Chapitre 2

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Je me réveillai après une nuit insupportable. Mes bras me brûlent, je suppose que vous avez deviné pourquoi. J'ai des cernes que je dois encore cacher avec des tonnes de maquillage. Mais avant d'aller courir, j'allai coucher ma sœur qui venais de ce réveillé d'un cauchemars.
-J'ai rêvé que tu allais partir...
-Je ne te laisserais jamais tomber.
-Je peux te dire un secret ?
-Vas y ma puce.
-Maman et papa ils ont dit que si dans un mois tu auras pas changé ils prévoient de t'amener dans une... Heu.. Du poisson !
-Du poisson ? Du poison ? Une pendaison ?!?
-Ha oui ! une pension ! Ou un... Pital!
-Hôpital ?
-Peut être... C'est grave ?
-C'est une école pour les gens comme moi ma puce, c'est rien de grave, et je ne les laisserais pas m'emmener, promis.
-Bonne nuit grande sœur je t'aime.
Puis "Pouf" elle s'endormi, mon visage ce décomposa. Je me douchai, et m'habillai. Puis, attendis que ma mère et ce qui lui sert de mari ce réveillent. À leurs réveillent:
-Une pension. Ou un hôpital? Sérieusement ?
-Ma puce on reparlera de cela plus tard.
-Non. Pas plus tard !
-On n'arrive plus a te gérer... Tu as fais des tonnes de tentative de suicide, tu as fugué de nombreuse fois, tu te charcutes les bras, et tu n'es pas heureuse.
-Ne me séparé pas de MA sœur !
-Tu ne dois pas d'éteindre sur elle.
-La pension n'est pas envisageable. Dis alors mon beau père.
-Il a raison... Ils ne pourront pas géré t'es crise de colère et tout cela.
Je partis en claquant la porte. Me séparer de ma sœur, mon soleil dans ces ténèbres, c'est comme me tuer, et c'est ce qu'ils ont engendré. J'ai un mois pour changer, un mois pour devenir une autre. Je le sais je n'en serais jamais capable, je suis ce que je suis et pas ce que les autres veulent. Je n'arrive pas à changer, et un mois pour êtres heureuse c'est impossible. Donc, je ne vois que la possibilité de me tuer avant qu'on me tue. Mais ma petite sœur serait triste, déçu, alors, je me laisserais emmener.
Arriver au collège, je me fonda dans la masse.
Plus tard: Il ne me reste plus qu'un cours il est 14h30, dans ce dernière comme dans tout les autres sur un cahier je dessina et j'écris toute ma rage, toute ma haine, tout mon désespoir. Un garçon de ma classe c'était assis à côté de moi.
-Hey, qu'est ce que tu dessines ?
-Fou moi la paix.
-Je m'appelles...
Il n'eu pas le temps de finir sa phrases que je dis:
-Bon écoute je suis pas d'humeur à jouer au présentation, je n'éprouve aucune sympathie envers toi. Alors ta gueule.
Jusqu'à la fin du cours il essaya de regardais ce que je dessinais en vain.
Il me suivi jusqu'à chez moi. Il lui arrivait de me dire: "où vas tu?" "Écoutes moi..." "S'il te plait".
Arrivais à ma porte:
-Bon t'as quoi?
-Je voudrais te parle d'un truc.
-M'en parle pas, je m'en fiche. Laisse moi.
-Ok.. Je reviendrais mais pas tout seul cette fois.
Je me suis retournais, et j'ai dit d'une vois ferme.
-Serrait ce une menace ?
-Non, aucunement. Je t'ai dis, on doit te parler de quelque chose
-On ?
Puis il est partit, j'étais déjà assez frustré par le faite que je ne verrais plus ma sœur, je ne me suis pas énervé d'avantage et je suis rentré sans chercher à comprendre.

Rien n'est tout noir, ou tout blanc.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant