Chapitre 1

108 6 0
                                    

Comme tout les matins, mon réveille sonne et affiche "04h00" je me lève tel un robot accomplissent encore une journée forcé. Je mets un survêtement, enfile des baskets et part courir dans les bois près de chez moi. Ce matin là c'était un peu spécial. Depuis quelques année déjà je suis en se qu'on appelle "dépression" pour des raisons multiples. En clair plus les années passe, et plus l'ambuance à la maison se dégrade par ma faute. Voilà déjà 3mois que la rentré est passée, et depuis quelques temps je me sens comme observer un sentiment étrange qui me déplaît fortement.
Quand j'eu fini, je me douchai, et m'habillai d'un pantalon serré noir, et d'un sous pull noir, accompagné d'un haut qui m'arrivait au-dessus du nombril.

Je me maquillai, mes yeux toujours maquillé très foncé, et un rouge à lèvre rouge vif allant bien avec ma tenue. J'enfila mes chaussures, pris mon sac, fit un petit bisous bref sur le front de ma sœur âgée de 7ans. Puis je partis pour les cours, tout en y allant je pris ma clope et l'alluma. Arrivant au collège avec cette aire assuré. Aujourd'hui un petit nouveaux arriva, heureusement qu'il n'est pas dans ma classe. Je suis réputé pour êtres froide, méchante, autoritaire, et infranchissable, mais aussi pour êtres la meilleure élève de ma classe avec une moyenne qui est aujourd'hui a 18,75. Les gens ont arrêter de me regarder le jour où j'ai fait pleurer avec de simple mot une personne qui ne cesser de me regarder.

Après une longue journée insupportable je rentrai à la maison. En rentrant je vis ma sœur (Stella) jouant à la poupée, Charles (mon beau père) faire à manger, et ma mère faisant le repassage.

Charle: bonjour Meredith, viendra tu manger avec nous ce soir?
Moi: je n'est pas faim. Sur ceux passé une bonne soirée.
Stella: non ! Vien avé nous !
Moi: navré petite sœur mais je ne peux pas j'ai du travaille, mais si tu veux je te lirais une histoire avant de dormir, ok?
Stella: Ok!, puis elle se mit a criée, Maman !!! J'ai faim!!!!!
Ma mère: on mange bientôt.

Je la regardai, elle me sourit comme pour dire "bientôt, c'est pareille que dans une heure non?"
Je partis en balancant mes chaussure et espérant ne pas craquer à la tentation de tracer des traits sur ma peau, ou meme espérant de dormir ce soir.

Rien n'est tout noir, ou tout blanc.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant