Chapitre 21

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--Le lendemain, allonger sur cette plage je me réveilla dans les bras d'Alexandre. Je ne pus m'empêcher de me recroqueviller sur celui ci, tout en pleurant.--

Il m'emmena à leurs repère, et me donna un chocolat chaud.
"- Meredith, ça va ? Tu sais ça fais longtemps. Il prit une pause. Ça fait 4semaines et 5jours qu'on t'a pas vue. Quand il ne vit aucune réaction il décida de continuer. Tu sais ce qu'il c'est passé le soir où tu jouais du piano ?"
Meredith, ce prénom fait échos dans ma tête, comme un verbe mal conjugué il n'a aucune raison d'être placer ici, il sonne tout simplement faux. De quoi il me parle enfaite ? J'ai entendu seulement des bribes de ce qu'il a dit: 4semaine et 5jours, puis le soir du piano. Ca y est, sa monte au cerveau, du moins je crois.
"- Cela fait longtemps que je ne suis plus revenue alors.
-Oui.. Je t'ai cherché partout!
-J'ai tué des gens ce soir là. Dis je pour changer de sujet.
-Tu t'en souviens ?
-Ils ont tout gâchés, ils m'ont fait perdre le rythme, je me devais de les tuer."
Je dis quoi la ? C'est moi toute seule qui ai perdue le rythme, le rythme de ma vie, je l'ai est tuer par rage et non par envie.
"- Tu nous as sauvé la vie ce soir la Meredith. Ils avaient le déçu sur nous, et t'es arrivé de nul pars pour les tuer, tu n'arrêtais pas de dire qu'ils avaient gâcher ton morceau."
Aucune réponse, plus aucune réponse après cela. Pourquoi ils me pausent tous autant de question ? Qu'ai je à leurs apporter ? Alexandre, me prit à pars dans une pièce, j'étais déboussolé et cela se voyait, je le suis depuis 4semaines et 5jours enfaite.
"- Tu me regardais tout le temps dessinais. Dis je d'une voix faible.
-J'aimais te regarder, et puis maintenant je peux voir tes dessins. Dit-il en riant.
-Pourquoi ? Enfin, comment ça ?
- Avant ta rencontre avec le poto, tu as fait tombé ton carnet.
-J'ai envie de te haïr, que tu es peur de moi, que tu chiales, de te mettre en bouillie Alexandre, mais quelque chose m'en empêche, quelque chose de fort.
-Moi je te haie Meredith, je te haie parce que je ne peux pas te décrocher de mes pensés, je te haie parce que tu me fais souffrir lors de tes nombreuses absences, parce que quand tu reviens tu es dans ton monde, très loin. Je te haie parce que je te désir et je ne sais pas pourquoi.
-Haïe moi de cette manière là alors. Dis je "
Il se rapprocha de moi pour me serrer dans ces bras. Il sert trop fort, j'ai mal mais je me tais parce que ca me plaie. Ses mots me plaisent, son parfum me plait, sa voix me plait mais il ne doit pas le savoir.
Apres ce câlin fort en émotion je ne pu m'empêcher de lui raconter à quelle point j'étais perdue.

-- Je vous met 3Chapitres aujourd'hui vue ma grande absence... Je suis navré j'écris beaucoup de texte en se moment, et j'essaye de corriger mes anciennes histoires, alors j'ai laissé un peu cette histoire de coter. Enfaite je crois surtout qu'écrire la fin de cette histoire m'attriste car si je n'écris pas la fin elle pourra continuer de vivre.--

Rien n'est tout noir, ou tout blanc.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant