Gabrielle Griezmann est appelé par Didier Deschamps pour photographier les bleu pendant les trois mois de la coupe du monde 2018.
Elle vas devoir faire face à un grand frère sur protecteur, un joueur plutôt mignon et son passe qui refait surface...
...
Assis dans la salle à manger, je regardais mon assiette sans grande faim. Ce matin les tartines ne faisait pas envie. Dans ma tête la scène d'hier soir tournais en boucle. J'avais bien vus que le visage de Gabrielle étais marqué par...la peur, la fatigue. Je sais aussi que c'est en parti notre faute, à toujours la forcer pour qu'elle nous dise son ancienne expérience ça doit pas être facile. Mais d'un côtés on fait ça pour elle, aussi pour satisfaire notre curiosité inconsciemment. Je pris mon téléphone et tapa vite un SMS à Gabrielle...
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Bon ok c'est dur mais au moins c'est clair. Et surtout de toute façon il faudra que Antoine soit au courant. En parlant de lui, il venait de rentrer dans la salle à manger tout sourire. Il s'assit en face de moi et nous commençâmes a parler.
***
Tout le monde étais descendu petit déjeuner sauf elle.
- Mais qu'est ce qu'elle fout encore, rala Antoine qui détestais quand sa sœur n'étais pas présente. Il se leva et quitta la table pour s'engouffrer dans les escaliers.
PDV GABRIELLE
J'étais réveillé depuis au moins une heure mais je n'avais pas la force de me lever. De plus j'avais reçu un message de Paul qui m'angoissait terriblement. Enrouler dans ma couette, toujours avec le T-shirt de pavard comme doudou, je réfléchissais. De toute les façons il faut que bien que je me résonne, ils vont continuer jusqu'à se que ils soient au courant et je pense que Paul est largement capable de en parler à mon frère. Mais Antoine, ça me brûle de lui dire depuis toujours mais cela reste bloquer dans ma gorge. Et de même pour Benjamin, ses yeux me transperce quand il me demande et je n'ai qu'une envie : me dévoilée à lui et qu'il me réconforte. Malheureusement je sais bien que si je leurs dit, ils ne me regarderont plus jamais comme avant. Peut être devrais je leur dires comme ça ? Leur lâcher comme une bombe ? Non, non... Alors que je divaguais dans mes pensées, quelqu'un entra dans ma chambre. Je prit même pas la peine de regardais qui. L'homme s'approcha de moi et se mit à mon chevet. C'était Antoine, quand il me vus, son sourire s'effaça et sa mine inquiet revint.
- Gabrielle... tu es vraiment...heuuu...
- super pale, avec d'immenses cernes et une mine à faire jalouser les cadavres ? Je sais... le coupais-je
- Mais qu'est ce qu'il se passe ? Je me releva et m'assis face à mon grand frère. Je sens que cette discussion vas faire mal.
- Écoute Antoine, je baissa la tête par honte, j'ai une tonnes de choses à te dire, mais... j'en ai tellement peur et honte que je peux pas...
- Qu'Est ce qu'il c'est passé !? C'est les garçons !? Dit il en tentant de rester plus ou moins calme.
- Nan...nan c'est pas eux, Ils se décontracta mais sa mine restait contrarié.
