Chapitre 8

18 4 0
                                    

(J-20) Il est 1h du mat je mélange déjà alcool et drogue, je deviens euphorique. Puis je suis partie marcher dans les rue de la ville, et ça fais du bien d'avoir cette aire frais sur mon visage.
Lorsque je suis rentrer chez moi j'ai eu l'impression que quelque chose avait changer de place dans savoir quoi: "Mon lit blanc recouvert de drap gris clair, mon bureau noir, avec ces pile de feuille, et à côté de celui ci, un piano, mon piano adoré, je n'y joue malheureusement plus trop ces dernier temps." Par crainte j'alla regardé si les tiroirs sous mon bureau, qui était fermé à clef n'avait pas bouger. Dans le premier, je retrouva des lames, des médicaments, quelques joints près des clopes et un révolvers, c'est à dire tout. Soulagés serte, mais toujours aussi peureuse, j'ouvrais le deuxième: plus rien. Il n'y avait plus rien ! Cependant  je suis la seule a avoir la clef et la serrure n'est pas cassé ! Si je trouve le salaud qui a fait ça ! Putain mais je l'étrangle !
Je suis énervé bordel ! Pourquoi? Qui? Comment? Quand? Grr... Je suis comme un requin pris au piège!
Faut que je me calme, il me faut une clope, un verre et de quoi me défouler. Faut vraiment que je me calme merde!
J'arrive énerve à la cuisine, je pause brutalement un verre sur la table, et commence a me servir du whisky, met du coca dedans. Et part aussitôt dans ma chambre, je le pause sur mon bureau, prend une clope la met entre mes lèvres et l'allume.
Après une dizaines de clopes, quelques traits sur mon bras, et un bon verre, ma chambre est devenu grise de fumé et pue. Je pourrais pas dormir là, ça me donne trop mal a la tête. J'ouvre la petite fenêtre, cherchant de l'air pur.
Je reçois un message de mon père:
"-hey ! Je sais qu'il est tard.. Mais... J'ai besoin de toi... S'il te plait... Je suis désespéré, tu peux venir chez moi?
-Pourquoi tu m'appelles pas?.. Et pourquoi tu aurais besoin de mon aide. Et puis c'est pas ton genre de dire s'il te plait. :/
-Viens..!"
Je le sens mal, et puis je suis pas en forme, je crois que ce que j'ai pris a encore des effets sur moi, car la seule chose que je fais à présent c'est rigoler.
En arrivant devant chez mon père je vois plusieurs voitures noires, je ravale ma salive au début, puis pars à rire.
Arrivais à l'intérieure, je vois mon père mort, son corps inerte allongé sur le sol, je me retourne et vois quatre hommes.
"-Ma chère Meredith, tiens t'es papier qu'on t'a voler. Il était bien cacher dans ta petite chambre.
-Vous voulez quoi !? Salle bâtard !
-On veut tout d'abord que tu souffres, en suite on te veut toi.
-Vous avez craqué !
-Tu crois ça. Et ta petite sœur? Tu crois qu'elle serait d'accord, et puis on pourrait s'amuser avec elle. Non?"
Je m'effondre alors en pleurs.

Rien n'est tout noir, ou tout blanc.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant