Explain

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Un homme habillé de noir mais différent de l'autre soir entra dans la chambre.
Il portait des lunettes et ses yeux était d'un vert jaune brillant.
Alois se réveilla légèrement de mauvaise humeur et poussa un cri avant de tomber de son lit.
Cependant il était loin d'être débile et se rappela des mots du directeur hier.
Alors il soupira bruyamment et finit par articuler de sa voix rauque et endormie :

-C'est toi Claude ?

Il se redressa tout en observant l'homme pas si différent de Sébastian à bien y réfléchir.

-« Effectivement, vous êtes mal élevé. »se contenta-il de lui répondre d'un regard neutre, replaçant ses lunettes.

Alois avait failli s'étouffer, si, il était différent tout compte fait.
Beaucoup moins poli en tout cas.

L'homme ouvrit les rideaux en contournant Alois et consulta une armoire à côté de lui.
Alois le regardait sans souffler mot d'un œil mauvais.

-« Levez-vous je vais vous habiller. »

-Hein ?

-« Êtes vous sourd en plus de cela ? »

-Non mais je ne sais pas si vous êtes des gens qui connaissent la société de maintenant mais je peux très bien me saper tout seul !

-« Bien. »

Le dit « Claude » s'approcha et leva de force le blond lui arrachant sa robe de nuit, s'arrêtant légèrement d'un œil discret sur le corps d'Alois.

Trancy se débattait et refusait de coopérer, Claude du alors utiliser son aura, qui eu le même effet qu'avec celle de Sébastian.
En plus de ça, le regard de Claude ne lui échappa pas, mais il devait bien l'admettre, ils ont tous une force de malade alors il se résigna, à contre cœur.

Claude lui enfila une chemise violine, ainsi qu'un short à l'ancienne à carreaux vert et violet le tout rattacher avec des bretelles.
S'en suivi d'une veste de costume verte et de longues chaussettes noires.
Il lui enfila ensuite des chaussures à talon très bas violettes foncées.

Alois se laissait faire, il était déjà mal alors pourquoi résister ?
Or, il ne s'avouait pas vaincu. Ça jamais.

Se regardant dans le miroir pendant qu'il se faisait coiffer, il se trouvais beau.
Il se sentait lui même.
Et ce n'était pas si désagréable À bien y penser.
Mais cela lui rappelait beaucoup trop de mauvaises choses.

Quand Claude eu finit, il passa un coton mouillé sur le visage d'Alois et ouvrit la porte l'invitant à sortir.

-Nous allons à l'assemblée ?

-« Vous n'êtes pas totalement bête. »

-La ferme.

Alois sortit agacé et enfila les gants blancs tendu par son interlocuteur, lui arrachant des mains.

Après au moins dix minutes de marche à travers les escaliers, les couloirs et les salles qui d'ailleurs étaient vide il finit par arriver devant une porte immense.
Il se sentit immédiatement mal, il pouvait sentir les mêmes trucs... « auras » c'est ça ? Se mélanger, elles étaient plusieurs en plus d'êtres puissantes.
Claude le regarda d'un œil méfiant et lui donna un comprimé.

-« Avalez-le. »

Alois le pris et l'avala.
Comme était apparut les mots de tête, il disparurent.

Claude poussa la porte constatant qu'il était en retard de 11 minutes et 48 secondes.

Alois lui était mains dans les poches regardant d'un œil désintéressé la porte s'ouvrir.

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