regard de me lancée.

Allez courage Diane tu peux le faire.

Mon doigt appuie sur le bouton vert de l'écran de téléphone.
La sonnerie retentie, au bout de quatre sonneries quelqu'un décroche.

- Bonjour, je suis Madame Diana Carter vous m'avez appelé à plusieurs reprises ce matin.
Je voulais savoir ce que vous désirez ??

- Bonjour, Madame Carter.
Je suis Mme Nadine Finigan.
Je ne sais pas par où commencer mais...

Je la coupe dans sa phrase.

- Svp Mme Finigan, dite moi qui vous êtes réellement ??

- Madame Carter, je suis une amie de vos grands parents. Je vous est connue étant jeune, mais vous devez plus vous rappeler de moi. Vous étiez jeune.

- Madame Finigan, ma patience a des limites. Pourquoi vous me raconter cela ??
Et mes grands-parents comment vont-ils ??

- Madame Carter, j'y viens.
C'est moi qui est essayer de vous joindre avec le téléphone de votre grand-mère.
Ce que je dois vous dire n'est pas simple.
Mais la nuit dernière, il y avait une soirée dansante au bar le country.
En retournant au Ranch à la fin de la soirée, vos grands parents ont eu un accident.

Comment ça un accident ??
Non ne me dites pas que ça recommence ??
Non,non,non, pas eux, pas encore!!

- Comment vont-ils ?? Je me mets à crier.

Je sens Violaine se rapprocher de moi et me prend dans ses bras.
Pourquoi fait-elle cela ??
Il se passe quoi là ??
Je panique sérieux, je veux des réponses.
Bordel !!

- Je suis vraiment navrée Madame Carter, mais vos grands parents n'ont pas survécu à l'accident.

Je ne me sens pas bien.
crois que je vais vomir.
Je cour à la rambarde de mon balcon, me penche et je vomi toutes mes tripes. Mes yeux se mettent à coulés comme les chutes du Niagara.
J'ai du mal à respirer.
Je commence à avoir la tête qui tourne, ça ne va pas du tout.
Tout à coup je sens mes jambes tremblantes, j'entends Violaine courir vers moi.
Elle me rattrape juste avant que mes jambes me lâchent et que je passe par-dessus la rambarde.

Vient-elle de me sauver la vie ??
N'aurait-elle pas mieux fait de me laisser tomber ??
Ma vie n'a plus de sens.
Je n'est plus de famille de sang.
Je suis détruite au plus profond de moi.
Violaine me berce et me chuchote des mots doux.
Elle m'explique que quand je me sentirais prête, il faudra qu'elle m'explique la fin de la conversation avec Madame Filigan.
Elle m'aide à me lever.
Tout d'un coup des pas se font entendre et qui nous voyons arriver essouffler ??
Monsieur Ryan le sauveur de ses dames. Je fais de l'ironise là au cas où cela ne se voit pas.

- Que fait-tu là ? Lui dis-je sur un ton sec

Il reprend son souffle et me répond.

- Je t'es entendu hurler, j'ai eu peur pour toi. Je venais voir si sa aller mais ça n'a pas l'air.

Bien vue Sherlock.
Violaine lui répond.

- Ryan ce n'est pas du tout le moment. Merci beaucoup de t'être fait du souci pour Diana, mais je vais m'en occuper.
Je passerais te voir après.

Ils nous regardent à tour de rôle et acquiesce ce que Violaine lui a dit.
Il se retourne et repart à ses occupations sans un mots.
Violaine me regarde et me demande :

- Bon il est 12h30, je me doute que tu n'as pas faim ??

- Non j'aimerais un bon verre de whisky pur malt et que tu me raconte la fin de la conversation.
Stp il le faut.

Je le vois à son regard qu'elle est en pleine réflexion, puis elle finit part acquiescée.
Nous partons de se pas dans mon salon.
Je me dirige tant bien que mal vers le bar.
Je sors ma petite bouteille spéciale.
Celle que mon grand-père m'a ramené de son voyage en Ecosse que je leurs avait offert pour l'un de leurs anniversaire de mariage.
Ce jour-là quand j'ai donné les billets d'avion à mon grand-père, j'ai aperçue dans son regard une magnifique émotion :l'amour d'un grand-père envers sa petite fille, qu'il à élever comme ça propre fille.

Comment je vais vivre sans le dernier homme de ma vie ?
Sans ma deuxième maman ?
La vie n'a plus aucun goût. Tout me semble fade.

Je me verse un grand verre.
Je m'assoie sur mon fauteuil fétiche qui est dirigé face à la baie vitrée qui me donne une vue imprenable sur mes chevaux.
Je tourne la tête vers ma meilleure amie et lui dit :

- Vas-y.
Je t'écoute.
Ne t'arrête pas peu importe mon comportement.
Promet le moi ?

- Je te le promet...

***
Ne me détesté pas svp.
Dsl pour les grands parents.
Allez courage pour la suite..
Merci de continuer à me suivre et voter.
😘😘

Une Avocate Au Milieu Des Cowboys(Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant