À genoux Chienne ! (En Pause )

Chapitre 1

-Je suis content que nous ayons trouver un arrangement madame Rose. Sourit Émile.

Observant sa peau mate, Aka mordit sa lèvre pour s’empêcher de sortir des mots obscène au risque de ternir son image car après tout elle représentait la force des femmes dans cette époque. Riche, belle, elle s’assumait entièrement et avait déjà envoyé chier plus d’un homme et ça même devant les caméras sans une once de honte. Voir ce joli minois se retenir de l’envoyer chier était exquis pour elle, elle avait très bien vue son regard a plusieurs reprises la fusillé sans ce douter que si elle le souhaitait elle faisait ce qu’elle souhaitait de lui.

A commencer par détruire tout ce qu’il avait construit ça Aka en avait le pouvoir et elle s’en était déjà servi contre plusieurs de ses ex qui l’avait utiliser, et pas plus tard elle l’avait utiliser sur Thomas en faisant en sorte que toutes ses chances en tant que professeur soit réduite à néant. Elle n’avait aucune once de regret et si ce regard brun la fusillait encore une fois, elle ne se gênerai pas non plus.

-Je le suis également Monsieur Lucroy. C’était un plaisir de vous rencontrer sachez le. Sourit elle.

-De même madame.

Quel vilain petit menteur pensait elle en lui souriant. Se tournant vers un autre pour lui serrer la main également elle sentit un frisson la parcourir, un sourire rehaussa alors ses lèvres. Émile Lucroy l’avait fusillé des yeux une fois de plus. Une fois de trop. Elle en était étrangement heureuse sans savoir trop pourquoi.

-J’ai été heureux de vous revoir une fois de plus madame Rose. Dit Anderson.

Souriant pour toute réponse elle jeta un regard de biais vers l’homme de ses pensées et se lécha les lèvres d’avance.

-Veuillez m’excuser quelques minutes messieurs j’ai un appel important à passer. Commencer donc l’apéritif sans moi.

Observant la jeune femme s’éloigner faisant raisonner ses talons sur le sol, Émile lui lança un énième regard noir. Comment une femme pouvait être si arrogante !? Tout le long de la réunion elle n’avait eu de cesse de remettre en question son projet au point de mettre mal à l’aise les autres membres réuni. Serrant la mâchoire il avait encaisser en essayant de rien laisser paraître bien qu’à plusieurs reprises il n’avait pas pu s’empêcher de la fusillé des yeux, expulsant un minimum de sa frustration sur cette femme. Croyait elle que parce que elle était belle elle pouvait tout ce permettre ?

-Émile ? Appela Anderson.

-Hum ?

-Je voulais m’excuser, Madame n’est pas ainsi normalement… Je sais que c’est difficile de le croire mais c’est la vérité. En temps normal elle est vraiment douce et calme.

-Et bien j’avoue avoir du mal à vous croire Anderson, surtout après l’humiliation que j’ai subit durant toute cette réunion !

-Je suis vraiment désolée… Je m’excuse pour Madame Rose également, Émile…

Ne répondant pas, Émile soupira simplement avant de sentir son téléphone portable vibré, le saisissant il regarda celui qui l’appelait. Voyant le nom de son demi frère , il décrocha en s’excusant au près des autres invités.

-Charle ?

-Bonjour Émile, j’ai appris que tu avais eu une réunion avec Aka Rose ce soir, comment ça c’est passer ?

-Je vais très bien, merci de t’inquiéter pour moi mon très chère frère.

-Cesse ces absurdités Émile et dit moi ce qu’il c’est passer !

-Je ne vois pas en quoi ça te regarde Charle, après tout toi tout ce que tu fais c’est profiter de l’argent que je t’envoie chaque moi non ?

Raccrochant, Émile rangeant son téléphone et soupirant avant de regarder la où il se trouvait. Étrangement il trouvait le ciel magnifique. Couvert d’étoiles scintillantes le ciel était vraiment beau pour les rares fois où il faisait attention à lever la tête vers celui-ci.

-Votre famille n’a pas l’air agréable Dit une voix féminine qui le fit se raidir de tout son corps.

Jetant un regard vers celle-ci, il la vit la appuyer contre la rambarde l’air amusé.

-Qu’est-ce qui est si amusant ? Demande-t-il en la foudroyant des yeux.

-Vous.

Elle souri avant de commencer à s’avancer vers lui d’une démarche lente et sensuelle qui l’agaça encore plus.

-Moi ? Serra t-il les dents.

-Oui, vous Émile Lucroy. Votre regard brun me fusillant et vous voir à l’instant comme un petit canard perdu dans une immense mare.
Ricanant Émile la toisa d’un regard colérique.

-Je suis loin d’être perdu madame Rose de plus je ne vous permet pas de me nommer par mon prénom. Je ne le dirais qu’un seule fois sachez le.
Gloussant la jeune femme sortit son téléphone et lui montra une photo de Charle qui tenait une mallette. Blêmissant, il lui jeta un regard inquiet. Comment avait elle fait pour avoir cette information ?

-Comment votre société survivrait si il apprenait que le vice président votre frère a volé de l’argent pendant des années et que aujourd’hui vous le couvrez ?

Restant silencieux, Émile lui jeta un simple regard noir avant de sentir sa joue brûler.

-Ne me fusille plus jamais des yeux Émile. J’ai la main mise sur ta vie a présent… car entre nous si ce secret venait à ce savoir… La prison deviendrait ta nouvelle maison ainsi que celle de ton frère.

-Espèce de petite garce ! Cracha le jeune homme les yeux enflammé d’une colère noire.

-Attention à tes mots Émile… Ils pourraient avoir des conséquences…

Sourit elle contente de son petit jeu.
Restant silencieux quelque minutes, elle entendit les bruits de font des hommes d’affaires qui discutaient sans avoir conscience une seule seconde de ce qui ce tramait quelques mètres plus loin.

-Qu’est-ce que vous voulez ? Si c’est d l’argent je…

-Voyons Émile, n’ai-je pas déjà dit que l’argentje l’avait déjà .. ?

Lui lançant un regard perdu, Émile Lucroy lui faisait un peu de peine. Elle se vengeait sur lui sans qu’il ne le sache, car en cet instant elle voulait faire payer tout les hommes qui l’avaient fait souffrir  tout ce temps. Émile Lucroy allait être en quelque sorte un souffle douleur mais elle n’avait plus aucun scrupule envers l’agente masculine en cet instant précis.

-Alors quoi… ? Demanda-t-il avec prudence.

Souriant Aka s’approcha de l’homme en saisissant son menton.

-Vous Émile, de la tête au pied. Je veux pouvoir disposer de votre corps comme bon me semble. Murmura t-elle.

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