7-Nouvelle Mission

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Il est 6h du matin. Natasha dort encore mais pas moi. même si nous nous sommes couchés tard. 

Je suis habillé d'une chemise blanche à manche longue et un short de pyjama en dentelle. Moitié normal, moitié pyjama.

J'ai mon café noir en mains pour me donner un peu d'énergie. Je suis dans le salon et écoute les nouvelles de la veille. C'est une diffusion du procès de Tony Stark.

STERN : M. Stark, pouvons-nous reprendre là où nous nous sommes arrêtés ? M. Stark ? S'il vous plaît? 

Stark se retourne et s'exclame: Oui, chérie ?

STERN : Puis-je avoir votre attention?

 STARK : Absolument. Dit-il avec une voix semi- sensuelle.

STERN : Possédez-vous ou non une arme spécialisée ? 

STARK : Je ne pense pas, non.

STERN : Non ? 

STARK :Je ne sais pas. Eh bien, cela dépend de la façon dont vous définissez le mot "arme". 

STERN : L'armure Iron Man ? 

STARK : Mon appareil ne correspond pas à cette description.

 STERN : Eh bien, comment décririez-vous votre appareil ? 

STARK : je le décrirai en le définissant comme ce qu'il est, sénateur. 

STERN : Comme . . . ? 

Stark fait tout pour énerver le sénateur et le tourner en ridicule. Ce qui commence à énerver le sénateur.

STARK : C'est hum—c'est une prothèse high tech. C'est... C'est en fait la description la plus juste que je puisse en faire. 

STERN : C'est une arme. C'est une arme, M. Stark. Je dois vous en informer. C'est une arme.

STARK : S'il vous plaît. Si votre priorité était en fait le bien-être des citoyens américains…

Il se fait interrompre.

STERN : Non. Ma priorité est d'obtenir l'armur-

Au tour de Stark d'interrompre son interlocuteur.

STARK : Eh bien, vous pouvez l'oublier. Je suis Iron Man. Le costume et moi ne faisons qu'un ; donner le costume d'Iron Man serait me livrer moi-même, ce qui équivaut à de la servitude ou de la prostitution. Selon l'état dans lequel vous vous trouvez. 

Puis il déclare de façon stoïque et définitive :

STARK :Vous ne pouvez pas l'avoir. 

STERN : Ecoutez, je n'ai pas d'expert..., 

STARK : en prostitution ? Bien sûr que non, vous êtes sénateur. Allez. 

 J'étudie son cas quand la sonnerie se fait entendre. Malheureusement je mets sur mute télévision et donc, n'entend pas le reste.

Je vais ouvrir. Ma surprise lorsque j'ai vu Fury sur le pas de ma porte.

-Bonjour Fury.

-Bonjour Willy. Je peux entrer ?

Je suis un peu gênée. Je n'ai pas vraiment la tenue idéale pour accueillir mon patron. Quoi que ce n'est pas vraiment normal de voir son patron débarquer un mardi matin à 6h sur son perron. Même si Fury n'est pas vraiment quelqu'un de normal. 

Je laisse Fury rentrer et lui propose un café. Il accepte puis lorsqu'il le tient entre ses mains nous nous assisons sur le sofa pour parler.

Il me regarde avec des yeux si fiers et bienveillants. Lui et Coulson sont les seuls hommes à m'avoir regardés de cette façon.

William "Blank" BartonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant