Je vais te tuer !

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Il passa ses mains le long de mon dos et les descendis sur mes fesses. Collée à lui, je ne voulais qu'une chose, être sienne. Il me fit tombé sur le lit, et se mit au dessus de moi, puis doucement il commença à déboutonner ma chemise. Moi, je passais mes doigts dans ses bouclettes tout en l'embrassant. Maintenant en soutient gorge face à lui, je lui enleva son T-shirt laissant découvrir ses abdos parfaitement dessinés. Ses doux yeux bruns me dévoraient, et les miens cessaient les aller retour entre sont torse et sa bouche. Je sentais très clairement une bosse se former au niveau de son pantalon. Je descendis ma mains au niveau de l'entre jambe et descendis lentement la braguette...

- Ho Gab, t'es avec nous là ? Me sorti de mes pensées Kyllian. Je devint toute rouge en me rendant compte... Je venais de repenser à mon rêve de cette nuit. Bon certes il ne m'avait pas déplut mais là, ho la honte.
Antoine, assis à mes côtés me fixait l'air étonné.

- Heuu ouais, ouais, je pensais....à la Russie, hâte d'y être. Bon visiblement je ne les avaient pas convaincu.
Je vais aller me chercher un truc à boir. Je me leva légèrement gêné et m'éloigna du groupe. Putain mais il est immense cet aéroport. Je déambula et trouva finalement un fast food. J'en ressorti avec un milk shake fraise et reparti en direction des bleus. En revenant, je croisa le regard du bouclé, je rougis immediatement, putain c'est pas possible d'être comme moi. Il me regarda bizarrement puis un sourire se dessina sur ses lèvres.

***

- La compagnie AirFrance vous souhaite la bienvenue. Avant de décollé merci de vérifier que vos petit objet sont bien en sécurité. Annonça l'hôtesse de l'air dans le micro.
Je me retourna vers Benjamin qui me regardait lourdement.

- Quoi ?

- Tu te sent en sécurité ? Me demanda t'il faussement inquiet.

- Je vais te tuer, lui répondis en rigolant accompagné de Lucas qui pouffait ayant tout entendu.

***

L'avion allait atterrir et j'étais surexcitée. J'avais passer tout le trajet à taquiner Benjamin et épuiser Antoine. Oui, j'en suis fière. Bref, l'avion commença ça descente, je ne tenais plus en place. Déjà le trajet avait été long pour une impatiente comme moi et ensuite j'avais toujours aimer la Russie. Son histoire, les coutumes, les paysages, la vodka...
Mon sac en mains, je descendis les escaliers de l'avion en compagnie de mon frère.

- Contente ? Me demanda t'il

- Attend tu rigole c'est trop bien, en plus pour une fois que tu me serre à quelques chose.
Il me frappa la tête gentiment puis nous continuâmes notre chemin jusqu'au bâtiment.
Nous rentrâmes ensuite dans un bus, qui nous mena directement à l'hôtel où nous allions logé lors de la coupe.
Le personnel nous accueillis gentiment puis épuiser par le voyage je monta dans ma chambre. Dès que je me posa sur le lit mon téléphone vibra.

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Message de Matteo
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Message de Matteo
Hâte de te voir en Russie...

Mon cœur se serra, la photo qu'il m'avait envoyé n'était nul autre que moi à l'aéroport. Mes mains tremblaient et ma respiration s'accéléra. Je détestais cet homme de tout mon cœur.

- Ok Gabrielle on se calme, me parlais je à moi même en posant mon téléphone. Bon il a dit « hâte de te voir en Russie » ce que veut dire qu'il sera sûrement présent lors des matchs. Ho la merde, putain ! Alors heuuu qu'est-ce que je peux faire ? Prévenir la police ? Nan sûrement pas, aucune envie de faire un scandale. Aller à l'aéroport, le chopper et le monter en l'air ? Non il est bien plus fort que moi, je serais K-O. En parler à Antoine ou aux autres ? Ils sont bien trop stressé pour la coupe du monde, je n'ai pas envie de les embêté avec mes problèmes.
Putain Gab, tu as 19, tu es assez grande pour gérer tes problèmes seul, sans ton grand frère...
Désespérée je m'effondra sur mon lit,
Fais chiez !!

Quelques larmes de colère coulèrent sur mes joues. D'un bref coup de mains je les essuya, et énervé, je pris mon oreiller et hurla dedans de tout mes forces. Ça fait un bien fou !

Après un petit moment de torture mentale, je descendis pour retrouver les garçons.
J'arriva dans le grand hall, les employés grouillaient tout en rangeant des valise et autres objet mais aucun des joueurs. Je rentra dans un salon à droite, vide. Je continua ma recherche, passa par la salle de sport, spa, cuisine, salle à manger ect. Vide, pas un seul de ces foutus bleu. Je remonta et chercha la chambre de Antoine en espérant le voir dedans. J'ouvris sa porte et tomba nez à nez avec Benjamin devant un miroir, se répétant " ca va aller, ce n'est qu'une coupe du monde...".
Visiblement je m'étais trompé de chambre, mais il ne m'avait toujours pas remarqué. Son air inquiet sur sa mine me fit sourire. Je referma la porte doucement et m'approchas du bouclé discrètement. Je l'enlaca par derrière tendrement, à mon contact il sursauta légèrement, puis il laissa place à un sourire sincère.

- T'inquiète pas, vous allez tous défoncer ! lui glissais je à l'oreille.

- Vous ? Dit il faussement étonné, tu veux dire nous... finit il en posant sa mains sur la mienne.

***

Chapitre très court (désolée)... j'ai un peu de mal à écrire.
Bref à bientôt !

-Blondasse-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant