Rien n'est tout noir, ou tout blanc.

Chapitre 20

~Le soir, en rentrant chez moi, je fis une grosse erreur..~

En rentrant je vois mon beau père le sourire au lèvre. S'en est trop, je vais l'exploser, d'abord c'est un con finis, ensuite il veut frapper ma sœur et puis la après tout ça il revient quand même avec son petite sourire débile. Je m'approche avec le sourire près de lui, je lui fou un coup de tête dès que je suis assez près, puis je commences à le tabasser, toute ma rage s'évanouissait peu à peu. *Tu dois taper plus fort* me dis alors ma conscience *Tu dois le détruire, le tuer*. Une porte s'ouvre, un crie, puis:

"-Malia !" Dis alors ma mère.

Le silence, voila c'est le bon mot pour définir ce qu'il c'est produit à l'appel de se prénom, car je ne sais comment, je savais qu'il m'était destiné. Comme si pour une fois c'était cohérent, que quelque chose était à sa place dans se désordre sans fin.

"-Pardon ? Dis je alors.
-Malia. Dit'elle plus fermement.
-Maman...
-Je n'ai jamais été ta vrai mère petite sotte.
-Mais, sur l'acte de naissance..
-Mais ne me dis pas que tu t'en ai jamais douter ! Les papiers sa se modifie lorsqu'on connait les bonnes personnes. Vas t'en Malia Spencer, s'il te plait tire toi d'ici ! Tu as détruit ma famille alors sache qu'à présent je me contre fiche de ce que tu deviens, va crever dans la rue et ne reviens plus jamais.  "

Malia ? Malia Spencer ? Mais, comment et quand j'ai changé de nom et prénom ? Et pourquoi ! Qui sont mes parents ? À qui dois je poser ces questions ?
Pourquoi dans ma tête c'est le gros bordel ? Pourquoi j'ai envie de frapper contre le mur, de crier ma haine, de pleurer jusqu'à m'endormir ? Existe t'il une drogue assé puissante pour réussir à me soulager ?
Le regard vide, la peau blanchâtre, tel un zombie, j'ai pris ma valise, mis le peu d'affaire que j'avais dedans, et je me suis barré de cette maison. A la sortie je suis directement allé me bourrer la gueule, puis je ne sais pas comment mais je me suis retrouvé à casser la vitre d'un magasin, et à entrer pour jouer du piano. Puis d'un coup des cries m'arrête dans ma lançais. Putain les gars, je faisais un chef d'oeuvre bourrer, ou alors sa semblait l'être, ouais surement ! Mais où je suis là bordel ? Pourquoi je suis devant un gars, un flingue à la main, entrain de lui demander de fermer sa grande gueule parce qu'il vient de gâcher mon morceau ? Pourquoi j'ai tirer ? Pourquoi j'ai tirer sur ces gars puis je me suis barrer en laissant les gars avec qui ils se bagarraient en plan ? Mais... Qu'est ce que je fou?
Je suis à la rue, mon père est mort, des gangs me recherchent, j'ai plus aucune raison de vivre, alors s'il vous plaît, aidez moi à comprendre.
Je me suis réveiller dans une ruelle, mon coussin était ma valise, et j'avais un clock 34 en main chargeur vide. Quelle jour on est ? Il y a cours aujourd'hui ? Puis merde prenons une semaine sabbatique.
J'avais nul pars où aller, et je voulais pas d'aide alors je me dirigea vers une maison abandonné.
Je sais pas combien de jours, ou de semaine je suis rester ici, mais je sais que se matin j'ai besoin de me sortir la tête de cette merde, c'est pour cela que je me dirigea vers la plage la plus proche et que je me laissa emporter par les vagues en étant habillé.
Le lendemain, allonger sur cette plage je me réveilla dans les bras d'Alexandre. Je ne pus m'empêcher de me recroqueviller sur celui ci, tout en pleurant.

-- Que va t'il se passait entre "Malia" (ou Meredith..) et Alexandre ? La suite dans le prochain chapitre !! Haha !!--