Chapitre 24

14 3 0
                                    

Le lendemain, je suis revenu, je me suis mise sur mon petit lit où une lettre y avait été déposé, à cause de mon mal de crane je remis son ouverture a plus tard.

Souvenir, putain de souvenir partaient maintenant ! Je vous en supplie ! Trop de chose tourne dans ma tête, est ce parce qu'on m'a frappé avec une batte de baseball sur celle ci ? Nan je ne pense pas, c'est à cause de ces souvenirs, de ces flash back incessant que je n'arrivais pas à comprendre car toute les scènes se mélangeaient : Comment discerner le vrai du faux ?
Je laissai ma tête tombé en arrière, et fit un petit somme pour me remettre les idées au claire.

Alexandre passa dans « ma chambre » pour voir si tout allait bien, il avait l'air inquiet, et regardait souvent la lettre.
« C'est toi qui l'a écrite ? dis je.
-Mh, après une longue hésitation il reprit, oui.
-Je vais l'ouvrir alors.
-Dans se cas..je préfère partir.
-Alexandre.. »
C'étais trop tard, il était partit, la seule présence réconfortante de la journée c'étais enfuis à la vue de quelques mots. J'ai alors peur de l'ouvrir, et d'y voir quelque chose qui me déplaît, ou qui me tourmente encore plus que je ne le suis à présent.

« Bonjour, jeune fille aux deux vies.

Je t'écris une lettre « nieu nieu », « à l'eau de rose », celle que tu détestes tant.
J'ai besoin de te parlé, parce que tu as du le remarqué, je n'éprouve pas que de l'amitié envers toi, non c'est bien plus que cela.
Et je sais qu'âpres t'avoir dis tout ça tu me détesteras, et tant mieux, haie moi, parce que, franchement, de ta pars je prendrais ça pour un compliment. Tu sais, généralement les « meufs » avec qui je sors c'est pas par amour, je sais, je fais partis des gars que tu n'as guère dans ton cœur, c'est un fait, mais je vais te raconter tout ce qui me pèse quand même.

Que dire ? Tu es différente, en mal, ou en bien, je ne serais répondre : habituellement j'aurais dis en mal, parce que oui tu es dévasté, mais surtout dévastatrice, mais comme l'amour joue dans la balance du bien et du mal, je ne peux me résigner par répondre « bien » ou « mal » c'est trop peu, trop simple pour une fille si complexe comme toi.

Ce qui est aussi bizarre, disons le franchement, c'est que si je ne t'avais pas rencontré je sortirais surement avec une fille avec une forte poitrine, de belles fesses, et belle, elle serait assez conne, et expérimenté au lit. Elle ressemblerait à toutes les autres avant elle, et très vite je la dégagerais. C'est le genre de fille qui serait aimante, et aimé, elles aiment la vie, et ont les yeux remplient d'espoir. Elles parlent familièrement avec leurs amies, et soutenu avec des personnes âgées, elles connaissent le respect, et la politesse.
Toi tu n'es rien de tout cela, dans t'es yeux il ni y a plus rien, enfin au début il y avait beaucoup de souffrance, de haine, mais maintenant t'es tellement détruite qu'il ni y a vraiment plus rien, on se perd dans ce néant que sont tes yeux. Ta peau est blanche de fatigue, tu es très maigres, tu as un fort caractère, et tu parles mal à tout le monde que ce sois des vieux, des profs, ou les personnes qui t'aiment. Oh hé bien sur, tu n'aimes personnes, car oui tu aimes être détesté.

Je n'aurais jamais crue dire cela un jour, mais tu m'as changé, je vois le monde différemment depuis que tu es entrée dans ma vie, je me fascine de ta complexité, de ta force, et de tout ton être. En t'aimant j'ai compris que couché sans sentiment ça ne valait rien, et j'espère faire ma première fois, ma vrai première fois avec une fille bien. J'ai découvert la face caché de beaucoup de personne, j'ai arrêté de regardé les gens et de me dire que se qu'ils étaient c'est se qu'ils montraient, je cherche à présent à allé plus loin dans ma démarche. Bien sur tu n'as pas connue le moi d'avant, puisque pendant 5 mois j'ai du t'observer, t'étudier, t'apprendre, te comprendre. Je dirais que j'ai failli à ma mission, car oui, te comprendre est pour moi quelque chose de complexe, je n'ai pas ton cerveau. D'ailleurs il me parait bien trop rempli comparer à mes quelques idées, tu réfléchies souvent, et j'ai l'impression que c'est cela qui t'a déconnecté du monde, réfléchir, t'enfermer dans ta bulle, et dégager le 1er qui la pénétré.

Tout ça pour te dire : Merci.

Alexandre »

Je me suis précipiter dans la salle où il était, il comprit et me suivis dans un lieu isolé. Je lui lançai sa lettre à la figure.
"- Que dois-je répondre à cela ? Hein ? Je sais, commençons par le commencement: Je te haie, oh çà oui je te haie, comme je n'ai jamais haie. Pourquoi, pourquoi avoir écrire ces mots ? Que devrais-je ressentir ? Car tu vois j'ai toujours eu le contrôle sur tout, mais depuis que je te connais, et que je connais ta bande de débile, je ne comprends plus rien. Qui suis-je ? Que suis-je ? Qu'est ce que je ressens ? Pourquoi je le ressens ? Pourquoi ? Hein, répond moi. Je ne connais rien de l'amour, et je ne veux pas le connaitre. Je ne veux pas t'aimer, je ne le peux pas. Oh tais toi, je sais ce que tu vas dire, je le sais très bien."

Pendant que je parlais j'agiter mes bras dans tout les sens, m'arrêter, croiser les bras, froncer les sourcils, puis reprenait de plus belle. Mais, lorsque le dernière mot fut prononcer il m'arrêta, me pris les poignets, m'entraîna vers le mur, et m'embrassa.

Je le hai.

--Bonjour, bonjour ! Je vous souhaites une bonne et agréable année, que le bonheur soit avec vous lors de celle ci. J'espère que vos fêtes se sont bien passé, et que vos vacances n'ont pas été trop courte (si vous en avez eu) Voila le 24eme chapitre de cette histoire, il fait 976 mots et j'espère qu'il vous plaira. Bisou à vous mes chères lecteurs. --

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Jan 01, 2017 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

Rien n'est tout noir, ou tout blanc.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant