Chapitre 13.2

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-Je vais te faire l'amour.

-Ah ?? Je n'ai pas été assez clair tout à l'heure ?!

-Chh...


Je le regarde énervé et essaye de le repousser en lui donnant un coup mais il intercepte ma main. Je viens essayer de le faire lâcher prise avec mon autre main mais il vient l'attraper et il me tire vers lui prêt du lit. Je me débats comme je peux, lui hurlant de me lâcher mais en vain. Il maintient avec une grande force mes deux poignets pendant qu'il cherche certainement de quoi m'attacher... Je commence à paniquer et essaye de le frapper avec mes pieds mais il tord légèrement mes poignets, me calmant directement.

-Aie... !! Putain Eren !

-Calme toi... Je vais te montrer que c'est quelque chose d'agréables...

-Tu vas me violer Eren... !!

-Non.... Te faire du bien...

-La ferme ! C'est moi qui contrôle mon corps ! Je sais d'avance que je n'ai pas envie alors tu me lâches !

Il me regarde toujours sérieux et noue mes mains avec une paire de menottes ? Mais où il a eu ce genre d'accessoires ??! Je me débats comme je peux mais il me pousse dans le lit et me prend par les hanches, me plaçant au centre. Je continu de lui crier dessus jusqu'à ce qu'il m'en empêche en scotchant ma bouche ??? Mais.... Depuis combien de temps il a prévu ça bordel ??? Je m'agite de moins en moins rassuré puis il attache les menottes aux barreaux du lit. Je tremble un peu et essaye encore d'utiliser mes pieds pour me défendre. Il en attrape une et je donne tout ce que j'ai pour le frapper avec l'autre. Il s'assoit sur ma jambe captive, réduisant les mouvements de celle-ci. Je panique toujours plus et sens qu'il entoure ma cheville de scotch, la liant au barreau du lit, un peu plus loin. Il répète l'opération avec mon autre jambe alors que je m'agite comme un asticot. Non... Ça va trop vite... Ce n'est pas possible... Ça ne peut pas m'arriver... Il se retourne et caresse mon torse. Je le regarde furieux mais il ignore mes sentiments, caressant ma joue avec sa main libre.

-Je te payerais bien sûr... Mais si tu veux prendre du plaisir, il faut te détendre... J'ai déjà dit que tu seras entre de bonnes mains...

Alors là, jamais de la vie ! Tu peux aller te faire foutre ! Il soupire en voyant mon regard puis déboutonne ma chemise, caressant la peau de mon torse. Je ne frissonne pas, n'étant vraiment pas dans un état de faiblesse. Je me débats toujours, à la moindre de ses caresses. Il ose poser ses lèvres sur mon cou et je tente de lui donner des coups de boule. Il comprend qu'il ne doit pas trop traîner ici et descend un peu, mordant mes tétons. Putain je ne suis pas une fille ! C'est dégueu ! Et ça fait mal ! Je bouge comme je peux mais il s'assoit sur mon bassin, faisant quelques mouvements. Si tu t'attends à ce que je devienne dur, tu peux aller te brosser !

-Livaï ! Arrête de résister ! Tu vas avoir mal !

Autant avoir mal que d'accepter de me faire violer ! Il me regarde mécontent et se redresse, retirant mon pantalon avec le caleçon avec. Je le regarde vraiment furieux et il commence à me toucher. Je sens des frissons de dégoût me parcourir et m'agite pour l'empêcher de faire quoi que ce soit. Je le vois porter deux doigts à sa bouche pour les lécher et je me contracte fortement, n'étant pas du tout d'accord avec ce qu'il compte faire. Je le regarde en disant non avec ma tête pendant qu'il essaye en vain de me rendre dur avec ses vas et viens sur mon sexe. Il soupire et pose quand même ses doigts à cet endroit, le titillant. Je me tends encore plus et sens l'envie de vomir me prendre.

-Je t'en prie ! Tu vas vraiment souffrir ! Détends-toi... Profite... Ne te bat pas autant !

Jamais ! Je le regarde hors de moi puis il me renvoie un regard colérique, enfonçant ses deux doigts en moi. Je hurle la bouche fermée, me tendant encore plus et sentant quelques petites larmes perler au coin de mes yeux. Je ferme ceux ci en serrant les dents et fronçant les sourcils. Je sens qu'il fait quelques mouvements mais la douleur prend le dessus sur tout le reste. Il continu ses mouvements horribles et répugnants et arrête tout après quelques minutes. J'ouvre les yeux et le regarde, toujours mal en moi.

-J'arrête. Tu es vraiment... Idiot... Mais... Moi je ne peux pas... Pas continuer... Tu as gagné... C'est bon.

Vert ÉmeraudeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant