𝚇𝙸𝚇. 𝚁𝚎́𝚟𝚘𝚕𝚝𝚎𝚜.

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𑁍 Une fois prêt Armin me suivit à travers les couloirs du château, j'avais réunis le conseil royal pour discuter de l'avenir du pays

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𑁍 Une fois prêt Armin me suivit à travers les couloirs du château, j'avais réunis le conseil royal pour discuter de l'avenir du pays. Tous les nobles étaient autour de la grande table. Nous entrâmes, immédiatement tout le monde se leva et s'inclina.

« Asseyez-vous mes seigneurs. »

« Ma mère n'est pas là ? » Demandai-je.

« Non Majesté, elle est partie rendre visite à une duchesse dans la zone Nord. »

« Sans me prévenir ? Étrange. »

« Est-elle partie seule ? »

« Non Majesté, elle est partie avec une dizaine de gardes. »

« Bien. Au moins nous n'avons pas à nous en faire. »

« Je ne vois pas non plus Livaï. »

« Il est à l'infirmerie, un soldat a été blessé lors d'une sortie àcheval, il est à son chevet. »

« Erwin ? » Dis-je en tournant mon regard inquiet vers Armin.

« Vas-y, je m'occupe du conseil, Jean va t'accompagner. » Me dit-il.

« Merci. Mais assieds toi, tu ne dois pas te fatiguer. »

Jean m'accompagna jusqu'à l'infirmerie, Livaï était assis au sol devantla porte, prostré, il leva la tête en nous entendant arriver.

« Madame. »

« Comment va t-il ? »

« Il a été poignardé. Le médecin est encore avec lui, il risque de mourir... »

« Oh... Mon pauvre Livaï. »

Il se leva et essuya les quelques larmes qui coulaient sur ses joues. Je le pris dans mes bras un instant.

« Je suis sûre qu'il va s'en sortir. »

« Si seulement vous aviez raison Madame. »

Je m'écartai pour ordonner à Jean. « Reste ici avec lui, je vais voir le médecin. »

« Bien Madame. »

J'entrai dans l'infirmerie en poussant la porte. Mes mains tremblaient, ma respiration était saccadée, j'avais peur d'avoir à annoncer une mauvaise nouvelle à Livaï.

Je pénétrai dans le cabinet du médecin, Erwin était allongé sur une table, le médecin et deux infirmières s'affairaient autour de lui.

« Ma reine, vous ne devriez pas être ici. » Me dit une infirmière.

« Va t-il s'en sortir, répondez-moi franchement. »

« L'hémorragie s'est arrêtée mais rien n'est sûre. » Répondit le médecin.

L'héritière [Armin x Lecteur]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant