Jaloux Pavard...?

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Je me réveilla heureuse, comme d'habitude depuis 3 jours. Chaque soir je parlais à Benjamin en secret évidemment. Personne n'étaient au courant, ni Paul, ni Kyllian et surtout pas Antoine. Je sais pas si il y avait de l'ambiguïté entre Pavard et moi mais je me sentais légère.
Je me leva et partis prendre ma douche. Alors que l'eau coulait encore sur ma peau, quelqu'un toqua à ma porte

- et merde... je pris ma serviette là passa autours de ma poitrine et alla ouvrir. Kyllian apparut dans l'encadrement. Quand il me vu il rougis et détourna les yeux.

- Je...le coach t'appelle, dit il en bégayant légèrement.
Je rigola et lui répondis que j'allais descendre.

- Bon je vais retourner faire ma toilette à toute.

- Qu'est-ce que tu fous là Kyllian ? Demanda une voie dans le couloir. Je tourna et découvrit Benjamin.

- Je suis venu dire à Gabrielle quelques chose. Repondit l'intéressé sur le défensive.
Pavard tourna la tête vers moi et ses yeux me balayèrent de haut en bas. Kyllian s'excusa de m'avoir dérangé et s'en alla. L'autre se rapprocha de moi...

- Un problème...?

- Nan, juste inhabituelle de te voir en serviette parler à un mec.

- Jaloux Pavard...?

- T'aimerais bien hein Griezmann...?
Je rigola, ferma la porte et retourna à ma salle de bains.
Habillée d'un robe marron moulante qui s'arrêtait un peu avant les genoux et de talon noir, je descendis au rez-de-chaussée. Et entra dans le burau de Didier Deschamps.
Il me parla des photos et que pendant les match amicaux je n'aurais pas besoins de photographier. Je le remercie et sorti de son bureau. Je vérifia l'heure sur mon téléphone, 11h22, merde j'ai pas eu le temps de déjeuner. Bon c'est pas grave. Je me dirigea vers les masseurs, à cette heure mon frère y est certainement. Effectivement il étais allongé avec à sa droite Paul qui mettais de la musique et à sa gauche Benjamin.

- J'aime beaucoup ta robe, dit Paul enjoué par sa playlist.

- Elle te vas super bien, continua Benjamin

- Oui bon ça va on a compris, reprit mon frère. A leurs remarques je rigola et discuta avec eux jusqu'à la fin de la matinée.
Midi arriva et nous partîmes manger. Le repas se passa bien et les bleu allèrent en entraînement. Je monta dans ma chambre pour dessiner et regarder ma série.
Vers 16h30 je descendis au stade pour regarder la fin de leurs exercices. Cette routine me plaisait. Assis dans les gradins j'observais chaque fait et geste de notre équipe. Mon regard s'arrêta sur Benjamin, à se moment précis le ballon le fit trébucher et il s'étala à terre.

- Benjamin ! M'ecrais je en voyant qu'il ne se relevait pas.
Je descendis les escaliers en trombe et alla le voir. Il étais face contre terre, puis il se retourna en se tenants la cheville et en gémissement. Je m'agenouillas à ses côtés tandis que les autres rappliquèrent avec le coach. Délicatement j'écartas ses mains de celle ci (sa cheville) et la regarda.
Il ce l'est tordu, affirmais je en me reculant.

Des médecins arrivèrent et constatèrent la même chose que moi.
Alors que les bleus allèrent se changer et que les médecins parlèrent aux coach, je m'approcha à nouveau du bouclé, qui étais assis sur le cotes du terrains attendant les ordres.

- Ça vas ?
Il ne me repondit pas. Je m'assis à ses côtés et posa ma tête sur son épaule.

- Tu pense que je vais pouvoirs faire les matchs ? Dit il doucement

-Blondasse-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant