Chapitre 10

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Quand Émile entrait dans l'appartement Aka était la assise sur un fauteuil ses longues jambes croisées le fixant par dessous ses cils brun, son regard de velour intimant une soumission totale de sa part mais voilà, l'homme n'avait pas l'intention de lui céder cette fois ci il voulait lui montrer qu'elle n'était pas la seule à être capable de dominer quelqu'un.

S'approchant d'elle d'une démarche lente dans la peine ombre, seule les lumières des lampadaires de la ville pouvait éclairer cette scène.

La respiration devenant difficile, Aka observait Émile s'approcher doucement de lui le regard remplie de défi et de luxure, se mordant la lèvre d'impatience, elle se leva d'un geste gracile et marché jusqu'à cet homme.

Tout deux avait une taille bien marquer, la jeune femme sans ses talons arrivait à peine jusqu'à son menton mais pourtant elle inspirait toujours autant de respect, une vrai panthère en pleine chasse.

Se tournant autour seul le son de leurs respiration se faisaient entendre.

Frissonnant quand Aka caressa sa poitrine à travers son tee-shirt, Émile ne pu s'e d'entre ouvrir ses lèvres essayant d'inspirer un peu plus d'oxygène.

- Enlève le. Dit elle d'une voix de velours.

Serrant les dents il ne fit aucun geste ce qui semblait contrarié la jeune femme qui sortit un ciseau sans qu'il Sacher d'où et qu'elle découpe son tee-shirt sans une once de culpabilité.

- Ne m'oblige pas à découper tout tes vêtements Émile.

- Tu n'oserais pas... Contredit il sûr.

Un sourire malicieux apparue sur son visage angélique avant qu'elle ne le pousse si brutalement qu'il tomba en arrière se retrouvant allonger sur le canapé. Quelques instants plus tard la jeune femme grimpa sur lui et en repoussant ses cheveux sur le côté retira son propre tee-shirt laissant apparaître un soutien gorge en dentelle noire transparent, lui offrant le loisir d'observer ses tétons rose à travers dressée par le désir brûlant qui devenait de plus en plus fort à mesure que les secondes s'écoulait.

S'abaissant près de lui, elle lui murmura à l'oreille.

- Tu m'excite énormément Émile.

Se redressant elle le taquine en frottant bassin contre le sien, le faisant siffler de désir. Serrant les dents Émile saisit ses hanches avant de se redresser, ils se retrouvaient alors fasse à fasse se fixant droit dans les yeux.

- Embrassez moi monsieur Lucroy Ronronne la prédatrice.

Cédant à cette demande, il déposa d'abord ses lèvres en un frôlement sur les siennes avant d'en saisir une entre ses dents puis de l'embrasser à pleine bouche, la dévorant. Il voulait étancher sa soif de désir, il était assoiffé et elle était une oasis qu'il se délectait de boire.

Parcourant ses hanches de ses mains, il passa une main dans son jean tandis  que de l'autre il saisissait ses cheveux pour l'obliger à pencher la tête en arrière.

- Je suis pas un putain de chien ! Gronda t-il.

Gloussa la jeune femme se frotta un peu plus contre lui.

- Bien-sûr que si, un petit chien en chaleur qui meurt d'envie de me baiser.

S'apprêtant à répliquer, il sursauta quand il sentit quelques chose de droit autour de son cou, levant les deux main il comprit qu'elle venait de lui mette un collier.

- Qu'est-ce que...!?

Se redressant, la jeune femme lui menottait les poignets en une fraction de seconde avant de le faire tomber sur le sol sans qu'il ne sache comment cela possible.

Il entendit ensuite le bruit des ciseaux avant de sentir son jean tomber en lambeaux.

- Pourquoi est-ce que tu fais une -

Forcer de ce taire par un bâillon, Émile se redressa comme il peut avant qu'elle ne le refasse tomber, il l'observa alors glisser sur lui une corde rouge qui frottait sur sa peau, irritant.

Quelques minutes plus tard le voilà attacher par la corde complètement impuissant et de nouveau soumis à cette femme et comme attendu de son corps il avait l'impression de perdre la tête tellement il était exciter.

Il voulait la baiser où plutôt qu'elle le baise en s'empalant directement sur lui.

Respirant rapidement, il la regarda l'observer l'air contente avant qu'elle ne retire son jean laissant apparaître un porte jarretelles accompagné d'un tring de la même couleur que son soutien gorge en dentelle.

Elle était putain d'excitante.

- Alors mon chéri... Et si je te punissait maintenant ? Dit elle en se léchant les lèvres.

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À genoux Chienne ! (En Pause )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant