Chapitre 15

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(J-13) le temps passe, trop vite putain. Je rentre chez moi ce soir, je sais pas quelle histoire ils ont racontés à mes parents mais ca n'a plus d'importance. Je fais mes aurevoir à 16h, et je leurs promis de faire attention à moi, et de venir les voir. Ils m'ont dit que des qu'ils auraient dû nouveau ils me le diraient, même si j'y croyais pas, je savais qu'ils me diraient rien pour pas que je m'en mêle.
En rentrant chez moi il n'y avait personne, j'allais dans ma chambre, pris un sac, mes revolvers et commença à les chargés, les mis dans mon sac, pour partir me détendre dans la forêt la plus proche en tirant sur tout ce qu'il bouge. Pas très légal mais ça défoule.
Je commença à partir, mais à mis chemin je sentis une présence derrière moi. Par réflexe je me mis dans un coin où il y avait personne, puis je vérifiai si il me suivit ou pas. Il me suivait bel et bien, il vient peut être me tuer? Pourquoi d'autres  me chercherait t'il? J'ai alors attendu qu'il n'y est plus personnes pour lui pointer mon flingues dessus. Il a direct lèvé les mains en commençant à béguaillé. Je lui ai fais signe de ce rapprochais.
"- p'tit nouveau hein ? Ai-je dis en souriant.
-o.. Oui... M'dame... Mais...
-Mais quoi ? Abrégés j'ai pas toute la journée.
-Je... Je suis de la bande de monsieur Alexandre.
-Mais bien sûr et tu crois que je vais t'ammener chez eux comme ca ?Allez je te ramène chez toi. Avance."
J'ai planqué mon flingue dans ma veste, et je le suivais par derrière pour voir où il allait m'emmener, d'où venait ce clochard de débutant pas capable de faire son job correctement. Arriver devant la porte, je l'a reconnue. Il a pas mentis.
En ouvrant la porte, il a commencé à crier, le silence total.
"- Il est bien à vous le p'tit." Dis je en rigolant.
Je rangea mon flingue dans mon sac, et puis lui fis une tape sur l'épaule comme pour lui dire "courage". Un homme arriva, d'un pas lourd, du coin sombre de la pièce. C'est le boss c'est sur.
"- J'espère qu'il ne vous a pas déranger.. Heu.. Mademoiselle Meredith Carter si je ne me trompe ?
-C'est exact. Comment vous me connaissez?
- Ton père est un grand ami. Il s'arrêta quelque instant avant de se corriger. Etais. Je suis d'ailleurs navré.
-Hum. Comment vous l'avez connu?
-Nous sommes allié.
-Il est mort, quand un chef de gang disparaît, il doit être remplacer et les règles changes. Or il n'a toujours pas été remplacé. Donc vous étiez allié?
-En parlant de cela, j'ai à te parlé, viens. Et laisse tes affaires ici.
-Pourquoi je vous ferez confiance ?
-Parce que ton père le faisait."

Rien n'est tout noir, ou tout blanc.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant