Jᴇ sᴜɪs ᴛᴏᴍʙᴇ́ ᴀᴍᴏᴜʀᴇᴜx ᴅᴇ ᴛᴏɪ ᴜɴ ᴊᴏᴜʀ ᴅᴇ ᴘʟᴜɪᴇ

Le champ des amoureux

Quand il était petit, Oikawa adorait jouer dans le prés à côté de chez lui. Il était grand avec de l'herbe qui lui arrivait jusqu'au nombril et même des fois encore plus haut. Il était aussi remplis de coquelicots rouges pétants, qui, dès qu'il y avait un coup de vent, perdaient toutes leurs pétales qui s'envolaient on ne sait où . 

Iwaizumi le rejoignait des fois. Ils se couchaient dans l'herbe, et regardaient le ciel, en se racontant des secrets qui seront enfermés dans ce champ à jamais. 

Le garçon s'assit, et leva la tête, vers le ciel. Ça fait longtemps qu'il n'est pas venu. La dernière fois, il avait emmener une fille. Elle était très belle, avec de grands yeux curieux, et de long cheveux blond. Comment s'appelait-elle déjà ? Il ne s'en souviens plus. 

Il l'avait fait s'assoir dans ce champ, juste à côté de lui. Leur mains étaient nouées pendant que tout les deux se cherchaient du regard, leurs langues et leurs salives mélangées. C'était beau, romantique, mignon. Oui à se moment là ils étaient surement ce qu'on appelle " des amoureux". 

Mais ils c'étaient ensuite fait attaqués par des moustiques, et elle était rentré chez elle, furax, les jambes, les bras et même le visage enflammés à cause des piqures qu'elle avait trop grattée. Dans ses yeux, il n'y avait plus la moindre once d'amour. Mais y était-il pour quelques choses ? Non ,évidemment. 

Il soupira, s'allongea sur le dos, et ferma les yeux. C'était son petit moment de bonheur rien qu'à lui. Loin du stresse, des cours, du volley et touts les autres choses futiles comme la carte postale que ses parents lui ont envoyés toujours posée sur le bar et toujours pas lut.  

Loin de tout. Loin du monde. Juste lui. Et le vent. 

-Alors on rêvasse ? 

Il sursauta et vu Iwaizumi s'assoir à côté de lui. 

-Je t'avais pas entendu. murmura Oikawa en se relevant, et en prenant appui sur ses coudes. 

-Je suis discret c'est pour ça. 

-Si tu le dis.

Il y eu un long moment de silence, ou personne ne parla. Le vent sifflotent dans leurs oreilles, et le chant des oiseaux au loin rend la scène encore plus sortis d'un film.

Oikawa risque un regard vers son ami. Iwaizumi n'a vraiment pas changer depuis qu'ils se connaissent. Il a toujours son habituel regard sérieux, des cheveux qui partent dans tout les sens et qui, surement, n'ont pas été coiffé depuis longtemps. Mais il a aussi ce quelque chose.. Son capitaine ne pourrait pas dire ce que c'est.. Mais ça le rend unique. Oui c'est ça. Son Iwa est unique. Son visage est unique, son sourire, son corps. Rien de tout ça chez lui est ordinaire.

Il l'observe quelques secondes, il a envie de le toucher, juste les joues ou quelques chose d'autre, qu'importe. C'est une envie qui lui bouffe l'estomac depuis quelques jours. Il y pense, il le désire, il en a envie. 

Il tend le bras, mais laisse son geste en suspend quand il le voit ouvrir la bouche. 

-Tu te souviens.. commença l'attaquant. Une fois, quand on tétait petits, on était venus ici, pour jouer. On a commencé à se faire des passes, qu'on rattrapait en manchette et qu'on relançait en passe haute.. 

-Tu te souviens de tout les détails toi ! rigola Oikawa.

-Tais toi, je suis entrain de dire un truc émouvant là. 

-Ah ok. 

-Bref. A un moment, t'as trébuché, t'es tombé et tu t'es râpé le genoux. Ça saignait beaucoup et t'as commencé à pleurer comme un bébé. J'ai courut vers toi et je t'ai prit le genoux, c'était pas beau à voir, tu t'étais bien amoché. J'ai commencé à te gronder en te disant de faire plus attention. Et tu m'as répondu "Je me ferai mal tout les jours, juste pour que tu t'inquiètes pour moi comme maintenant". 

Les joues d'Oikawa devinrent rouge, et son coeur se mit à tambouriner dans sa poitrine. Pourquoi avait-il dit ça ? Et pourquoi Iwa s'en souviens t'il aussi bien ? 

-Haha.. Je disais vraiment n'importe quoi quand j'étais gosse.. 

-Je trouve pas. Tu sais, t'avais l'air tellement sur de toi quand tu l'as dit, qu'à partir de là j'ai toujours voulut au moins te protéger un minimum. Peut-être qu'inconsciemment je rêvais que tu me répètes cette phrase, en boucle, encore et encore. Haha.. C'est vraiment égoïste de ma part..

Est-ce une déclaration ?! Si c'est le cas, c'est plus que romantique ! Oikawa baissa la tête, gêner. Il senti quelques chose lui prendre la main, il releva le menton. C'était Iwaizumi. 

Leurs doigts s'entremêlèrent.  

-Je serai toujours la pour toi tu sais ça ?  

Oikawa ouvrit les yeux. Autour de lui il n'y a que de l'obscurité. Il plisse les yeux, et reconnue son plafond. Son réveil est entrain de lui hurler dans les oreilles. Dehors la lumière du jour est à peine visible derrière ses stores. 

Tout ça n'était qu'un rêve. 

C'était si réelle qu'il n'aurait pas pensé qu'il était entrain de rêver. Son coeur ne s'arrêta pas pour autant de taper fort, telle un tambour, dans sa poitrine. Ses joues le brûlent, est-ce une bonne chose ? 

Il respire un bon coup, il transpire, c'est dégoutant. 

Peut-être qu'Iwaizumi n'était que le fruit de son rêve et que ce qu'il lui a dit dans ce champ n'était que son imagination qui avait construis ces mots. Mais les sentiments qu'il a éprouvé quand le brun lui a prit la main, eux, étaient plus que vrai.

.

.

Les derniers rayons du soleil viennent se reposer sur les fenêtre et éclairer la salle de classe, ou des élèves attendent leur professeur pour leur dernier court de la journée. 

Oikawa pose son menton sur son bras, et lève les yeux pour croiser ceux d'Iwaizumi qui joue avec son stylo. 

-Retourne toi. 

-Mais Iwa-chan ! 

-Il n'y pas de mais re-tour-ne  TOI ! pesta Iwaizumi en lui lançant le stylo qu'il avait en main, sur la figure. 

Oikawa fit la moue, et se retourna. Il regarda l'ensemble de sa classe. Que des débiles. 

Des garçons jouent dans le fond, surement à des jeux sur leur téléphone, et du côté des filles... 

Un groupe c'était formé, avec une fille au milieu qui était surement le pourquoi de toute cette agitation. Il les regards quelques secondes, curieux. 

Un fille sort alors du groupe -celle du milieu-, elle est tout tremblante, et tient quelques choses fermement dans ses mains, empêchant Tooru de voir ce que c'est. 

Elle se rapprocha de lui, et il sut direct ce qu'il allait ce passer. Elle allait lui faire une déclaration. 

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hey hey hey ^^ vous allez bien ? 

Désolé de pas être trop active mais je vais encore moins l'être à cause de la rentrée et tout et tout... 

BREF 

J'espère que ça vous plut parce que c'est ça le plus important. 

Mais vous les trouver pas TROP CHOUUU 

Bref asta la vista (je sais pas si ça s'écrit comme ça) on se revoit peut-être dans le prochain chapitre x))