-Chapitre dix-sept-

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MIA POV

Arriver sur le territoire français je me sentais déjà stresser. Je ne savais pas tellement ou allais. Enfaite-je n'avais pas pensé à ça.

J'allais pas allez chez mes parents et dire " Salut, c'est votre fille qui est partie pour que ça vie déraille, vous me logez? ". J'ai perdu la plus pars de mes amies en partant. Je me dirigeai vers chez mes parents dans Neuilly.

Oui, certes ma famille est tunée, mais ils sont vraiment cool. Limite ils s'en foutent. Et si ils avaient déménagé? Je sonnai au portail. " Oui? "

- Humm, maman?

Quelques instants de blanc

- Mia?

- Je... Maman... Enfin...

Le portail s'ouvrit à ma plus grande surprise. J'entrai mais une petite fille courra vers moi. Je lâchai mes valises pour prendre dans mes bras Élena.

- Mia! Mia! Tu m'as manqué!

Ma petite soeur me serrait dans ses bras. Du haut des ses douze ans, elle pouvait tailler une personne de 35 ans.

- Mon coeur! Je ne te laisserai jamais, promesse du petit doigt!

Elle descendi de mes bras est prise ma main jusqu'à l'intérieur de la maison. Ma mère me regarda les larmes aux yeux. Je me jetai dans ses bras

- Mama! Dis-je en ravalant mes larmes

Je lui sautai dans les bras. Et à ma plus grande surprise elle meprit elle aussi.

- Où est papa?

- En déplacement! Encore et encore...

Je lui souris en haussant les épaules.

- Tu reviens et rentres dans le bon chemin? Dis-elle avec pleine d'espoir

- Oui!

Elle sourit de plus belle.

- Elena montre la chambre de ta soeur. On a fait des rénovations! Le papier peint que tu voulais, ton père croyait que ça allait te faire revenir...

- Le plus important c'est que je sois là.



**



Je mettais brosser les dents et mis en pyjamin. Quand El' entra dans ma chambre

- Tu viens me lire une histoire? Bailla-t-elle

- Oui mon coeur!

Je la suivais à travere le couloir. Arrivai dans sa chambre elle se jeta dans son lit

- Tu veux que je te lise quoi?

- Enfaite, raconte-moi ce que tu as faits en Angleterre, comment était la ville, et les gens?

Je soupirai silencieusement. Il ne fallait pas que je lui dise mon destin ingrat

- Et bien quand je suis arrivai à Londres j'ai rencontré Anastasie, une amie de France qui était elle aussi parti en Angleterre. Elle travaille à côter de la ville alors j'ai étais habité avec elle. Elle avait trois copains avec qui je me suis très bien entendu. Et un jour avec son copain ça à casser donc on a été obliger de déménager avec d'autre copains, on s'entendait tous bien, on rigolait. On était bien! Dis-je songeuse

Reason to Be |z.mOù les histoires vivent. Découvrez maintenant