Rédemption (Dabi x Reader)

Chapitre 13

Hello hello la Wattpad Sphère!

Comment ça va aujourd'hui?

Moi je vais plutôt bien malgré que j'ai pris un an de plus jeudi.

J'ai comme une envie de pleurer, le temps passe vraiment trop vite.

Par contre, j'ai eu les bluray de la saison 1 à 4 de MHA et ça c'est le feu. 

Bref, trêve de blabla, je vous laisse donc en compagnie de notre Dabi Nationale.

Bonne lecture à tous.

Little Stitch

Rappel clefs du xreader :

(T/P)= Ton prénom

(T/N)= Ton nom de famille

(L/C)= La longueur de tes cheveux

(C/C)= La couleur de tes cheveux

(C/Y)= La couleur de tes yeux

(C/P)= La couleur de ta peau

(C/F) = Couleur favorite

(N/C) = Nom chat

Tumulte

PDV Dabi

   
    PUTAIN DE MERDE ! FAIS CHIER ! Comment j'ai pu autant foirer ? Pourquoi je n'ai pas su me retenir? Comment j'ai pu me laisser aller à ce point ? Saloperies de sentiments à la con ! Qu'est-ce que je vais bien pouvoir lui dire maintenant ? Quelles excuses lui donner ? Parce que, je ne me vois pas lui faire croire que j'ai "malencontreusement" trébuché sur sa bouche. C'est tout sauf crédible et elle est loin d'être bête. La respiration chaotique, j'atteins enfin la gare, le souvenir de ce baiser me brûle encore les lèvres tandis que mon cœur danse la salsa à l'intérieur de mon torse. Je monte sur le quai attendant le véhicule qui me ramènera chez moi, mon souffle se calme doucement alors que de la pulpe de mes doigts, je retrace les lignes de ma bouche. Bordel, ce baiser était juste parfait, tellement doux, agréable et exaltant. Si je m'écoutais, je ferais demi-tour et je recommencerais, encore et encore, seulement, je ne peux pas. Elle ignore pratiquement tout de moi, et je ne pense pas qu'embrasser un meurtrier, surtout quand il s'agit de celui de sa famille, lui fasse plaisir. Je vois du coin de l'œil, le train entrer en gare, une fois ce dernier à quai, je pénètre à l'intérieur, le moral dans les chaussettes et en m'insultant copieusement, elle ne me pardonnera jamais. Durant tout le trajet, je fixe, sans le voir, le paysage qui défile à l'extérieur, tandis que mes pensées sont toutes tournées vers (T/P). Qu'est-ce que je vais bien pouvoir lui dire quand je retournerai chez elle lundi ? Quel mensonge vais-je devoir inventer pour éviter de m'expliquer ? Bordel, mais dans quel merdier je me suis fourré ? Finalement lorsque j'arrive à Miyazaki, je n'ai trouvé aucune solution, heureusement qu'il me reste deux jours pour y réfléchir. Je marche donc d'un pas morne en direction de l'appartement, mon téléphone à la main, et mes iris turquoise rivés sur l'écran où est affiché le numéro de la jeune femme. Avant de faire une autre bêtise, je mets l'appareil en veille et le glisse dans l'une des poches de mon jean. En plus de trouver un moyen d'échapper à la confrontation, j'ai également la rude tâche d'éviter que Keigo se doute de quoi que ce soit, sinon ça en est fini de moi. Lui et sa foutue antenne à ragots, si je n'y fais pas attention, il passera le week-end à me harceler et franchement, j'ai d'autre chat à fouetter que de gérer un poulet en mode « Gossip Love ». Avec tout ça, je suis déjà arrivé en bas de l'immeuble, je monte les escaliers lentement, retardant au maximum le moment de retrouver mon colocataire, mais à peine ai-je ouvert la porte, qu'une odeur de cramer m'agresse les narines. Putain de pigeon à la con ! Un magnifique week-end en perspective me tend les bras.