chapitre 12

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JACKSON

Depuis que ma mère m'a laissé à la porte de ma chambre, je m'habille et me prépare de manière mécanique un simple robot. Sans penser à ce que je fais, je me trouve devant le miroir à nouer cette putain de cravate bleu marine. Cette couleur. En la regardant, je me retrouve, il y a quelle minute quand je suis rentré dans le bar. J'arrive pas à savoir ce qu'il s'est passé. Mais j'ai l'impression d'avoir été dans une autre dimension comme si tout autour de nous était en arrêt, je ne voyais quelle comme si rien autour n'existait elle rayonnait putain quelle était belle tellement classe et putain de bordel de merde que m'arrive-t-il.

Au plus, loin, que je me rappelle, il me semble toujours l'avoir aimé. Même petite quand elle nous suivait de partout et qu'on disait vouloir rester entre mecs. J'aimais quel soi plus têtu que nous et ne bouge pas oui, j'aimais le faite quelle reste près de moi. Ma mère m'a dit un jour que je l'ai toujours regardé avec des yeux qui brillent quand j'étais petit, je ne comprenais pas ce que cela voulait dire. Et bien même si longtemps, j'ai voulu le nier, je le sais. Mais ce qui c'est passer tout à l'heure et une chose de différente. Je l'ai toujours su belle à tomber. Autant quand elle se réveille avec ses cheveux dans tous les sens quand elle sortait de la douche toute mouillée, quand pacque un truc ne lui plaisait pas elle fessait la tête et boudait. Oui même en fessant la boude, elle restait belle. Elle est toujours magnifique et c'est ça le truc elle a un truc en plus que toutes les autres, j'ai jamais trouvé de filles qui lui arrivent à la cheville. Elle est toujours magnifique et c'est ça le truc elle a un truc en plus que toutes les autres, j'ai jamais trouvé de filles qui lui arrivent à la cheville. Même quand elle nous criait dessus nous fessait des crise ou nous rendait fou de rage même là, je la trouvais à tomber. Oui, vous pouvez le dire, je suis mordu par cette fille. Comme si aucune n'avait d'importance appars elle.

Mais la ce soir, c'est comme si je revoyais toutes les raisons pour lesquelles petit à petit, je suis tombé amoureux d'elle et quelque ça vaut le coup bon sang la voir là au milieu de tout le monde, dedans parti de notre monde le miens et surtout je le sais bien elle a toujours été et sera toujours a moi.

Depuis tout à l'heure une étrange sensation me prend dans le ventre bordel. Je ne suis pas une putain de gonzesse pour parler comme ça. Mais il faut croire que bordel. Elle et tellement parfaite ce soir que je pourrais lui demander d'être ma régulières sur-le-champs, mais je la connais, je vais juste finir avec un mal de couille monumentale.

On toque à la porte, je sors de ma rêverie. La porte s'ouvre, ce sont mes frères, ma mère ne rentre jamais comme ça.

- Alors ta perdue ta langue ? Dit Alec

- Tu sais que ce soir, on va devoir lavoir a l'œil tout le monde va vouloir l'approcher. Dit Snake

Oui, je sais, il a raison, j'y ai pensé aussi, il n'y a pas que moi qui vais la trouver splendide dans cette tenue.

- Et bien les mecs, je pense, on est assez pour les faire fuir. Leur répondis-je

- J'ai tellement hâte que cette soirée commence ça va être mémorable. Dit Alec

- Je pense, ça va être le feu. Dit Snake en lui tapant dans le dos puis me prendre par les épaules est, nous amener en bas.

On descend les escaliers, je ne cherche qu'elle, je la vois en train de boire avec ma mère et Matt bordel ça s'annonce mal. Alec se dirige vers eux et me fait signe de venir, je m'approche et m'assois a côté de ma mère.

Je crois que rien n'a jamais été aussi gênant de toute ma vie, on est en face l'un de l'autre et aucun n'a le courage de regarder l'autre que nous et t-il arriver. Je me sens gêné, mais ai la foi bien d'être auprès d'elle et mal de ne pas être carrément a coté d'elle.

Pour Les Yeux De NérimaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant