Rien n'est tout noir, ou tout blanc.

Chapitre 3

"J-29", il est 2h00 du matin, je me réveilles, je m'habilles, commence à faire mon sac pour partir, non pas en cours, pour fuguer. La porte s'ouvre, je me tournes vers la porte, je vois ma petite sœur son pouce à la bouche, son doudou qu'elle tenait par le bras trenant par terre.
-Tu vas où ?
-Je...
Je n'arrivais pas à lui avoué ce que j'allais faire.
-Tu pars encore ? Pour pas que maman elle te mette dans le pital ?
Je me suis avancé vers elle, et agenouillé devant elle.
-J'irais pas dans un HÔpital, et je te laisserais pas.
-Alors pourquoi tu fais ton sac si tu vas pas dans un pital ?
-Je sais pas ma puce... Je sais pas..
-Si tu vas dans le pital je viens avec toi.
-Non ma puce non. Mais ne dis pas a maman que j'ai fais mon sac. Maintenant viens je vais te coucher.
-Tu dors avec moi?
-Si tu veux ma puce.
Je me coucha habillé dans sa chambre. Elle me tenait fermement, comme si elle ne voulait pas que je parte.
Elle ce leva à 8h, et me réveilla en me sautant dessus et en disant "BONJOUR !!!"
-Hm... Bonjour petite sœur.
-A table !!! Vite !!! J'ai faim!!!
Je me réveilla, regarda ma sœur prendre son petite déjeuner, puis je l'amenas a l'école , ce qui surpris ma mère.
Pendant 1semaine par la suite je n'alla pas en cours.
Je n'y arrivais plus, à chaque instant j'avais l'impression que j'allais m'écrouler, je refusais de manger, je fumais, buvais quand l'envie m'en prenait, et je me mutilais à me défoncer chaque bras. Je faisais des insomnies à répétition.
Puis aujourd'hui "J-22" je me résous enfin à manger "plus" et à partir en cours. Arrivais en cours je vis ce crétin qui me coller au bask', il était avec toute sa troupe. Et franchement j'avais pas envie de parler, j'étais fatigué, je puais un mélange d'alcool et de cigarette, et j'avais l'impression que mes bras étaient morts. Mais ils bougeaient, encore un peu du moins.
-Hey ! Meredith ! Longtemps qu'on te voit plus.
Je me retourne "Suzanne"! Fais chier celle la... Ma mère à décréter qu'elle et ces 4amis seraient mes "copains"... Pff...
-J'ai pas envie de parler.
-Dis moi au moins où tu étais?
-Ca te regarde pas.
Je continuas mon chemin sans un aurevoir. Puis le Crétin arriva, et toute sa bande le surveillant.
-Bon c'est simple mec, je suis pas d'humeur donc lâche moi. Dégage. Et arrête de me faire chier !
-Hm... T'étais où?
Je l'ai regardais droits dans les yeux, habituellement, les gens ont peur et fuit mais la il est resté, avec son stupide sourire. Je lâcha un petit grognement. Puis je l'étudia vite fait. "musclé même beaucoup, un bleu dans le coup, habits noir, chaussures sales de boue, grand, même très grand pour son âge."
-Tu veux bien parler ?
-Et sinon quoi?
-Sinon je te ferais chier jusqu'à ce que tu veilles bien.
-Je ne voudrais jamais.
-Je ne te lâcherais jamais.
-Qu'il en soit ainsi et que le meilleur gagne.
Puis j'avance pour partir, il m'attrapa par le bras fermement, je lâcha directement un crie de douleur. Il me lâcha aussitôt. Et me regardant comme lorsqu'on regarde une poupée de porcelaine brisées.
Tous le monde avait alors les yeux rivé sur moi, la cloche sonna et tout le monde rentras dans l'enceinte du collège. Quand à moi je partis en courant, laissant tomber mon carnet par terre.