Reason to Be |z.m

-Chapitre trente sept-

Mia POV

Zayn me tendit sa main en souriant. Je pris sa main dans la mienne.

- Ravi de vous rencontrer mademoiselle Maclenzie. Souriait-il

- Enchanté.

- Puisque mon fils est en quelque sorte débutant je le laisse s'occuper de vous. Sourait M. Malik à son tour.

- Très bien. Dis-je

- Si vous voulez bien me suivre. Souriait Zayn

Il m'ouvrit la porte, j'avançais dans la longue allait. Puis Zayn prit les devants et appuyait sur le bouton de l'ascenseur.

Nous sommes descendu au deuxième étage.

- Ton bureau sera là. Dit-il en ouvrant une porte

- Un... Bureau? Pour moi toute seule?

- J'ai convaincu mon père de t'en laisser un.

- Je... Ne sais pas quoi dire. Enfin, merci. Dis-je gêné.

- Je trouve ça normal. Après tous tes efforts, ce que tu as faits pour moi...

Je sentis le rouge me monter aux joues. Un sourire se plaquait sur mon visage.

- Bien, assis toi. Je vais t'expliquer.

**

Zayn m'avait expliqué les bases. Je devais écrire quelque résumer de livre peu connu. Je m'étais assez bien familiarisé avec mon entourage.

Zayn n'était pas réapparu. Et nous n'avions pas parlé de notre passé commun. Mais, je n'avais pas vraiment envie d'en parler.

Il était à peine midi quand une personne toqua à ma porte et entrait juste après.

- Je t'invite à diner? Demanda Zayn

J'hésitais quelques instants mais acceptais cependant.

- Je prends mes affaires. Dis-je

Je pris mon long manteau et mon sac à main. Puis je suivis Zayn.

- Il y a un petit restaurant, comme tu aimes.

Une fois arrivé dans la rue Zayn me prit la main. Je fronçais les sourcils en le regardant.

- Il y a beaucoup de monde. Je ne veux pas que tu te perdes.

Nous avons marché cinq minutes mains dans la main. Il s'arrêta devant une porte simple vitrée.

- C'est ici.

Il ouvrit la porte telle un parfait gentleman. Le serveur nous installa à une table. Puis nous donna un menu à chacun.

- Tu veux quoi? Demandait Zayn

- Une salade césar. Et toi?

- Je vais prendre pareil.

Nous avons commandé. Le silence régnait. Cela devenait extrêmement gênant.

- Donc, tu as arrêté d'être un criminel? Souriais-je

- Non, j'avais vu les dates de ton stage sur ton bureau. Et j'ai décidé de venir te rendre une petite visite. Sourait-il à son tour

- Pourquoi voulais-tu me voir? Demandais-je

- Pour parler. De tout, et de rien.

- Surtout de rien à ce que je constate.

Il soupirait puis souris. Un sourire qui dévoilait toutes ses dents.

- Et toi, la fac?

- Bien, je présume. Après ce stage de deux semaines je suis en vacances.