Chapitre 10 : Nul

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Ward pendant ce temps, s'était caché de la police qui le rechercher activement pour aller retrouver son fils, lui aussi en fuite. Il voulait plus que tous que Rafe s'enfuit et ne revienne jamais, il voulait protégé son fils, parce qu'il avait fait son choix. Entre Sarah et Rafe, il avait choisie Rafe. 

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Les pogues de leurs côtés, était sur une toute autre affaires. Après avoir rendu visite à sa grand-mère pour lui parler des Limbrey et de cette clé qu'il avait trouvé, Pope avait eu droit à une révélation, assez... Surprenante. Il était en faite un descendant de Denmark Tanny. Ce qui voulait dire en sois, que cette croix de Saint-Domingue, trésor parmi tant d'autre, lui revenait de droit légalement et qu'il était dés à présent, millionnaire, enfin il le sera quand il aura trouver cette croix.

JJ : Tous le monde se prosterne devant le roi des Tanny !

Pope : Les gars on se calme, on peut se détendre ?

Sarah : Ca veut dire qu'on va tous aller vivre dans un palais, c'est ça ?

JJ : Moi ça me va !

Kiara : Ok, ok, on déménage quand ?

JJ : J'ai nul part ou crécher donc, ça m'arrange !

Kiara : Moi aussi.

Pope : J'arrête pas de penser à cette lettre. Celle que Limbrey m'a envoyé. Il y avait un épis de blé dessus.

Sydney : Tu pense que ça à un liens avec le Royal Merchant ?

Pope : J'en sais rien, peut-être. En tous cas, une fois qu'on aura trouver cette croix, on pourra la partager, comme on avait prévu pour l'or !!

Tous les pogues crièrent en coeur, quand une voix vielle et tranchante arriva pour casser leurs rêves, tous le monde se tourner vers son origine, pour découvrir une femme, marchant avec des béquilles. Habillé assez classe, un homme derrière elle portait un parapluie, comme un vulgaire larbin. Il n'en fallut pas plus aux anciens fugitif pour deviner qu'il s'agissait de la très cher Limbrey. Alors que Pope contenait sa rage, du à l'agression de son père, John B et JJ eux avait eu un plan de dernière minute, qu'ils mirent en œuvre pendant que Limbrey faisait son petit monologue. Jusqu'à ce que John la coupe en brandissant une clé, bien à ton attention...

John : Vous vous appelez Limbrey, c'est ça ?

Carla : Oui...

John : Et c'est ça que vous cherchez ?

Carla : Oui, c'est ça !

John : Si vous regardez le canal, je dirais qu'avec la marée, il est au moins 6 mètre de profondeurs. Donc, si je la jette dedans, vos chances de la retrouvé sont... Calcul Sydney !

Sydney : Nul.

John : Vous voulez essayer on va voir ça...

Carla : NON ! ARRÊTEZ ! Ne faite pas de bêtises.

John : Que votre mec recule.

Carla : Oui, d'accord. C'est bon, fait ce qu'il demande. Je vous le dis depuis le début, nous pouvons trouver un terrain d'entente.

Pope : Ok.

Carla : Ok ??

Pope : On vous donne la clé, mais on veut la preuve.

Carla : Je vous la donnerais, comme je vous l'ai dit

John : Pope attends ! T'es pas obligé de faire ça, ok ?

Pope : Ca va je te jure...

John : Non ! C'est à ta famille !

Pope : Ca va je te dis...

Pope et John B jouait sur les violons, tandis que JJ souriait dans le dos de ses deux idiots qui ils venaient de donner une clé. Limbrey prit la clé et la serra fort dans sa main, avant de partir, accompagner de son larbin qui interrogea tous le groupe du regard, s'attardant sur Sydney avant de partir. Tandis que les autres pouffer de rire, sur ce plan qui semblait su stupide, que personne ne penserait qu'il marche vraiment et pourtant.

Pope : Elle est de qui l'idée de la fausse clé ???

Kiara : Bizarrement pas moi.

John B : J'en sais rien, à ton avis, faut qu'on lui dise la vérité ?

Sydney : JJ ??? Non, j'y crois pas !

Kiara : Tu sers à quelques choses finalement ! 

Les réjouissances fut de courtes durée, il fallait emmener la preuve au shérif, la preuve contre laquelle, Pope avait échangé cette vielle clé qui n'ouvrait même pas une porte. Pendant ce temps, Rafe avait passé un dernier accord coûteux avec Barry pour s'enfuir de l'île dans un petit bateau à moteur en prenant les marécages. Comme quoi, il lui restait un ami... Ou peut-être pas.

Barry : J'ai rien dans l'absolue contre toi Rafe. Mais je risque pas d'oublier la branlée que ton père m'a foutue. Vous auriez mieux fait de me respecter un minimum. IL A UN FLINGUE !

Barry lâcha la barre et sauta hors du bateau, devant un Rafe en colère et surtout perdu. Ce n'est que lorsque que Barry se mit à crier, que Rafe compris la douille. Des bateau de garde de côté, sortirent de tous les côtés pour arrêter Rafe, cette fois, il était fini. 

The Downfall of the Storm - Outer Banks - Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant