Tortue ninja; Léonardo [EN CORRECTION]

Chapitre 7

Je me retrouva de nouveau devant ce fameux dome après 30 minites de course sur les toits de la ville de New York. J'entra en empruntant la même porte que précedement. J'avançais rapidement en me demandant ce que je faisait ici. Les autres vont paniquer à leur réveil mais bon.

Rapidement je me fit détecter par les ninjas FOOT. Je n'avais pas de temps à perdre avec eux. L'heure de la revenge avait sonné. Je les battis aussi rapidement qu'il m'avait vu et je continua ma route jusqu'à revoir la grande porte avec le signe des FOOT inscrit dessus. Je la défonça et rentra.

Vite fait, les quatres ninjas d'élites de Shredder me détectèrent et me sauterent dessus. Je réussis à mes mettre par terre tout les quatre. Mainteant Shredder. Je savais qu'il était vivant. Mon coup de grâce n'a pas du l'achever.

Moi- OÙ EST TU!? OU TA CACHE TU?!
Shredder- Léonardo. Celà devrait-il me surprendre? Tes frères t'on envoyer me battre?
Moi- non. Il n'on rien fait.
Shredder- owwnn.. C'est mignon. Le petit leader qui viens défendre ses frères et son père..
Moi- défendre? Jamais. Venger.
Shredder- ahaha!!! Tu as le sens de l'humour Léonardo.

Il m'attaqua le premier. Le seul mot qui traverais mon esprit était vengance. Mais un mot me vint à l'esprit. Le mot était tuer. Moi Léonardo pourrais tuer? Certainement mais je ne l'ai jamais fait. Vais-je le faire aujourd'hui? Non.. Mais si j'en avais l'occasion?

Toutes ses questions m'empêchaient de me concentrer sur le combat. Shredder me mit un coup droit dans me ventre ce qui me fit tomber puis un autre sur la tête. Étrangement je ne ressentais rien mais ne n'arrivait plus à bouger. J'étais comme paralysé au sol.

Puis je vis mon corps, par terre innanimé. J'obeserva mes mains. Blanche et transparente. Je commenca à paniquer. J'étais... Mort? Impossible. Mais pourtant je me voyais au sol. Shredder m'agrippa, enfin... Shredder aggripa mon corps et le lança à l'autre bout de la salle. Si j'étais vivant, j'aurais ressenti le choc se qui ne fût pas le cas.

Tout un coup, la pièce est devenu blanche, comme une lumière qui m'aveuglais. Puis je me retrouva dans me repaire. Il était complètement détruit et mes frères et maître Splinter étaient
mort eux aussi. Alors c'est donc la fin? Déjà? Il y avait des ninjas FOOT un oeu partout. Le repaire avait donc été attaqué. J'étais le seul en état de me battre mais je n'étais pas là!

Tout redevint blanc dans ma tête et il y avait des voix. Celle de mes frères.

Raph- LÉO!! DEBOUT TU FAIT JN CAUCHEMARD.
Mikey- c'est pas en criant qu'il va se réveiller!
Raph- alors comment tu veux que je fasse?

Alors je ferais un cauchermard? Celà n'était donc pas réel? J'étais confus.

Donnie- les gars.. Arrêter la! Je crois qu'il se réveille.

Je réussi à ouvrir les yeux. Je bondis debout sur se qui était en apparence mon lit et me mis en position de me battre.

Donnie- vous-voyez?

Je pris conscience de la situation en laissant tombé mes katanas sur mon lit. J'étais dans ma chambre. Le cadre était toujours cassé et il y avait bel et bien des trous dans les murs. Pourtant j'étais assuré qie j'avais quitté le repaire. Donnie était en béquille ( April lui avait passé une paire ) et il avait une attelle. Raph avait encore son bandage. Maître Splinter était assis à côté de mon lit, en silence.

Raph- et ho la terre appelle Léonardo. Vous me recevez?

Je ne lui répondit pas. J'étais juste là, debout sur mon lit à ne rien dire et ne rien faire. J'avais juste la bouche grande ouverte et les yeux ronds comme deux billes.

Mikey- léo?
Donnie- raph et mikkey pouvez vous sortir s'il vous plaît? J'aimerais parlé à maître Splinter en présence de Léo.
Mikey- hors de question.
Raph- tait-toi et viens. De toute façon on ne sert à rien.

Ils partirent en claquant ma porte assez fort pour montrer leur frustration.

Ms- assis toi mon fils.

C'était la première phrase qu'il dit depuis mon réveil spontanné.

Ms- tu as fait un cauchermard mon fils. Sauf que j'ai réussi à rentrer dans ton esprit durant que tu dormais. Et j'ai vu des images. Des images terrifiantes car se n'était pad un cauchemar mais plutôt une vision.